Réponse à Jean-Claude Pressac

« Les prétendues "Chambres à gaz" hitlériennes et le prétendu "génocide" des Juifs forment un seul et même mensonge historique.»Robert Faurisson persiste et signe.Il est attaqué en justice par sept associations d'antiracistes, d'anciens résistants, d'anciens déportés, etc., pour "dommage" par "falsification de l' Histoire" (sic!).Robert Faurisson répond ici à ses accusateurs. Sa démonstration ne porte pas seulement sur le "témoignages Kremer" qui est l'ultime argument de ceux pour qui les "chambres à gaz" auraient existé ; elle s'étend à bien d'autres aspects surprenants de la question.Ce mémoire illustre une fois encore la méthode matérialiste de Robert Faurisson ; cette méthode a fait ses preuves dans l'étude du journal d'Anne Frank dont l'inauthenticité est aujourd'hui admise.Le sujet des "chambres à gaz" est tabou. Il se situe au cœur de tout un ensemble d'interdits politico-historiques de nature religieuse, forgés par nos sociétés.En un temps où les bombes deviennent le dernier recours des idéologues, ce livre constitue une bombe à dépression idéologique.

Mémoire en défense: contre ceux qui m’accusent de falsifier l’histoire

Réponse à Pierre Vidal-Naquet

D'après Robert Faurisson, l'auteur d'un célèbre A-t-on lu Rimbaud ?, l'ouvre de Lautréamont n'a jamais été lue pour ce qu'elle serait : une joyeuse contrefaçon de la "bêtise prudhommesque". Les Chants de Maldoror ne seraient qu'un énorme canular et tous les critiques seraient jusqu'à nos jours tombés dans le piège littéraire. Robert Faurisson, à qui ne manquent ni la verve ni l'érudition, s'engage à la fois dans une sorte de pamphlet contre la critique universitaire et la nouvelle critique, et dans une tentative de "lecture interne authentique" des Chants de Maldoror.

A-t-on Lu Lautreamont?

La Clé des "Chimères" et "Autres chimères" de Nerval

« [...] Nos adversaires ne cessent de se présenter en fervents défenseurs des droits de l'homme mais aux révisionnistes ils dénient tout droit, y compris celui d'être des hommes et des femmes, libres de vivre et de respirer. D'abord, pour eux, nous ne sommes que des "négationnistes". Ils ont inventé ce barbarisme pour nous mettre au ban de la société et même au ban des nations occidentales. Il ne semble pas leur venir à l'esprit que, dans l'ensemble, nous pourrions n'être ni pires ni meilleurs que le reste de nos frères humains. Peut-être après tout les révisionnistes, comme ils s'obstinent à s'appeler, sont-ils des êtres doués de raison et soucieux à la fois de justice et de justesse. Nos adversaires refusent de voir que certains d'entre nous sont manifestement pétris d'idéalisme et observent des conduites qu'on peut qualifier d'héroïques. À ce titre bien des hommes et des femmes seraient à citer mais je me contenterai de rappeler ici le nom de l'Allemand Reinhold Elstner, qui, à Munich le 25 avril 1995, s'est immolé par le feu en signe de protestation contre "le Niagara de mensonges" déversé sur son peuple ; il a été notre Jan Palach. Et que dire d'Ahmed Rami, de Vincent Reynouard, d'Ernst Zündel, de Horst Mahler et de sa compagne, Sylvia Stolz, "la Jeanne d'Arc allemande", dont le nom signifie "fière" ? On me fait parfois remarquer que mieux vaut éviter la prison car c'est seulement hors de prison qu'on peut ?uvrer pour la cause révisionniste ; la remarque n'est pas aussi juste qu'il y paraît car toute cause a besoin de modèles et il faut bien admettre que la figure héroïque du "prisonnier de conscience" a toujours revêtu une valeur emblématique. Il peut valoir la peine, comme dans le cas de Horst Mahler, d'aller en prison à 73 ans pour le reste de ses jours. J'ai 80 ans et je n'ai pas son courage. [...] » (Extrait de la préface.)

Réponse à Jean-Claude Pressac

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