100 Photos de JR Pour la Liberté de la Presse

144 pages

Résumé

En 2018, il a été désigné par le magazine Time comme l’une des 100 personnalités de l’année. Pour la nouvelle édition de son album, Reporters sans frontières ouvre ses pages à JR.Un portfolio inédit qui vous fait parcourir le monde dans les yeux de JR.Les yeux de femmes du monde entier, les rides de nos anciens, les silhouettes de nos archives… JR accouche la ville de ses secrets, de nos oublis et des injustices de nos sociétés. Il est doté de ce talent qui fait les grands artistes : savoir s’adresser à tout le monde.En amont du portfolio, RSF consacre un long dossier au journalisme sous forme dessinée.À l’heure où les journalistes ont de plus en plus de mal à diffuser leurs enquêtes, la bande dessinée apporte un nouveau regard au réel. Depuis une trentaine d’années, la BD est célébrée par une tribu qui a troqué le clavier, l’appareil photo, le micro ou la caméra contre les crayons, les stylos et les encres – surtout noires. Qui sont les reporters qui privilégient cette forme alternative de récit journalistique? Qu’apporte le dessin à leurs enquêtes?---In 2018, he was named by Time magazine as one of the 100 personalities of the year. For the new edition of their album, Reporters Without Borders opens their pages at JR.A unique portfolio that takes you around the world through the eyes of JR.The eyes of women all over the world, the wrinkles of our ancestors, the silhouettes of our archives... JR gives birth to the city of its secrets, our forgetfulness and the injustices of our societies. He is endowed with this talent that makes the great artists: to speak to everyone.Prior to the portfolio, RSF devoted a long history to journalism in comic form.At a time when journalists are finding it increasingly difficult to disseminate their investigations, comics bring a new perspective to reality. For thirty years, the comic is celebrated by a tribe who traded the keyboard, camera, microphone or camera against pencils, pens and inks - especially black. Who are the reporters who favor this alternative form of journalistic narrative? What does drawing bring to their investigations?