Luigi Crespi - Ritrattista nell'eta di papa lambertini

Cet ouvrage dont on ne connaît ni l'auteur ni la date de parution (sans doute la première partie du XIIe siècle en France) est le tout premier écrit appartenant à la littérature de la cabale. Composé à partir de sources orientales encore peu connues, il en développe cependant la plupart des grands thèmes : mystique des lettres, migration des âmes, système des sephirot, combinaisons de Noms divins, procédure de prières, méditations sur la création du monde et sur le mystère de la Mercabah (Char céleste). Il constitue à ce titre un complément précieux pour une bonne intelligence du Zohar. Les fragments pleins de secrets du Bahir abordent également la question du mal, et ce de manière si originale qu'un savant comme Gershom Scholem a pu dire que c'était un livre gnostique. En fait, loin de croire en la réalité de deux principes souverains antagonistes, il considère que le mal autant que le bien sont l'oeuvre du Dieu unique lui-même. Les pages les plus remarquables sont celles qui contiennent les énoncés sur le masculin et le féminin. Selon ce texte, le monde a été créé par leur union, et la rédemption des âges messianiques ne s'obtiendra que par elle.

Le Bahir

Où est l'aigle ? - Lettre du grand chef indien Seattle au Président des Etats-Unis

Psychanalyse A L'Universite Tome 16 Numero 62

« La saga de Njall » est une saga islandaise écrite par un auteur anonyme à la  fin du Treizième siècle. Il s'agit d'une des sagas islandaises les plus  abouties, un des récits épiques les plus célèbres dans le monde nordique, et un  trésor national en Islande. Outre sa valeur épique et romanesque, sa violence,  cette saga est un document exceptionnel sur les débuts de la colonisation  islandaise par des familles Viking, immigrants de Norvège : le témoignage (bien  que postérieur de deux siècles et demi aux faits évoqués) sur l'introduction du  Christianisme en Islande et les débuts de l'Althing, premier parlement européen  dans un État sans exécutif, le système judiciaire, et la création des lois, sont  fascinants.

Luigi Crespi - Ritrattista nell'eta di papa lambertini

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