Lost Illusions is a fascinating novel about a young poet living in provincial France and his journey to Paris to find fame and fortune.Balzac satirizes the practices of journalists and publishers of 19th century France. The author says luck plays a great role in the success of people, including writers. (English translation).

Lost Illusions

«Ah ! Ah ! s'écria-t-il, vous ne vous attendiez pas à tant de perfection ! Vous êtes devant une femme et vous cherchez un tableau. Il y a tant de profondeur sur cette toile, l'air y est si vrai, que vous ne pouvez plus le distinguer de l'air qui nous environne. Où est l'art ? Perdu, disparu ! Voilà les formes mêmes d'une jeune fille. N'ai-je pas bien saisi la couleur, le vif de la ligne qui paraît terminer le corps ? (...) Et ces cheveux, la lumière ne les inonde-t-elle pas ? Mais elle a respiré, je crois ! Ce sein, voyez ? Ah ! Qui ne voudrait l'adorer à genoux ? Les chairs palpitent. Elle va se lever, attendez. - Apercevez-vous quelque chose ? demanda Poussin à Porbus. - Non. Et vous ? - Rien.»

Le Chef-d'œuvre inconnu

Gobseck, Maître Cornélius, Facino Cane, L'adieu

Gobseck et autres récits

« Sachons-le bien! La France au dix-neuvième siècle est partagée en deux grandes zones : Paris et la province ; la province jalouse de Paris, Paris ne pensant à la province que pour lui demander de l' argent. Autrefois Paris était la première ville de province, la Cour primait la Ville ; maintenant Paris est toute la Cour, la Province est toute la Ville. [...] La conversation est bornée au Sud de l'intelligence par les observations sur les intrigues cachées au fond de l' eau dormante de la vie de province, au Nord par les mariages sur le tapis, à l' Ouest par les jalousies, à l'Est par les petits mots piquants. [...]Dès leur bas âge, les jeunes filles de province ne voient que des gens de province autour d' elles, elles n' inventent pas mieux, elles n' ont à choisir qu' entre des médiocrités, car les pères de province marient leurs filles à des garçons de province, et l' esprit s' y abâtardit nécessairement. Personne n' a l' idée de croiser les races. Aussi, dans beaucoup de villes de province, l' intelligence y est-elle devenue aussi rare que le sang y est laid... »Deux typologies de femmes épinglées par la plume sans concession d un écrivain observateur impitoyable des moeurs de son siècle.

La femme de province suivi de la femme comme il faut

Lettres à Madame Hanska, tome 1 : 1832-1844

Physiologie du rentier de Paris et de province

C'est l'histoire d'une jeune fille aristocratique qui a déjà refusé plusieurs prétendants, sous prétexte qu'ils ne sont pas des pairs de France. Mais elle rencontre un jeune homme mystérieux au "Bal de Sceaux». Ce jeune homme ne révèle pas son identité et ne semble intéressé par sa sœur, une fille fragile. Mais il n'est pas totalement insensible à l'attention de Emilie et accepte les invitations de son père. Bientôt, ils se comprennent très bien, même sans paroles. Mais le père d'Emilie découvre où le jeune homme vit, et Emilie décide d'aller voir par elle-même ...

Le Bal De Sceaux

It is in the Tuileries, just outside the Cafe des Feuillants, that Henri de Marsay first catches sight of the girl with the golden eyes and can almost believe in love. Haunted by her shimmery image, returning daily to the Tuileries for another glimpse of her dark beauty, he learns her name - Paquita Valdes - and discovers her address. But a fairy-tale princess has never been more inaccessibly locked in a tower as has Paquita in a mansion on the Rue Saint-Lazare. Vowing conquest, Henri de Marsay elaborately plots his seduction of the girl with the golden eyes, but with his sensual triumph comes the bitter revelation that he has a powerful rival for the love of Paquita - the Marquise de San-Real, his own half-sister. A cry of vengeance and the call of blood bring Balzac's taut exploration of the dark side of Parisian society in this novella from his trilogy, History of the Thirteen, to its unexpected if inevitable end.

La Fille aux yeux d'or

Dans les bureaux d'un ministere, Xavier Rabourdin postule au titre de chef de division, estimant meriter cette promotion par son anciennete et son merite. Pousse par sa femme Celestine (la Femme superieure) il se lance dans un grand projet de reforme administrative, qui, pense-t-il, lui vaudra un bel avancement. Toutefois un autre chef de bureau, soutenu par un cercle petit bourgeois mediocres et comploteurs qui poussent sa candidature pour faire avancer leurs interets personnels, aspire au meme poste: Isidore Baudoyer."

Lost Illusions

Résumé

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