Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

L'ombre des ailes

Marie-Magdeleine - Drame en trois actes, représenté pour la première fois au Théâtre du Châtelet le 28 mai 1913

Golaud rencontre Mélisande au fond d'une forêt. Il ne sait qui elle est ni d'où elle vient, et elle-même ne sait pas le lui dire, semblant perdue dans la forêt comme sur la terre. Golaud épouse Mélisande et l'emmène chez lui, au pays d'Allemonde, où règne le vieil Arkël. Mais Mélisande tombe amoureuse de Pelléas, le frère de Golaud. Tout pourrait conduire à une simple tragédie bourgeoise, dans ce conte aux allures médiévales. Mais le mystère qui entoure chaque personnage, la manière dont chacun semble étranger à lui-même et aux autres, les forces irrésistibles qui les entraînent, érigent cette histoire au rang de mythe. Il est temps de redécouvrir ce grand texte, au-delà de l'opéra de Debussy.

Pelléas et Mélisande

Maurice Maeterlincks Nekrolog zum Tod seines Hundes aus dem Jahr 1904 ist neben Thomas Manns Idyll "Herr und Hund "(1919) Sándor Márais Hunde-Roman "Csutora" (1932) und Virginia Woolfs Hundebiografie "Flush" (1933) einer der gewichtigsten Texte, die in der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts über den Freund des Menschen geschrieben worden sind. Maeterlincks philosophischer Essay geht weit über eine Trauerrede hinaus und weist dem Tier eine einzigartige Stellung in der Welt des Menschen zu.

Vom Tod eines kleinen Hundes

La reine, qui possède un contrôle total sur ses serviteurs et le peuple, a tué la plupart de la famille de Tintagiles. Ygraine et Bellangère tentent de les protéger, mais il est capturé par les serviteurs de la reine. Ygraine les poursuit jusqu'à la porte du château.

La mort de Tintagiles

Ce volume réunit tous les écrits naturalistes du prix Nobel de littérature Maurice Maeterlinck, dont certains sont depuis longtemps indisponibles. Maeterlinck (1862-1949), disait Gourmont dans Le Livre des masques, fait partie des êtres « douloureux qui se meuvent dans le mystère de la nuit ». A côté de l'oeuvre du poète symboliste, il y a Maeterlinck observateur de la nature. La Vie des abeilles, L'intelligence des fleurs, La Vie des termites, La Vie des fourmis comptent parmi les travaux d'observation à la fois les plus stimulants et les Plus originaux sur la vie naturelle. Le succès de ces ouvrages fut immense : La Vie des abeilles dépassera les 250 000 volumes et assurèrent au poète, dans le domaine des sciences naturelles, une popularité encore plus grande que celle de Jean-Henri Fabre, au point que le biologiste Jean Rostand lui rendait en 1965 un hommage éclatant. « Dans cette Vie des abeilles, de genre inclassable comme le sont beaucoup de vrais chefs-d'oeuvre, Maeterlinck nous communique, nous fait partager l'émotion qu'il éprouve lui-même devant ce petit univers que constitue une ruche. Emotion que provoquent en lui non seulement l'aspect visible, le spectacle fascinant et pittoresque de la frémissante cité, mais aussi tout ce qui fait la vie profonde de ses habitants, l'intimité de leurs moeurs, le secret des consciences séculaires que leur imposent les besoins de la collectivité et les nécessités de l'espèce. Reproduction, sexualité, parthénogenèse, rivalité des reines, soins donnés aux jeunes, discipline sociale, soumission de l'individu du groupe : sur tout cela, il médite, s'interroge passionnément... Par la vertu de son génie. Maeterlinck fera entrer dans le patrimoine littéraire un peu de l'âme du naturaliste. »

L'ombre des ailes

Résumé

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