L'Or du Rhin : Das Rheingold

Échappant à la tutelle du nain Mime, Siegfried a reforgé Nothung, l'épée de son père Siegmund, et s'enfonce dans la forêt à la recherche du dragon Fafner, gardien de l'anneau magique. Guidé par l'Oiseau, il le trouve, le tue et s'empare de l'anneau. Il tue aussi Mime qui cherchait à l'empoisonner, et désarme Wotan qui voulait l'empêcher d'arriver jusqu'à Brünnhilde endormie, protégée par un mur de feu. Siegfried, qui ne connaît pas la peur, passe à travers les flammes et va réveiller d'un baiser la Walkyrie déchue...

Siegfried

A special kind of birthday song by the comedian and pianist from Munich, Dietrich Paul, called 'Piano Paul'. To mark the 200th birthday of Richard Wagner on 22 May 2013 he prepared a humorous 'piano mixture' of various themes, from the Tristan prelude to the song 'Happy Birthday'. Even Wagner's father-in-law, Franz Liszt, has his say, and Richard Strauss sends his regards in the form of several of his immortal melodies. A cheerful serenade for Wagner lovers and those who wish to be. Suitable as an encore for open-minded pianists. Instrumentation : piano

Happy Birthday, Richard Wagner! - A cheerful birthday song with Wagner, Liszt and Strauss. piano.

'Siegfried' now completes the new edition of piano scores of Richard Wagner's 10 canonical operas based on the scientific complete edition. They are actually the first urtext editions of Wagner's operas. Apart from the critically revised musical text, the editions are characterized by challenging notation and practical aids such as rehearsal and bar numbers. Prefaces provide information on the genesis and early history of reception while further annotations document important rehearsal instructions of Wagner. WWV 86 C

Wagner Urtext-Klavierauszüge

Crépuscule des dieux

Nouvelle traduction de l'opéra de Richard Wagner.



Iseult : Tristan !

Tristan : Délicieuse femme !

Iseult : Charmant homme !

Ensemble : Nos cours sont pleins de joie profonde, nos sens vibrent d'un bonheur sans fin !

Désir d'amour sans entrave, délice de la langueur amoureuse ! Cours amoureux enlevés au monde et conquis par moi ! Mon âme se consume d'amour !

(On ouvre brutalement les tentures... Le navire bruit d'une foule de marins et de chevaliers, qui lancent de joyeux hourras vers le rivage où se dresse une forteresse juchée sur un éperon rocheux élevé.

Tristan et Iseult, toujours plongés dans l'émerveillement mutuel, ne semblent pas réaliser ce qui se passe autour d'eux.)

Brangaine (aux servantes qui, à un signe d'elle, remontent sur le pont) : Vite, apportez le manteau royal...

(Se plaçant entre Iseult et Tristan.) Inconscients ! Mais regardez donc où nous sommes ! (Elle couvre Iseult du manteau royal.)

Tristan et Iseult

Le ring Coffret 4 volumes : Volume 1, L'Or du Rhin. - Volume 2, La Walkyrie. Volume 3, Siegfried. Volume 4, Crépuscule des Dieux

L'anneau de Nibelung (Der Ring des Nibelungen) est l'oeuvre-monde de Wagner.
15 heures de théâtre et de musique qui nous transporte de la création du monde à la chute des dieux et l'avènement de la société des hommes.
Autour d'un anneau maudit, en compagnie d'un dragon, d'amours impossibles et de héros au destin tragique, Wagner redonne vie à la mythologie nordique et médiévale allemande et préfigure les mondes de la fantasy.
Mais supposons un dessinateur qui ne croit pas trop aux prophètes ni aux héros, qui désire rendre ces histoires à leur origine primitive, grotesque, irrévérencieuse. Comme un calque qui aurait bougé : des scènes s'ajoutent, des personnages disparaissent, des traits grossissent, des détails s'effacent, d'autres bouillonnent, et une demi-déesse amputée, abandonnée et trompée décide de bouleverser les plans des dieux et des hommes.
Brynhildr est l'histoire de cette femme, racontée par Frédéric Coché en 72 eaux-fortes.

Brynhildr : un opéra dessiné d'après Der Ring des Nibelungen

The First Norn

[Fastening the rope again.]

The night wanes,

Dark grows my vision;

I cannot find

The threads of the rope;

The strands are twisted and loose.

A horrible sight

Wildly vexes mine eyes:

The Rhinegold

That black Alberich stole.

Knowest thou more thereof?

The Second Norn

[With laborious haste winds the rope round the jagged rock at the mouth of the cave.]

The rock's sharp edge

Is cutting the rope;

The threads loosen

Their hold and grow slack;

They droop tangled and frayed.

From woe and wrath

Rises the Nibelung's ring

A curse of revenge

Ruthlessly gnaws at the strands:--

Canst thou the end foretell?

The Third Norn

[Hastily catching the rope which is thrown to her.]

The rope is too short,

Too loose it hangs;

It must be stretched,

Pulled straighter, before

Its end can reach to the north!

[She pulls hard at the rope, which breaks.]

It breaks!

The Second Norn

It breaks!

The Third Norn

It breaks!

[They take the pieces of broken rope and bind their bodies together with them.]

The Three Norns

So ends wisdom eternal!

The wise ones

Will utter no more.

Descend to Erda! Descend!

[They vanish. The dawn grows brighter; the firelight from the valley gradually fades. Sunrise; then broad daylight.]

L'Or du Rhin : Das Rheingold

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