L'adolescence, la jeunesse, l'amour, la guerre, la vie d'un couple marqué par le destin au début du XXème siècle

Comme le temps passe

Livre 1 : Les sept couleurs

Robert Brasillach, déjà auteur d'un essai sur Corneille en 1938, déroule un Polyeucte moderne, en employant sept formes d'expression littéraire (d'où le titre). Sous le mode du Récit il en pose les bases : deux étudiants, Catherine et Patrice, à la fin 1927 et au début 1928, échangent sous le mode de Lettres. Le lecteur apprend le mariage de Catherine avec François, puis un Journal (celui de Patrice, daté d'octobre 1935 à novembre 1936) trace la vie de celui-ci pendant le temps écoulé, où l'on apprend d'abord qu'il s'engagea cinq ans dans la Légion, en Afrique...

Livre 2 : Lettres à une Provinciale

En 1936 le Front Populaire prend le pouvoir en France, alors que Robert Brasillach tient une chronique dans le journal Je Suis Partout. Il y feint de correspondre avec une soi-disant PROVINCIALE, afin de lui conter les vicissitudes du temps. Inutile de souligner que les lettres en question, captivantes sur les plans historique et artistique, sont souvent peu aimables pour le pouvoir en place et ses hommes.

Édition relue, corrigée, mise en forme et enregistrée au Format professionnel électronique © Ink Book édition.

Les Sept Couleurs (suivi de Lettres à une Provinciale) [édition intégrale revue et mise à jour]

Le marchand d'oiseaux est un des personnages de ce roman de Robert Brasillach autour duquel gravite tout un petit monde de figure bien parisienne. Trois jeunes étudiants dont une jolie fille, Isabelle, et une épicière, Marie Lepetitcorps, dont la vie solitaire se trouve bouleversée par l'apparition dans sa boutique, de deux enfants vagabonds, Serge et Michel. Ce conte de fées se déroule dans un quartier de Paris animé par les étudiants, le rire des enfants et le chant des oiseaux, décrits avec émotion par l'auteur sensible au charme de la vie.

Le marchand d'oiseaux

Chronique de notre temps, Notre Avant-Guerre c'est surtout la vie d'une jeunesse française des années trente incarnée par Robert Brasillach et ses amis. De 1925 jusqu'à 1939, Robert Brasillach nous fait vivre à Paris au milieu d'une jeunesse idéaliste, passionnée et engagée. Riche en événements, cette période demeure le symbole de la jeunesse dynamique et courageuse, qui s'engage dans des conflits extérieurs pour défendre ses idéaux. Notre Avant-Guerre, c'est aussi les mémoires de Robert Brasillach, un livre d'histoire sur la période d'entre-deux-guerres, écrit par un témoin, et qui nous permet de mieux comprendre les positions de chacun pendant la deuxième guerre mondiale.

Notre avant-guerre

La conquerante

1925 est devenu le symbole des « années folles », période d'entre-deux-guerres tourbillonnante et ivre de liberté. Cette année-là, Robert Brasillach, âgé de seize ans et demi, arrive à Paris pour préparer le concours d'entrée à l'Ecole normale supérieure, mais la Bourgogne d'où il vient et son Midi natal restent longtemps les pôles réels de son existence.L'accoutumance s'établit, bien sûr. Le lycée, l'école ensuite sont les ports d'attache d'où il part explorer la vie avec des compagnons qui se nomment Maurice Bardèche, Georges Blond ou Jacques Talagrand (le futur Thierry Maulnier). Il découvre le prestige du théâtre avec les Pitoëff, celui de l'idéal avec Charles Maurras, de l'histoire avec Jacques Bainville, celui de la politique et du journalisme avec l'Action française et Je suis partout.Dans Notre Avant-Guerre qui couvre les années 1925 à 1939, Robert Brasillach présente au fil d'une série de souvenirs un témoignage passionné sur cette époque fertile en remous et en événements avant-coureurs de drames - de la guerre d'Espagne à la triomphale montée au pouvoir du nazisme. (Source : Le Livre de Poche, LGF, Hachette)

Notre Avant-Guerre

C'est la rencontre d'une voix ardente et d'une plume merveilleusement poétique qui a donné naissance à un chef-d'oeuvre dont l'écoute est un enchantement. Cette voix, c'est Pierre Fresnay (1897-1975) qui se met tout entier au service des vingt-six Poèmes de Fresnes, derniers écrits de prison de Robert Brasillach (1909-1945). 
Si l'on se sent emporté dans un univers de grandeur c'est qu'en l'occurrence Brasillach est plus qu'un poète : il est une âme qui s'élève, se purifie, se simplifie jusqu'au sacrifice au bord de l'éternité. C'est une montée spirituelle que l'auditeur vit avec Brasillach, et parce que l'ascension de son âme est véritable, il nous apparaît profondément humain : épris de la vie, affamé d'amitié, fier de loyauté. 
L'écoute de ces poèmes est un grand moment d'admiration, de contemplation, de recueillement même, qui laisse au coeur qui dépasse l'injustice du jour de la terre un parfum de la paix d'ailleurs. 
Remastérisation de l'enregistrement de 1963.

Poèmes de Fresnes

"Virgile, écrit Robert Brasillach, devait toujours sembler faire des confidences. Sur un ton tremblé, mystérieux, où passaient le regret, l'amour de la vie, sa sensualité, sa tristesse, son amitié pour la mort.

Toujours, il prendrait profondément le coeur par cette incantation à peine chuchotée qui est le propre des très grands poètes, par la confidence où il mettrait ses auditeurs avec ses plus chers secrets, ses rêves, la couleur de ses nuits ou de son enfance, par le geste amical et triste qu'il avait pour prendre le lecteur par les épaules, comme un frère."

Virgile dormait dans le tombeau des manuels scolaires. Brasillach lui rend sa jeunesse : son livre est celui d'un jeune homme sur un ami du même âge.

Comme le temps passe

Résumé

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