Extrait:Le Wulfhof 8 éléve au sommet d'une haute colline, dans la partie la plus fertile et la plus belle de la Flandre occidentale.

Le Mal du siècle: Scènes de la vie contemporaine

Voilà Mieken, la jolie enfant blonde, qui s’en retourne à la maison avec son ardoise sous le bras. Son voisin Janneken, tête frisée aux cheveux noirs, marche à côté d’elle1. Chemin faisant, ils cueillent dans le seigle des bluets bleus et des coquelicots rouges. Ils s’assoient sur le seuil de pierre fruste à l’entrée du cimetière. Janneken tresse une couronne avec les fleurs. La petite fille trouve que cela dure trop longtemps et témoigne son impatience de posséder la couronne...Extrait :Il y eut aussi beaucoup de personnes qui parurent admirer mon œuvre, et qui m'encouragèrent en me disant que j'étais prédestiné à faire une révolution dans l'école, et à élever l'art chrétien au-dessus de l'art païen ; mais plus je trouvai de défenseurs, plus je vis s'élever contre moi d'ennemis acharnés. Si la lutte s'était bornée à la discussion des défauts et des mérites de ma statue, je n'y eusse point succombé ; mais mes adversaires, aveuglés par la passion, se mirent à chercher dans mon passé des prétextes pour me livrer à la risée du public. Ils firent, sans le vouloir, saigner mon cœur par de profondes blessures, et profanèrent des souvenirs qui m'étaient plus chers que la vie. Depuis ce moment, j'ai eu peur de la publicité, et je n'ai plus jamais rien exposé.

La Tombe de fer

Excerpt from Batavia On a beautiful day in June of the year 1613, two people, an old woman and a young man, were standing on the quay of Texel at Amsterdam, near the tower of the fish-packers, which laves its feet in the vast basin of the Ye. The woman seemed to be a sufferer, for she was pale and thin, and a dry cough which was occasionally heard gave evidence of slow pulmonary trouble that was sapping her life. She looked down sadly, lifting her eyes at times to him who accompanied her, as if she but waited for him to break the silence that she might speak. Leaning against the fish-packers' tower, the young mans looks wandered up and down the quay, seeming profoundly preoccupied; but he kept his eyes particularly fastened on a large merchant-ship, on board of which sailors were employed carrying trunks, boxes, and other luggage. Had any one endeavored to guess the young man's age from his face, when he was as now a prey to thoughtful revery, they would most certainly have been mistaken in it.

Batavia

Scènes de la vie flamande: Ce que peut souffrir une mère, Le Gentilhomme pauvre, Le Conscrit

Extrait : Le jeune homme commença à se laver la figure et les mains en grommelant. Quand il eut fini, il essaya également de nettoyer la terre et la boue qui couvraient ses habits ; mais la brosse était très usée et malgré toutes les peines qu'il se donna il ne réussit pas à faire disparaître les nombreuses taches. Il s'en plaignit amèrement et même, dans son dépit et son impatience, il jeta la brosse par terre. Il devint encore plus mécontent lorsqu'il se regarda pour la seconde fois dans la petite glace. Il paraissait terriblement laid avec son linge chiffonné, ses habits malpropres, ses yeux pleins de sang, ses joues tirées, blêmes et jaunes.

Argent et Noblesse

The story of The Poor Gentleman is one of the series in which M. Conscience has delineated various grades of female character in positions of trial. In The Village Innkeeper he has shown the weaker traits of woman distracted between an inborn sense of propriety and a foolish ambition for high, life. In The Conscript his heroine displays the nobler virtues of uncorrupted humble life; and, with few characters, taken from the lowest walks, he shows the triumph of honest, straightforward earnestness and pertinacious courage, even when they are brought in conflict with authority. The Poor Gentleman closes the series; and, selecting a heroine from the educated classes of his country-people M. Conscience has demonstrated how superior a genuine woman becomes to all the mishaps of fortune, and how successfully she subdues that imaginary fate before which so many are seen to fall.Excerpt 1:Near the end of July, 1842, an open caleche might have been seen rolling along one of the three highways that lead from the frontiers of Holland toward Antwerp. Although the vehicle had evidently been cleaned with the utmost care, everything about it betokened decay. Its joints were open, discolored, and weather-beaten, and it swung from side to side on its springs like a rickety skeleton. Its patched leathers shone in the sunshine with the oil that had been used to freshen them, but the borrowed lustre could not hide the cracks and repairs with which they were defaced. The door-handles and other parts of the vehicle that were made of copper had been carefully polished, and the vestiges of silver-plating, still visible in the creases of the ornaments, denoted a former richness which had been almost entirely worn out by time and use. The caleche was drawn by a stout, heavy horse, whose short and lumbering gait intimated very clearly that he was oftener employed in the plough and cart than in carrying his owner toward the capital."Excerpt 2:As Monsieur De Vlierbeck entered Antwerp, where he knew he would be an object of notice, he assumed a jaunty, self-satisfied air. Anyone seeing him which might have deceived into believing him the happiest man on earth . . . even while he suffered from the profoundest agony.He was, he feared, about to suffer abject humiliation. This would cut him to the very heart! But there was a being in the world whom he loved better than his life or honor -- his only child, his daughter. For her, how frequently had he sacrificed his pride -- how frequently had he suffered the pangs of martyrdom!

Le Gentilhomme pauvre

1842 près d'Anvers. M. de Vlierbecke est un gentilhomme ruiné. Il élève seul sa fille Lénora dans leur propriété du Grinselhof mais ses dettes sont telles que la vente de ses biens suffirait à peine à les couvrir. Sa fierté lui commande de taire son immense dénuement à son entourage qui le croit de la plus vile radinerie. Un espoir pourtant: l'idylle naissante de sa fille avec Gustave le neveu d'un riche bourgeois. La promesse faite à sa femme sur son lit de mort de la rendre heureuse va pouvoir se réaliser. Mais l'oncle de Gustave ne consent pas au mariage... Voici un conte bouleversant pour ceux qui aiment les beaux sentiments et les mélodrames. Et l'amour finalement triomphera...

Le Gentilhomme Pauvre

Extrait:La loi de nos pères était ferme comme ces l1lq s murailles qui, bleu que sillonnées par de profondes crévasses et couronnées d'une sauvage verdure, ont traversé les siècles et sont encore debout malgré les orages et le soufﬂe de la tempête..

Le Lion de Flandre Volume 1

Batavia, la capitale légendaire d'autrefois des Indes néerlandaises (aujourd'hui Jakarta), était une ville avec une grande richesse et un commerce important dans un vaste royaume insulaire mystérieux géré par les Pays-Bas.   Batavia est l'une des rares œuvres écrites sur la fondation de la ville au début du XVIIe siècle par la société commerciale néerlandaise, le VOC. L'histoire commence dans les chantiers navals du vieil Amsterdam, lorsque deux amoureux se disent nerveusement au revoir, sans savoir que la fondation de Batavia les ramènera un jour dans des circonstances extraordinaires.   Explorez le début d'un empire lorsque Jayakarta devient Batavia, la légendaire Amsterdam de l'Est.Extrait:Mais, Walter, dit-elle, nous pourrions bien manquer le moment des adieux. Dirigeons-noys vers le Pont - Neuf. Ils doivent venir par la rue aux Herbes et ne peuvent nous rencontrer ici.

Le Mal du siècle: Scènes de la vie contemporaine

Résumé

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