Les croix de Monseigneur de Mayol de Lupé - Occasion

En 1956, alors que la Guerre d'Algérie s'intensifiait, la Marine nationale mit sur pied la Demi-Brigade de Fusiliers-Marins, la DBFM. Cette force deviendra un élément important de l'activité militaire, et comptera, entre sa création et 1962, plusieurs milliers de marins. Loin du grand large, et même de la côte, ils contribueront aux opérations, à pied, en voiture, et même à cheval. Pour de nombreux militaires, de carrière ou appelés, ce fut le temps de la jeunesse, du risque, de l'aventure, que l'auteur, lui-même un vétéran, nous fait partager en mêlant à l'exactitude du récit la spontanéité des témoignages des anciens. La plupart des photos sont en couleur, et inédites. Un magnifique album chargé d'émotion et de souvenirs, pour tous ceux qui vécurent cette période encore trop méconnue de notre histoire.

DBFM Demi-Brigade des Fusiliers-Marins

Cette histoire pourrait être celle de tous les Français appelés ou rappelés à l'occasion de la guerre d'Algérie. Un jeune du contingent est affecté comme maréchal-des-logis à une batterie d'artillerie stationnée dans l'Ouarsenis, le massif montagneux du Sud Oranais. La région est sauvage, le relief tourmenté reste le fief de fortes bandes rebelles. Les artilleurs doivent d'abord combattre « à pied ». L'auteur découvre l'horreur des embuscades où tombent ses premiers camarades, les patrouilles de nuit, les pièges et les craintes d'une nature hostile. Le cantonnement même est attaqué. Peu à peu, les recrues s'aguerrissent, Les missions de police se mêlent aux missions militaires. On arrête un suspect, présumé responsable de zone. Il faudra trancher : est-il coupable ou innocent, en somme, le choix entre la vie ou la mort pour le prisonnier. Enfin, une grande opération inter-armes donnera à la batterie l'occasion d'un appui-feu efficace. Un récit plein de vérité sur une guerre qui ne connut pas d'issue...

800 jours dans l'Ouarsenis - Un appelé dans les djebels

Bien sûr, nous connaissons tous le Gabin commandant de remorqueur de Remorques, ou plaisancier-escroc rangé des voitures dans Le baron de l'écluse. Mais l'attachement de Jean Moncorgé - c'était son véritable nom - pour la Marine française était bien plus fort qu'on ne l'imagine. Fusilier- marin dans la 2e DB du maréchal Leclerc, il connut réellement le combat, puis tout au long de sa vie il garda un lien étroit avec ses compagnons d'arme, et c'est une frégate de la Marine nationale qui dispersa ses cendres en mer d'Iroise, ultime clin d'œil au cinéma, puisque le remorqueur de Remorques s'appelait Iroise. Ce livre nous fait découvrir l'acteur sous un nouveau jour, fait de copains, de virées, de femmes - Dietrich étendant sa lingerie dans la caserne où son marin est logé ! De son service militaire à son " dernier voyage ", c'est toute la vie de Jean Gabin, le marin, qui est évoquée. L'iconographie est riche, souvent inédite, et les souvenirs omniprésents.

Gabin le marin - De Jean Moncorgé à Pépé le Moko

Jamais autant de photos souvenirs de cette merveilleuse " région d'Algérie " n'avaient été réunies. Oran, Mostaganem, Nemours, Mers et Kébir, tous ces noms résonnent de nostalgie et de fierté pour les Français d'Algérie. Le lecteur parcourra avec émotions ces villes, l'histoire de ces lieux, si bien décrites par Lucien Laugier, dernier Maire de Mostaganem, Français d'Algérie. Un véritable reportage photographique qui permet aux uns de revivre une époque, et aux jeunes générations de connaître ces lieux et leur histoire.

Les croix de Monseigneur de Mayol de Lupé - Occasion

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