Le parcours et la personnalité de Martin Gray - survivant à la fois du ghetto de Varsovie et de la perte tragique de sa famille dans un incendie de forêt sur la Côte d’Azur - ont ému des millions de gens à travers le monde. Il reçoit encore chaque jour des lettres de personnes lui disant combien sa force et sa capa- cité de résilience les inspirent. Aussi est-il édifiant de découvrir la vision qu’a cet homme du monde d’aujourd’hui et son point de vue sur les enjeux de demain. Rompant avec dix années de silence grâce aux questions de Mélanie Loisel, Martin Gray nous offre la possibilité de voir notre présent et notre avenir à travers ses yeux : une aventure humaine et intellectuelle hors du commun !

Ma vie en partage

"Martin Gray est un survivant de l'holocauste; enfermé à 14 ans dans le ghetto de Varsovie, puis déporté à Treblinka, il s'évadera, s'engagera dans l'armée rouge et entrera dans Berlin en 1945 au nom des siens qu'il a vu périr dans les camps de la mort. Quinze ans plus tard, il réussit dans les affaires et fonde une famille, gage d'espoir, de reconstruction et d'amour. Le 3 octobre 1970, sa femme Dina, et ses quatre enfants lui sont arrachés dans un incendie de forêt. Apôtre du XXe siècle, Martin Gray défend une spiritualité de l'amour sans dogme, où la réalisation de l'individu prend son essence dans la conscience de faire partie d'un tout : l'humanité. 
En 1985, Marguerite Marniquet des éditions Didakhé, pressentira que malgré le formidable témoignage que laisse cet homme au travers de son oeuvre de papier et de l'adaptation au cinéma de sa vie "Au nom de tous les miens", il était nécessaire de recueillir cette voix chaude, assurée et tranquille qui défend l'identité humaine, l'éducation, et un idéal d'humanité. Devenu un véritable document oral et objet d'histoire, les éditions Didakhé ont demandé à notre société d'édition sonore de reprendre la communication au public de cet enregistrement intemporel par les valeurs qu'il défend : celles de la vie." 
Patrick FREMEAUX

Entretiens avec Martin Gray. Le livre de la vie

Meena Goll a vécu l’inimaginable : la perte brutale dans des circonstances dramatique de ses enfants et de leur père. Comment surmonter cette épreuve ? Comment accepter l’inacceptable et retrouver un sens à sa vie ? Comment réussir à pardonner ? Avec des mots simples, venus du coeur, elle nous décrit la douleur, le désespoir, l’anéantissement dans lesquels elle s’est trouvée soudainement plongée mais aussi comment, avec le temps, elle a réussi à transformer cette énergie de mort en énergie de vie. Cet ouvrage relate un parcours initiatique hors du commun auquel le lecteur participe au fil des voyages et des expériences de l’auteure.

Apprivoiser le pardon

On connaît la voix et les préoccupations de Martin Gray. Il ne se soucie pas des modes : il va son chemin. Il dit sa façon de voir la vie. Alors que tant de livres ne portent en eux aucun sentiment, lui, parle de l'amour entre les hommes et de la générosité. Il ose dire ce qu'il ressent. Il ose s'adresser à la sensibilité de chacun de nous. Il parle de foi et de morale.Ici il s'adresse aux "hommes de demain", nos enfants, ceux qui, bientôt, auront, avec ce que nous leur avons légué, la charge et le bonheur de vivre et de faire vivre. Martin Gray les interpelle et, retrouvant la manière de bien des écrivains et des grands philosophes, en parlant de ces hommes de l'avenir, il nous montre ce que nous sommes, pourquoi nous sommes menacés, pourquoi nous souffrons et comment nous devrions vivre, pour que demain existe et que nos enfants connaissent, enfin, un monde meilleur que le nôtre.Ce qui fait la force de ce livre, c'est la vérité qu'il porte. Nous sommes dans ce livre, parmi tous ces interlocuteurs de Martin Gray qui disent leurs préoccupations, parlent de leurs problèmes et cherchent leur voie.Et les mots qu'ils emploient sont les nôtres et non pas seulement un assemblage de lettres. Ils sont le reflet de la vie.Au fil des pages, il n'est pas une des questions qui nous tourmentent ou que nous entendons souvent évoquer qui ne trouve ici son écho. Une fois de plus, Martin Gray, dans une langue claire et émouvante, parle de nous, nous parle.Et le dialogue engagé avec "Au nom de tous les miens" se poursuit, continuant l'une des œuvres les plus humaines, les plus indispensables d'aujourd'hui.

