Ce roman retrace le quotidien de Plougasnou, petit village du Finistère au début du 20ème siècle.  Marie, femme de pécheur, est veuve et élève seule son fils Pierrick. Pierrick quant à lui grandi paisiblement accompagné de ses amis Loïck et Goulven jusqu'au 1er août 1914, jour où la mobilisation générale est décrétée.

Beurre salé

À Paris, le 3 vendémiaire an IV (25 septembre 1795), quatre hommes ont été empoisonnés à l'auberge des cygnes. Accompagné de son fidèle Bertin, le commissaire Nérac mène l'enquête. Cependant, il voit avec angoisse ressurgir le passé de la petite orpheline, Jeanne, que son épouse et lui ont adoptée. Cette double intrigue, policière et familiale, nous emporte dans la société du Directoire. Après les tragédies de la Terreur, de nouveaux riches apparaissent, organisant fêtes, bals et réjouissances. Des banquiers, des fournisseurs aux armées, des hommes politiques y croisent les Merveilleuses tandis que les difficultés économiques plongent une grande partie du peuple dans la pauvreté. C'est au cours de cette période tourmentée et foisonnante que Jean Nérac démasquera un personnage discret au dessein machiavélique.

Le mystère de l'auberge des Cygnes

Paris, 25 thermidor an II : Jean Nérac, jeune policier et fervent révolutionnaire, prend ses fonctions à la section de l'Homme-Armé. Il loue une chambre chez Marie Mercier, jeune veuve au regard triste, qui fuit ce policier qui l'effraie. Dans ce Paris du Directoire, le commissaire se retrouve soudain au coeur de l'action : dans sa section, un assassinat suivi d'une série d'enlèvements d'enfants se produisent. L'agitation gagne le peuple. Accompagné de son adjoint, Jean Nérac finira par percer le mystère et découvrira les ombres d'un étrange complot.

Le serment de thermidor

95 % de la population juive du Danemark fut sauvée au cours du mois d'octobre 1943 grâce à une mobilisation de tous les Danois. Les Juifs danois traversèrent le Sund, le bras de mer entre le Danemark et la Suède, dans de simples bateaux de pêcheurs. C'est cette extraordinaire opération de sauvetage que ce roman raconte à travers l'histoire de trois jeunes : Svend, jeune étudiant en médecine de Copenhague, et la belle Kirsten, avec leur ami Claus. En pleine tourmente, ils forgeront leur destin.

L'étoile boreale ; Danemark, octobre 1943

A Plougasnou, petit village du Finistère, en ce début de XXe siècle, Marie, femme de pêcheur, est veuve et élève seule son fils Pierrick, aidée de sa marraine "la bonne Soazig". La vie est dure pour les paysans en Bretagne qui font pousser le blé noir, la pomme de terre et les cultures légumières. A force de courage et de ténacité, Marie réalise le rêve qu'elle avait fait avec son mari défunt : acheter une terre. Pierrick grandit paisiblement avec ses amis Loïck et Goulven, entre l'école qui lui inculque le français et les valeurs républicaines et l'église où il apprend le catéchisme en breton. Sa mère lui transmet l'attachement à la terre, à son village, à ses racines. A vingt et un an, il part faire son service militaire et à son retour, il se marie. Le 1er août 1914, la mobilisation générale est décrétée. Pierrick, Loïck et Goulven sont rappelés. Dans ce petit village, si tranquille, centré sur son clocher, la vie est bouleversée. Les femmes qui doivent maintenant assurer le travail dans les fermes vivent désormais dans l'angoisse et l'attente de nouvelles, de lettres du front et des rares permissions. Quand la paix revient enfin, pour ceux qui se retrouvent, tout a changé...

Entre mer Noire et mer Caspienne, Caucase et Mésopotamie, le haut plateau arménien, dominé par le mont Ararat où se serait échouée l'arche de Noé, vit éclore l'une des plus importantes civilisations du Moyen-Orient. À la fin du VIe siècle avant J.-C., les Arméniens y fondent un puissant royaume qui devient, en 301, le premier État officiellement chrétien. Située au carrefour des grands Empires perse, romain, byzantin, puis arabe, mongol, ottoman et russe, cette terre a toujours été âprement disputée. Les brèves périodes d'indépendance de l'Arménie, entrecoupées de siècles de sujétion et d'occupation, lui ont toutefois permis de forger les armes d'une forte identité culturelle : une foi inébranlable, une écriture et une littérature exaltant la conscience nationale. Victime en 1915 du premier génocide du XXe siècle, le peuple arménien a su préserver, tant dans la mère-patrie qu'en diaspora, cette culture millénaire dont Annie et Jean-Pierre Mahé retracent avec une brillante érudition les grands jalons.

L'Arménie à l'épreuve des siècles

Toulon, 29 floréal an VI (18 mai 1798). Bonaparte, à la tête de l'armée d'Orient, embarque pour l'Égypte avec 32 000 soldats et 10 000 marins. 170 savants accompagnent aussi cette expédition. Mais l'ennemi anglais ne désarme pas. Jean Nérac, devenu un homme de confiance du général, est chargé d'une nouvelle mission : débusquer d'éventuels espions. Avec son  fidèle second, Pierre Bertin, il fait le voyage sur L'Orient, le navire amiral. Ils vont suivre les péripéties militaires, la prise de Malte et celle d'Alexandrie, la bataille des Pyramides où les soldats français affrontent Mourad Bey et ses Mamelouks. Les Français et leur rêve de répandre les Lumières se heurtent, à leur arrivée au Caire, au peuple égyptien et à ses traditions séculaires. Bientôt, des savants et des militaires sont pris pour cible, certains sont assassinés. Jean doit élucider cette série de meurtres. Seul indice, planté dans le dos des victimes, un poignard dont le manche représente l'Uræus, un cobra femelle...

Beurre salé

Résumé

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