La logique enseigne que rien n'est plus facile à digérer qu'une compote ou des tripes.

Emmanuel kant

Les célèbres. Elisabeth II

Roithamer, a character based on Wittgenstein, has committed suicide having been driven to madness by his own frightening powers of pure thought. We witness the gradual breakdown of a genius ceaselessly compelled to correct and refine his perceptions until the only logical conclusion is the negation of his own soul.

Corrections

Mit der Einweisung in die Lungenheilstätte Grafenhof endet der dritte Teil von Thomas Bernhards Jugenderinnerungen, und ein neues Kapitel in der Leidensgeschichte des Achtzehnjährigen beginnt.Ein Schatten auf seiner Lunge verbannt ihn in die isolierte Welt des Sanatoriums, aus der es so leicht kein Entrinnen gibt. Ärzten, Pflegepersonal und Mitpatienten ausgeliefert, toben in ihm die widersprüchlichsten Gefühle. Mit nichts als Hoffnungslosigkeit konfrontiert, schwankt er immer wieder zwischen absoluter Anpassung und Auflehnung.

Le froid. Une mise en quarantaine

La pièce testament de Bernhard, qui fit trembler toute la ville de Vienne à sa création en 1988. Le chef d'Etat autrichien eut beau chercher par tous les moyens d'en empêcher la représentation, le Burgtheater et son auteur triomphèrent. Thomas Bernhard brosse un portrait au vitriol de sa patrie, et sa critique du fanatisme des foules, près de 30 ans plus tard, est toujours actuelle.

Place des Héros

Entretiens avec Krista Fleischmann

Sous prétexte de parler de tous les prix littéraires qu'il a reçus, Thomas Bernhard se livre, dans ces textes inédits, à ce qu'il fait le mieux : exercer sa détestation.
Jurés, organisateurs, notables allemands ou autrichiens, personne n'est épargné par l'humour vengeur d'un auteur hypersensible à la médiocrité. Irrésistiblement méchant et drôle, il excelle aussi dans l'art de la miniature. Chaque récit est un joyau, et se lit comme une courte nouvelle. Derrière une apparente désinvolture, Bernhard interroge la nature de l'industrie littéraire et la vanité des distinctions honorifiques.
Tout cela dans un style acéré et ironique à la fois - du grand art. On comprendrait presque pourquoi un certain ministre autrichien, à l'audition d'un de ces discours assassins, s'est retenu de justesse de frapper Bernhard...

Mes prix littéraires

«Trois jeunes pianistes plus que prometteurs - Glenn Gould, le narrateur et son ami Wertheimer - se sont rencontrés autrefois au Mozarteum de Salzbourg pour y suivre un cours donné par Horowitz. Rencontre déterminante au cours de laquelle Glenn Gould fait d'emblée figure de génie triomphant au point de détourner brutalement et définitivement les deux autres de leur carrière de pianiste virtuose. Mais si le narrateur, après s'être séparé de son Steinway, se mue alors délibérément en un "artiste de la représentation du monde" (Weltanschauungskünstler) tout entier voué à la rédaction toujours recommencée d'un interminable essai sur Glenn Gould, son ami Wertheimer s'engage sur la voie fatale du vaincu, du "sombreur" comme Glenn Gould en personne l'a plaisamment mais fort exactement surnommé aussitôt après avoir fait sa connaissance. Vingt ans plus tard, au terme d'une longue plongée dans son propre malheur, Wertheimer le sombreur mettra fin au tourment de son existence en se pendant haut et court devant la maison de sa soeur.» Bernard Kreiss.

Le naufrage

Eines Morgens beschließt der sechzehnjährige Gymnasiast auf dem Schulweg spontan, sich seinem bisherigen, verhaßten Leben zu entziehen und sich im Keller, einem Kolonialwarenladen, eine Lehrstelle zu verschaffen. Im Keller, am Rande der Salzburger Scherzhauserfeldsiedlung, dem heruntergekommenen, tristen Wohngetto der Besitzlosen, der Asozialen und Kriminellen, lernt Bernhard all die von der Gesellschaft Ausgestoßenen kennen, verstehen und ergreift Partei für diese verlorenen, verstörten Existenzen.

Emmanuel kant

Résumé

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Critiques

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