Grèce

Contient: «Apéritifs gourmands», «Recettes pour recevoir», «Recettes faciles», «Recettes rapides», «Recettes à l'avance», «Recettes minceur», «Recettes exotiques» et «Desserts».

La petite bibliothèque cuisinière

Une armée de fantômes, de sorcières, de vampires, de zombies, de monstres marins, poilus, à trois têtes... Voici autant de méchants avec qui les enfants vont aimer claquer des dents, avoir la chair de poule, prendre la poudre d'escampette... 10 minutes par soir pour une histoire et votre enfant s'endort le sourire au lèvres et fait de beaux rêves. Des histoires de méchants pas comme les autres : absurdes et drôles, les enfants aimeront se faire peur... pour de faux ! Une couverture avec un hologramme qui cache de bien étranges choses. Le quatrième titre d'une collection aux histoires aussi amusantes pour les parents que pour les enfants. Dès 5 ans.

13 histoires Maboules de monstres et de méchants

Haïku

"Alléger L’histoire des Berbères d’Ibn Khaldoun pour en faire un livre de combat"... C’est ce que Kateb Yacine nous avait suggéré un jour de 1985. C’est un peu cette idée que nous avons reprise sous une autre forme, avec la réalisation de ce livre collectif qui interroge l’identité. Mais plutôt que de le consacrer à l’œuvre d’Ibn Khaldoun, nous avons choisi de solliciter des auteurs de notre temps. Par l’initiative que nous proposons ici, en faisant appel à des écrivains pour engager la réflexion et le dialogue, nous espérons avec leur concours, participer à relancer le débat sur une question vitale. Une réponse institutionnelle adéquate à cette question peine à se faire admettre tant les préjugés pèsent encore sur notre société. Est-il irréaliste de la croire impossible? En faisant appel à des écrivains pour engager la réflexion et le dialogue, nous espérons avec leur concours, participer à relancer le débat sur une question vitale : l'identité algérienne. C’est en toute liberté que s’expriment celles et ceux qui ont accepté de nous faire confiance. Les textes présentés ici reflètent cette diversité : approche autobiographique, historique, polémique, linguistique… En commençant par celui à qui nous rendons un hommage particulier, Kateb Yacine, et en laissant quelques poètes conclure… provisoirement puisque notre ambition ici est d’enrichir le débat.Puisse ce livre constituer un jalon de ce chemin qui monte vers plus de liberté, de justice, de compréhension mutuelle et de paix. Ont contribué à cet ouvrage : Lounis AÏT MENGUELLET, Rabah AÏT MESSAOUD, Jean AMROUCHE, Hichem BABA-AHMED (Le HIC), Hand BAIRI, Yahia BELASKRI, Slimane BENAÏSSA, BEN MOHAMED, Abddellatif CHAOUITE, Assia DJEBAR, Meryam DEMNATI, Nabile FARES, Salah GUEMRICHE, KATEB Yacine, Arezki METREF, MOHIA, Malika N’ATH KACI-ARABI, Hend SADI, Amin ZAOUI, Mouloud ZEDEK.

Algérie arabe : EN FINIR AVEC L'IMPOSTURE

« Les femmes ne peuvent peindre que des choses qui n'exigent ni pensée profonde, ni grand sentiment, ni large virtuosité. Des fleurs, des natures mortes, des objets élégants, des scènes de genre paisibles, des paysages doux des portraits d'enfants, des animaux gentils », peut-on lire en 1884 dans un article consacré aux « Peintresses belges » de la revue d'avant-garde, L'Art moderne. Considérées avant tout comme des épouses, des mères et des maîtresses de maison, les femmes n'ont accès à une formation académique officielle qu'à partir de 1889 en Belgique. Pour certaines, être « fille de… » ou « femme de… » leur permet de sortir de l'ombre. Sans liens familiaux ou maritaux efficaces, d'autres embrassent le célibat pour se consacrer à une carrière, comme Cécile Douard, Marie Collart ou Jenny Montigny. Cet ouvrage accompagnant l'exposition illustre de façon inédite la variété de style et de médium des femmes artistes au 19ème siècle à travers les questions sensibles liées au genre.

Femmes artistes - Les peintresses en Belgique (1880-1914)

Henri Bosco - Mystère et spiritualité

Les 50 meilleurs disques de 2003 (les Inrockuptibles)

Ethnologie, orientalisme, africanisme ... : disciplines découpées par l'occident , gérées par lui très utilement mais aussi sous le signe du malaise. Mal de vivre des européens , qui règle leur consommation de dépaysements intellectuels . Pour l'ethnologie vrai, sur le terrain , avant et plus profond que ses enquêtes , mal d’être présent , mal positif celui-là . Ambiguïté de sciences , fécondes avec bonheur, et si piégées par l'action politique , l'idéologie, le provincialisme culturel occidental . Véhémence aujourd'hui de praticiens aux yeux de qui l'ethnologie est en fait , de façon éclatante , voyeurisme , confiscation de la parole des autres, voie de l'ethnocide , outil polyvalent pour l'impérialisme. Quand parlent des auteurs issus du Tiers-Monde, les conditions de leur discours ne les excluent pas du champ du malaise. Et de ce malaise lui-même, on le sent souvent maladif. On n'échappera pas au savoir sur les autres. Sur sa constitution et son usage , il est grand besoin de lucidité , scientifique et politique . Les propos critiques ici réunis peuvent aider chacun à trouver la sienne

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