J'écris aux hommes de demain

Plus de dix ans apres la parution de ton dernier livre, Martin Gray, age de 92 ans, sort de son silence grace a Melanie Loisel, jeune journaliste canadienne.Stupefiee par le destin de cet homme a la resilience peu commnune, elle est allee le trouver et lui poser des questions que nous aimerions tous lui poser: sans voyeurisme, mais sans timidite.Un Entretien passionant

De la guerre, le petit Martin connaîtra tout : les privations, les humiliations, la peur durant le temps passé au ghetto de Varsovie, l'horreur absolue des camps nazis à Treblinka, la fureur de vivre quand il s'en échappera caché sous un camion, l'abattement et aussi le suprême courage quand il apprendra qu'il a perdu tous les siens... Et puisqu'il faut bien vivre, il s'engagera ensuite dans l'Armée rouge, puis partira aux Etats-Unis... Enfin la paix reviendra. Martin reconstruit alors sa vie et rencontre le grand amour en la personne de Dina. C'est dans le sud de la France, par une journée d'été éclatante, que le destin le blessera à nouveau - à mort - en décimant ceux qui lui sont le plus chers. Ce récit de vie, extraordinairement dramatique, a fait le tour du monde. Traduit dans plus de vingt langues, adapté au cinéma par Robert Enrico (avec dans les rôles principaux Michael York et Brigitte Fossey), devenu ensuite un feuilleton, il continue à toucher des millions de lecteurs car son message de courage, mais aussi d'espérance, est universel.

Au nom de tous les miens

De la guerre, le petit Martin connaîtra tout : les privations, les humiliations, la peur durant le temps passé au ghetto de Varsovie, l'horreur absolue des camps nazis à Treblinka, la fureur de vivre quand il s'en échappera caché sous un camion, l'abattement et aussi le suprême courage quand il apprendra qu'il a perdu tous les siens... Et puisqu'il faut bien vivre, il s'engagera ensuite dans l'Armée rouge, puis partira aux Etats-Unis... Enfin la paix reviendra. Martin reconstruit alors sa vie et rencontre le grand amour en la personne de Dina. C'est dans le sud de la France, par une journée d'été éclatante, que le destin le blessera à nouveau - à mort - en décimant ceux qui lui sont le plus chers.

Ses quatorze premières années, martin gray ne s'en souvient pas.
 Tout commence pour lui en 1939, lorsque les allemands bombardent varsovie. ce qu'il vit après, il ne pourra plus l'oublier : le ghetto juif, le camp de treblinka, où il perd sa famille. avec la paix revient l'espoir: une nouvelle vie commence dans le sud de la france. mais la mort frappe une seconde fois ses proches... destin tragique et extraordinaire volonté de vivre constituent la grâce de ce témoignage exceptionnel.

Plus de dix ans après la parution de son dernier livre, Martin Gray, âgé de 92 ans, sort de son silence grâce à Mélanie Loisel, jeune journaliste canadienne.Stupéfiée par le destin de cet homme à la résilience peu commune, elle est allée le trouver et lui a posé les questions que nous aimerions tous lui poser - sans voyeurisme, mais sans timidité.Qu'a-t-il à nous dire, ce survivant du ghetto de Varsovie, cet homme qui a vécu le pire, d'abord lors de la Deuxième Guerre mondiale, puis avec la perte tragique de toute sa famille dans un incendie de forêt sur la Côte d'Azur ? Eh bien, il nous délivre un message de force de vie incroyable ! Bien au-delà du récit de son parcours, ces entretiens précisent le rapport de Martin Gray au monde moderne, des grandes questions écologiques à la jeunesse, en passant par l'alimen­tation, la santé... Un entretien passionnant !Martin Gray est né en 1922 à Varsovie. Il a écrit de nombreux livres, dont le très célèbre Au nom de tous les miens (coécrit avec Max Gallo, Robert Laffont, 1971).Mélanie Loisel est journaliste pour plusieurs médias canadiens.

Ma vie en partage

Résumé

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