Alfred Hitchcock démasque....

A Brief Message From Our SponsorThe title of this volume is Stories Not for the Nervous. There are those who will argue that this title could apply to any of the various tomes of terror, sagas of suspense, or groupings of grue which I have, from time to time, gathered together for the delectation of my readers. And indeed the point is well taken.For I am not a man to cater to the nervous. If you are in the habit of chewing your fingernails, jumping from your chair when a door slams, or swooning when someone playfully shouts "Boo!" in your ear, I have only two words of advice--pass on.If, however, you have nerves which are under good control, nerves which are pleasantly tickled by a touch of terror or agreeably stimulated by a soupçon of suspense, then I invite you to join me.Take a seat, any seat, and start wherever you wish. Break for an intermission whenever you choose and return when you are ready. Informality rules in your enjoyment of this smörgåsbord of stories. There is, I think, something for every taste.Except, that is, or the nervous.And now my sixty seconds are up.-Alfred HitchcockIn this collection:"To the Future" by Ray Bradbury"River of Riches" by Gerald Kersh"Levitation" by Joseph Payne Brennan"Miss Winters and the Wind" by Christine Noble Govan"View from the Terrace" by Mike Marmer

Histoires à déconseiller aux grands nerveux

Qu'y-a-t-il encore à apprendre sur Alfred Hitchcock ? entend-on parfois dire. Pour quelle raison faudrait-il taire que l'œuvre écrite de cet artiste grandiose est sans doute la source intarissable de toutes les réjouissances ? Mieux encore : le moment est venu d'entendre Hitchcock écrivain. Il faut lire « Rôle de la femme » – cette réponse de 1919 à tous les futurs procès en misogynie. Ou bien « Sordide ». C'est le texte et le style d'un devin japonais de 1920. De perpétuels coups à trois bandes – russes, anglaises et américaines. Un humour imparable, toujours. Et une vivacité d'esprit, des mouvements de pensée fulgurants et espiègles – sortes de traits projetés d'une sarbacane, fichée dans la bouche enthousiaste d'un enfant.

Quoi est qui ?

On ne peut plus angoissantes, oui, car au fil de cette vingtaine d'histoires choisies avec soin par le Maître, la mort change sans cesse de visage. Pathétique avec La petite fille qui voulait mourir, elle se fait terriblement féminine dans Le thé de l'inimitié, acharnée à la recherche du Meilleur endroit pour mourir, impitoyable pour Tous les coupables, horrifiante dans Pire qu'un cauchemar, perverse dans Je t'aime un peu, trompeuse dans L'auto stoppeur, paraît sans détour dans Profession : tueur, se fait annoncer dans Science ou fiction, et devient expiatoire à La fin de la bataille, mais elle desserre aussi les dents du Piège et s'efface Dans le noir !

Histoires Angoissantes

Hired to discover why a wild-animal farm's tame lion has become unpredictably nervous, three young detectives begin an investigation that uncovers a smuggling operation.

Le Lion qui claquait des dents

Histoires À Rendre Tout Chose

La mort aux trousses est l'un des films les plus connus d'alfred hitchcock.
 A l'occasion du centenaire de la naissance d'alfred hitchcock, ernest lehman a tenu à publier et à préfacer ce scénario comme témoignage d'une collaboration mémorable. 
La mort aux trousses est une comédie d'espionnage au rythme effréné, qui narre l'odyssée d'un publiciste new-yorkais, roger thornhill (cary grant), qui se retrouve dans un univers de complot et de meurtre. 
Confondu avec un certain kaplan, accusé de crimes qu'il n'a pas commis, il est poursuivi tout au long du film à la fois par de redoutables espions et par la police.
 Sa fuite aboutit à deux scènes parmi les plus célèbres de toute l'histoire du cinéma : celle oú il est traqué par un avion dans un champ de maïs, et la poursuite finale sur le mont rushmore avec sa partenaire eve kendall (eva marie saint).

Alfred Hitchcock démasque....

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