Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

L'épervier pris au piège

Opération Épervier

Maintenant que le moment était enfin venu d'aller au rendez-vous, il se sentait envahi par une étrange nervosité. Ce rendez-vous qu'il avait attendu avec une impatience, tout d'un coup lui faisait presque peur. Il craignait soudain que pour avoir été trop exigeant, l'homme qu'il devait rencontrer ne lui annonce qu'il ne donnait pas suite à sa proposition. Schenk savait que cette proposition était sa dernière chance, qu'elle ne se présenterait pas une deuxième fois, que c'était pour lui la seule issue possible. Il savait que si elle était annulée, tout était perdu, qu'il finirait tôt ou tard par se faire prendre et qu'une condamnation mettrait un terme à sa vie mouvementée d'aventurier sans scrupule.

L'épervier trouve sa chouette

Chasse à l'épervier

Du poing que l'homme tenait serré à la hauteur de sa hanche, trois éclairs jaillirent soudain, suivis simultanément de trois détonations qui éclatèrent sèchement dans la nuit. Valeschini ouvrit des yeux démesurés, son cigare glissa entre ses doigts et tomba à ses pieds. Il demeura deux ou trois secondes comme hébété, puis son ventre eut l'air de s'enfoncer sur ses jambes trop courtes et il s'effondra d'un seul coup, roula sur le bord du chemin comme un tonneau tandis qu'une gorgée de sang noir s'échappait de sa bouche ouverte. Trente secondes plus tard, quand l'homme eut remis en marche le moteur de sa voiture qui démarra en trombe pour rejoindre la route, la mort avait fait son oeuvre et Renato Valeschini n'était plus qu'un cadavre.

O.T.A.N. pour l'Épervier

La mission qui a été confiée cette fois-ci à l'ÉPERVIER est sensiblement différente de celles qu'il a accomplies jusqu'ici. Il s'agit de rechercher un homme, de le démasquer, et de l'abattre. Un travail de tueur. A Hambourg.

Une proie pour l'épervier

Du poing que l'homme tenait serré à la hauteur de sa hanche, trois éclairs jaillirent soudain, suivis simultanément de trois détonations qui éclatèrent sèchement dans la nuit. Valeschini ouvrit des yeux démesurés, son cigare glissa entre ses doigts et tomba à ses pieds. Il demeura deux ou trois secondes comme hébété, puis son ventre eut l'air de s'enfoncer sur ses jambes trop courtes et il s'effondra d'un seul coup, roula sur le bord du chemin comme un tonneau tandis qu'une gorgée de sang noir s'échappait de sa bouche ouverte. Trente secondes plus tard, quand l'homme eut remis en marche le moteur de sa voiture qui démarra en trombe pour rejoindre la route, la mort avait fait son ouvre et Renato Valeschini n'était plus qu'un cadavre.

L'épervier pris au piège

Résumé

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