Riviere sans nom (la)

Trouble du développement marqué par les difficultés de relation à l'environnement et de communication, l'autisme nécessite une prise en compte de la personne dans son entièreté. De nombreuses méthodes thérapeutiques ont été pensées pour améliorer les capacités interactionnelles des personnes atteintes. La médiation animale offre une approche originale et pertinente, en cela que l'animal tient lieu d'intermédiaire de communication entre le patient, souvent un enfant, et le zoothérapeute. Certaines personnes atteintes profondément conserveront en mémoire le vécu et les expériences de la thérapie. D'autres patients réussiront à prendre conscience de leur fonctionnement relationnel et cela permettra l'apprentissage de certains comportements et aptitudes.Accompagné de cas réels et de descriptions concrètes des séances de médiation animale proposées à l'Institut français de zoothérapie, cet ouvrage apporte un éclairage sur les possibilités ouvertes par la médiation animale dans l'aide aux personnes atteintes d'autisme. Il intéressera donc tous les professionnels du secteur médico-social amenés à oeuvrer auprès d'enfants autistes.

Autisme et zoothérapie ; communication et apprentissages par la médiation animale

En intervention auprès de personnes atteintes d'autisme, le zoothérapeute décrypte le comportement de l'animal, qu'il se doit de bien connaître, pour tester l'intensité de la présence de l'autiste. Auprès de ces patients, on vise particulièrement à améliorer l'aspect relationnel en donnant des outils de communication et en travaillant à maintenir ceux déjà en place. Certaines personnes atteintes profondément conserveront en mémoire le vécu et les expériences de la thérapie. De plus, elles pourront peut-être acquérir quelques réflexes de communication. D'autres patients réussiront à prendre conscience de leur fonctionnement relationnel et cela permettra l'apprentissage de certains comportements et aptitudes.

Autisme et zoothérapie

Tom a rejoint l'extrême nord du Québec, où commence la toundra arctique. Il côtoie maintenant le peuple Inuit, et découvre un mode de vie et de pensée complètement différent du notre. Il sympathise vite avec Putujialuk, et décide de l'accompagner dans une aventure fascinante mais périlleuse : la chasse aux caribous.

La vallée des caribous - Occasion

NUNAVIK : " Terre où l'on s'installe " en Inuktitut, la langue des Inuit.
Le Nunavik, grand comme la France, où vivent 8 500 Inuit, est situé au nord du Québec, au-dessus du 55e parallèle.
Depuis 20 ans, je partage ma vie avec mes chiens de traîneau. Et, c'est en 1993 que je découvre le Nunavik avec eux. Je passe deux hivers, en 93 et 94, dans le village Inuit de Quaqtaq au nord-ouest de la baie d'Ungava.
La toundra, avec ses immensités blanches, et le peuple Inuit me fascinent et m'envoûtent depuis plus de 40 ans. À la fin de l'hiver 94 il me vient une idée. Et, si un jour, je faisais le tour du Nunavik avec mes chiens ? Je venais de me lancer un défi.
Juillet 1997
J'écris en quelques lignes, sur une feuille de papier, la structure de ce qui va devenir par la suite l'extraordinaire expédition " Perce-Neige Nunavik 99 " à la rencontre des Inuit en traîneau à chiens. Expédition dédiée aux handicapés mentaux et à mon fils Xavier, trisomique, parrainée par l'Association Perce-Neige, en France, et par la Fondation pour la trisomie, au Québec. Je suis parti le 19 janvier 1999 de Chisasibi, sur la baie James, pour aller rejoindre Kuujjuaq, au sud de la baie d'Ungava. 2 800 kilomètres avec 16 chiens. Explorer, découvrir, rencontrer les peuples, apprendre, partager, donner un sens à ce que j'entreprends. Voilà mes priorités.
Tout au long de ces 2 800 kilomètres, pendant 82 jours, j'ai subi 9 tempêtes de blizzard, des vents à plus de 100 km/h, des froids de moins 58°, 4 jours bloqué sans manger. J'ai croisé deux ours polaires, des loups, j'ai rencontré un peuple Inuit qui se prend en main petit à petit...
Une fantastique exploration, pendant 3 mois, dans l'Arctique québécois.

NUNAVIK 99. - A la rencontre des Inuit en traîneau à chiens

En compagnie de Mary, une jeune Amérindienne et de son grand-père Louis, Tom descend la rivière Sans Nom en canot pour rejoindre la baie Nemio. C'est le temps du Goose Break, le grand rassemblement des Amérindiens pour aller chasser les outardes (les oies sauvages) au printemps. Un voyage plein d'intrigues de rebondissements et de tendresse.

La rivière sans nom - Occasion

Des images plein la tête, Tom s'embarque avec ses chiens pour le Canada. Depuis son plus jeune âge, il rêve de découvrir le Grand Nord. Là-bas, il rencontre un trappeur indien, Charlie, qui va l'entraîner dans une aventure semblable à celles des livres de son enfance. Et le quotidien hivernal va se révéler à la fois plus dur et plus exaltant que tout ce qu'il avait imaginé !
Avec ce roman initiatique, François Beiger sensibilise à la vie authentiquement naturelle et à l'écologie, dans l'environnement sauvage et glacé du Grand Nord.

Riviere sans nom (la)

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