Charity Royall s'ennuie à mourir dans la petite bourgade de North Dormer, en Nouvelle-Angleterre, où elle a été recueillie enfant par un avocat aujourd'hui veuf. Un jour de début d'été, elle voit apparaître dans la minuscule bibliothèque municipale où elle travaille, un jeune architecte, Lucius Harney, venu dessiner les vieilles demeures de la région. Très rapidement, la jeune fille s'éprend de lui...

Eté

One of Edith Wharton's unjustly neglected novels, Hudson River Bracketed features two strong protagonists - Vance Weston and Halo Spear. The former is an undereducated young man who arrives in New York with a keen desire to write. Halo Spear is a brilliant, accomplished young woman who introduces Vance to literature and they form a deep bond, which flourishes and endures despite the hardships of Vance's life, the disappointments of Halo's - and their respective marriages.

Sur les rives de l'Hudson

Lili Bart est une très jolie jeune femme, qui fait tourner la tête de bien des hommes. Ceux de la haute société, de préférence. Bien qu'élevée dans des conditions très modestes, elle a toujours cultivé ce gout pour le raffinement bourgeois et les mondanités. 

Tant et si bien qu'elle met un point d'honneur à ne jamais distinguer l'amour de la bonne fortune : seul un riche mariage saura la satisfaire.

Mais Lili reste une femme farouche et indépendante, n'hésitant pas à repousser nombre d'hommes qui la demandent en mariage. Et, malgré ses rêves de grandeur, son caractère anticonformiste a bien du mal à s'adapter aux moeurs si particulières de la bourgeoisie new-yorkaise... De déconvenues en désillusions, c'est finalement une spirale inexorable qui attend Lili Bart. 

Dans le New York des Années folles, le portrait d'une femme ambitieuse mais échue à sa condition, face au « beau monde » qui ne l'est plus tellement...

Chez les heureux du monde

Le premier texte, écrit en 1877 à l'âge de 14 ans, décrit les chassés-croisés amoureux de Georgie et de Guy Hastings et contient en germe les thèmes whartoniens : l'impossibilité d'aimer son égal, l'horreur du mariage ou la solitude de l'adolescence. La seconde nouvelle, rédigée trente ans plus tard, se moque des ambitions littéraires passées d'E. Wharton et des moeurs éditoriales.

Libre et légère

Invitée par Lyautey, résident général de la République française, Edith Wharton découvrit le Maroc en 1917, à une époque où les voyageurs occidentaux étaient rares. Les recommandations dont elle bénéficia lui ouvrirent de nombreuses portes et lui permirent d'être le témoin des derniers instants d'une civilisation millénaire, avant que le Maroc ne s'ouvre au monde. Son témoignage est d'autant plus précieux qu'elle allie un don d'observation à une grande connaissance de l'histoire marocaine.Ses premières impressions de voyage furent publiées dans des journaux américains, avant d'être réunies en volume en 1920.

Voyage au Maroc

Quand il lit par hasard une petite annonce dans le Spectator, Stephen Glennard y reconnaît de suite une manière de se fabriquer une nouvelle vie ainsi de prendre le coeur de la belle Alexa Trent. Il se trouve que des lettres que le grand auteur défunt Margaret Aubyn lui a écrit il y a plusieurs années sont en sa possession. Tout ce qu'il doit faire, c'est de mettre sa mauvaise conscience au rancard et de trouver un éditeur lui proposant un bel à-valoir. La publication de la Correspondance de Mrs Aubyn est un grand succès, le livre un best-seller et le sujet de conversation de la société bourgeoise new-yorkaise. La fascination (avec son aspect répulsif) des lecteurs se retrouve dans l'anonymat de l'homme qu'Aubyn a aimé ainsi.

La pierre d'achoppement

"Undine Spragg-how can you?" her mother wailed, raising a prematurely-wrinkled hand heavy with rings to defend the note which a languid "bell-boy" had just brought in.

But her defence was as feeble as her protest, and she continued to smile on her visitor while Miss Spragg, with a turn of her quick young fingers, possessed herself of the missive and withdrew to the window to read it.

"I guess it's meant for me, " she merely threw over her shoulder at her mother.

"Did you EVER, Mrs. Heeny?" Mrs. Spragg murmured with deprecating pride.

Mrs. Heeny, a stout professional-looking person in a waterproof, her rusty veil thrown back, and a shabby alligator bag at her feet, followed the mother's glance with good-humoured approval.

"I never met with a lovelier form, " she agreed, answering the spirit rather than the letter of her hostess's enquiry.

Mrs. Spragg and her visitor were enthroned in two heavy gilt armchairs in one of the private drawing-rooms of the Hotel Stentorian. The Spragg rooms were known as one of the Looey suites, and the drawing-room walls, above their wainscoting of highly-varnished mahogany, were hung with salmon-pink damask and adorned with oval portraits of Marie Antoinette and the Princess de Lamballe.

The Custom of the Country

" Je vous demande, je vous supplie, je vous exhorte d'étudier ceux qui vous entourent. Laissez-vous immerger. C'est un sujet inconnu, ceux qui, ici, ont essayé sont loin, très loin d'une vie civilisée, superficielle mais évoluée. Puisez dans vos dons remarquables d'ironie et de satire. Ils sont ce que je considère comme de plus vital et de plus bénéfique. Ce que je veux dire en un mot, c'est profiter, regarder quel exemple désastreux je suis d'exil et d'ignorance. Vous pouvez dire que j'en parle à mon aise mais j'ai payé pour moi, je ne veux pas payer pour vous. " Faites " New York. L'expérience vécue est précieuse... "

Eté

Résumé

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