Sceau médiéval - Analyse d'une pratique culturelle

L'ouvrage porte sur l'usage du sceau en Occident, quand le signe devient le premier mode de preuve dans les régions de droit coutumier, au XIIè siècle, jusqu'à son déclin, au XVe. L'étude de l'usage suppose donc de s'intéresser aux techniques (matérielles et intellectuelles), aux modes de pensée et aux valeurs qui s'y expriment. Ce que l'auteur invite à regarder dans le sceau, c'est le fait de civilisation et les savoirs véhiculés.

SCEAU MÉDIÉVAL

Psoriasis, eczéma, anorexie, brûlures, tatouages, piercings, bronzage... La peau reflète à la fois notre santé physique et notre santé psychique. Les altérations de la peau sont le miroir d'un conflit intérieur qui finit par suinter à la surface du corps. Ce conflit est souvent une lutte entre une pulsion qui cherche à s'assouvir et un interdit qui cherche à la contrer.L'auteur a tenté de différencier deux issues possibles à ces mouvements pulsionnels à travers la peau : la première issue est celle d'une pulsion qui s'extériorise par le passage à l'acte se traduisant par des traces cutanées agies (tatouages, piercings...) ; la deuxième issue est celle d'une pulsion qui s'intériorise et qui implose sous forme de dermatoses subies (eczéma, psoriasis, acné, maladies auto-immunes).Ce livre prend en compte tous les aspects médicaux, biologiques, sociaux, familiaux, psychologiques et psychiques de la peau, permettant ainsi une prise en charge globale de l'individu, tant sur le plan physique que sur le plan psychique. L'auteur présente de nombreuses pistes thérapeutiques, des conseils et des solutions pour comprendre ce que la peau veut nous dire.p

La peau, reflet de votre état physique et psychologique

Psoriasis, eczéma, anorexie, brûlures, tatouages, piercings, bronzage... La peau reflète à la fois notre santé physique et notre santé psychique. Les altérations de la peau sont le miroir d'un conflit intérieur qui finit par suinter à la surface du corps. Ce conflit est souvent une lutte entre une pulsion qui cherche à s'assouvir et un interdit qui cherche à la contrer. L'auteur a tenté de différencier deux issues possibles à ces mouvements pulsionnels à travers la peau : la première issue est celle d'une pulsion qui s'extériorise par le passage à l'acte se traduisant par des traces cutanées agies (tatouages, piercings...) ; la deuxième issue est celle d'une pulsion qui s'intériorise et qui implose sous forme de dermatoses subies (eczéma, psoriasis, acné, maladies auto-immunes). Ce livre prend en compte tous les aspects médicaux, biologiques, sociaux, familiaux, psychologiques et psychiques de la peau, permettant ainsi une prise en charge globale de l'individu, tant sur le plan physique que sur le plan psychique. L'auteur présente de nombreuses pistes thérapeutiques, des conseils et des solutions pour comprendre ce que la peau veut nous dire.

La peau - Reflet de votre état physique et psychologique

Jeanne vit les changements qui vont augurer mai 1968.
Durant ces années soixante, l'adolescente va être confrontée à des générations de traditions et de certitudes qui perdurent dans la province française. Un vent de révolte et de renouveau commence à souffler et interférer sur les mentalités. Jeanne subit les affres d'une éducation qu'elle transgresse. Sa révolte n'est pas sans conséquences sur son quotidien. Elle subit violence, humiliation, incompréhension tout au long de ces années soixante. Comment ses grands-mères et sa mère vont-elles interroger et influencer Jeanne dans sa construction ? Les silences et les non-dits de la famille sont des bombes à retardement. Jeanne essaie de fuir cet environnement sclérosant. « Elle s'accroche à ce rafiot qui prend l'eau, qui la secoue mais lui promet une accalmie, un ciel plus serein, même si les gifles et les humiliations tombent à gros grêlons. » Comment va-t-elle obtenir la liberté, pour laquelle elle se bat, dans le féminisme naissant ?

Tais-toi

Au cours de l'ensemble de sa carrière universitaire, Bernard Durand a exploré bon nombre de domaines de l'histoire du droit : l'histoire du droit administratif et l'histoire du droit public, l'histoire du droit privé, l'histoire du droit colonial et l'histoire du droit pénal. Parmi tous ces thèmes de recherche, le dernier paraît lui avoir tenu particulièrement à coeur. Il a, en effet, livré une étude d'ensemble sur la justice pénale et ses contours, de l'Ancien Régime au XXe siècle. Dans la République, Platon explique que la géométrie est la science qui permet d'accéder au savoir : "elle a pour objet la connaissance de ce qui est toujours", "elle attire l'âme vers la vérité ; elle forme en elle cet esprit philosophique qui élève nos regards vers les choses d'en haut au lieu de les abaisser, comme on le fait, sur les choses d'ici-bas". "Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre", aurait-il même fait inscrire au seuil de l'Académie, à Athènes. Force est de constater qu'il y a, à la fois dans la science géométrique et dans ce qu'elle permet de comprendre selon Platon, le coeur de la démarche scientifique de Bernard Durand. Ses recherches dans la législation et la doctrine, tant française qu'européenne, confrontées sans cesse aux sources de la pratique judiciaire et enrichies par la littérature et la philosophie ont fourni matière à plusieurs articles réunis dans ce recueil. Ces articles, même vingt ou trente ans plus tard, n'ont rien perdu de leur intérêt ni de leur pertinence.

Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre - Recueil d'études en droit pénal de Bernard Durand

Ce volume s'inscrit aux " origines " d'une recherche " au long cours ". D'une part, il suit le travail déjà largement conduit sur la justice coloniale de la troisième République dans lequel l'accent avait été mis sur la situation du juge et les difficultés qu'il avait rencontrées pour trouver sa voie au milieu des écueils de l'Empire colonial (" Le juge et l'Outre-mer: les roches bleues de l'Empire colonial "). D'autre part, il précède les approches comparatives en cours, destinées à " placer " le juge colonial français dans un ensemble plus vaste. Il permet ainsi de combler une lacune : comment, en effet, aborder la troisième République sans rappeler les leçons et les modèles antérieurs ? L'étude de ces " précédents ", à l'évidence, conforte l'idée que les modèles anciens étaient déjà porteurs " d'exemples " difficiles à ignorer ; elle suggère également des interrogations que les recherches sur la troisième République n'avaient pas nécessairement mises en évidence. Bernard Durand

Sceau médiéval - Analyse d'une pratique culturelle

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