La stupeur des pierres

Généralités. Classification des produits de nutrition. La qualité des aliments et son évolution. Méthodes industrielles de conservation. Techniques simples, de caractère naturel, artisanal. Les technologies de fermentation. Les technologies d'apport calorique et énergétique. Les techniques du froid. Les technologies de déshydratation-séchage. La conservation en solutions et par addition. Les techniques et procédés mixtes. Tableaux généraux récapitulatifs de comparaison. De la préservation des composants nutritionnels et organoleptiques des aliments. L'énergie dans les industries agro-alimentaires. De quelques filières et secteurs particuliers. Perspectives et conclusions. Annexes : lexique et abréviations, thésaurus, bibliographie et références.

Conserver les aliments - Comparaison des méthodes et des technologies

Première monographie d'envergure consacrée à l'artiste française qui travaille à partir du corps humain, entre sculpture et performance.

Awena Cozannet - Tenir le fil

Tout porte à croire que la montagne est propice au sacré. L'altitude incite-t-elle à la hauteur de vue, à l'élévation spirituelle ?Les Alpes multiplient en effet les hauts lieux de dévotion : Grande Chartreuse, la Salette, Myans, Tamié, le Laus, Boscodon, Ganagobie, etc. Et les huit départements français sur lesquels s'étend la chaîne alpine comptent des centaines de sites dévolus au sacré ; nous en avons sélectionné 77 parmi les plus significatifs.Cathédrales, églises, abbayes, couvents et monastères, mais aussi chapelles d'altitude et vierges de sommet, vierges noires et sanctuaires à répit, sans omettre les lieux de pèlerinage : par la force des choses, le catholicisme occupe ici une place prépondérante. Pour autant, n'ont pas été oubliés les marques diffuses du protestantisme, les témoignages inattendus du culte orthodoxe ou l'occidentalisation récente du bouddhisme.On constatera aussi combien le sentiment du sacré s'est perpétué au fil des millénaires : dolmens, pierres à cupules, peintures pariétales, gravures rupestres, temples gallo-romains, etc. Car on est frappé par la permanence des lieux de dévotion dans les Alpes. Au sein de ce sanctuaire naturel qu'est la montagne, les sites élus ont traversé les temps... et les croyances successives.

Le sacré dans les Alpes ; temples, chapelles, monastères, nécropoles, mégalithes, cryptes et autres sanctuaires

Du lac de Paladru aux falaises de Saint-Hilaire-du-Touvet, et de Grenoble à Chambéry, la Chartreuse ne cesse de brouiller les pistes et aiguise notre envie de la découvrir. Gorges, sommets, forêts, lacs, galeries souterraines, sites humides riches d'une faune et d'une flore exceptionnelles...la Chartreuse se raconte à travers des paysages que ses habitants apprivoisent avec passion et ténacité depuis la préhistoire.Et comment dire la Chartreuse sans évoquer cette montagne magnétique, ce pays qui fascine les hommes, les chartreux bien sûr, mais aussi toux ceux qui y vivent et qu'elle inspire.La Chartreuse se montre ici au gré du texte et des images, révélant, à travers son patrimoine cette connivence séculaire entre l'homme et la nature. En fin d'ouvrage, le cahier pratique permet de trouver toutes les informations utiles pour aller à l'essentiel et découvrir le meilleur de ce pays.

La Chartreuse

Un ermite égyptien du IIIe siècle, ses reliques rapportées de Constantinople par un chevalier au XIe siècle, une maison de l'Aumône, une dépendance des bénédictins, la fondation de l'ordre des hospitaliers de Saint-Antoine ou antonins, en 1297, il y a plus de 700 ans : il ne faut pas moins d'aléas de l'histoire pour installer, au coeur de ce qui va devenir le Dauphiné, une abbaye prestigieuse à la renommée internationale.

Saint-Antoine-l'Abbaye - Un trésor en Dauphiné

Sur une série de trente illustrations de Sergio Toppi, Jean-Louis Roux a écrit un conte irlandais.

La légende de Conair Mór, roi d Irlande - Conte pour les grands

[…] Le corps dort dans la nuit du tableau. Quelle est-elle, cette nuit, que la peinture donne à voir, sans la préméditer ? La nuit est pareille au rêve : elle ne relève d'aucune préméditation. Elle est ce que le corps ourdit. Le corps du peintre peint la nuit du corps. Le corps peint le corps, fait la lumière sur sa nuit. Les vagues viennent battre sous son coup de pinceau ; les vagues battent dans la nuit des mots. On entend les vagues battre, dans le mot "désir". On ne sait ce qu'elles battent, on les entend battre. On entend battre le mot "désir ", dans le corps du tableau. Ton corps dépeint ton corps ; nulle phrase ne vient s'interposer entre le corps qui peint et le corps peint. [...]

La stupeur des pierres

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