Les révoltés de Saint-Domingue

François Laplume a longtemps servi dans l'armée et aspire à la tranquillité. Pourtant, lorsqu'il se présente chez le savant Dutilleul pour devenir son secrétaire, il ne se doute pas qu'il va partir pour l'Égypte avec les troupes de Bonaparte !. Bien malgré lui, il traverse la Méditerranée, assiste à la prise de Malte par les soldats français, au siège du Caire et à la bataille de Syrie. Victimes d'attaques bédouines et témoins de sanglants combats, terrassés par la chaleur et la soif, François et Dutilleul - qui n'a que cette idée en tête - partent sur les traces du trésor de la reine Nitaqrit. Cherchant un guide pour les conduire à l'entrée de la pyramide de Mykérinos, François rencontre Delphine, qui devient son interprète. Tous deux semblent avoir trouvé ceux qui pourront les aider... De guets-apens en embuscades, François, Delphine et Dutilleul se retrouvent prisonniers ou fugitifs, entraînés dans une suite d'aventures où la petite histoire se mêle à la grande.

En Egypte avec Bonaparte

La Révolution marque l'entrée de la France dans une nouvelle période de son histoire. Confrontées aux idéaux de justice, d'égalité et de fraternité, toutes les catégories sociales, nobles, bourgeois, paysans et artisans, voient leur vie quodidienne bouleversée. Comment les enfants vivent-ils ces changements ? Que l'on soit fils de paysans ou tout jeune baron, rien ne sera plus comme avant. C'est ce que nous raconte Bertrand Solet, retraçant à grands traits cette période passionnante et capitale de l'Histoire de France.

La Révolution française

Mais que viennent faire ces gamins bruyants et agités sur la plage ? et pourquoi donc les grands-parents de quentin et de manon possèdent-ils le même coquillage ? voilà que les souvenirs de l'année 1936, du front populaire et des congés payés refleurissent par une belle journée d'été.
 Avec, du côté des images, un clin d'oeil amical que pef adresse au peintre fernand léger.

La mer en vrai ; 1936 : les premiers congés payés

Alors que le titre de '"Juste parmi les Nations" est d'ordinaire décerné à des individus, l'Institut Yad Vashem a fait quelques exceptions en honorant des collectivités entières. Ça a été le cas de "La population du village de Chambon-sur-Lignon", dont Bertrand Solet nous raconte l'histoire de 1940 à 1945.
Sous l'égide du pasteur Troqué, les habitants de ce village ont caché des dizaines de réfugiés de toutes sortes dont de nombreux Juifs, recherchés par les Nazis et la police de Vichy. Les fouilles de maisons, interrogatoires et menaces de la Gendarmerie n'y purent rien : les habitants restèrent solidaires les uns des autres et de leurs protégés. Pas de dénonciation. Le silence collectif a permis d'éviter la mort de nombreuses personnes, dont beaucoup d'enfants.

Le Chambon-sur-Lignon ; le silence de tout un village

À Pontillac, petit village du Sud-Ouest, on s'accommode de l'occupation allemande comme on peut. 

À peine sortis de l'enfance, Jeanne, Ninette, Manuela et Marcel ont toujours connu cette situation et s'y sont adaptés, sans toujours bien comprendre. Ils auraient certainement continué ainsi jusqu'à la fin du conflit si une suite d'événements imprévus ne les avaient obligés à prendre parti. Et si un trop séduisant milicien, à la recherche d'une mystérieuse lettre détenue par l'une des filles, n'était entré dans leurs vies.

Entraînés malgré eux dans la valse de l'Histoire, les uns sauront résister et s'engageront du bon côté ; les autres se laisseront guider vers une fin tragique...

Valse avec le diable

C'est en suivant Taillefer, l'un de ses compagnons, que l'on découvre la vie et l'œuvre de Guillaume le Conquérant, mais aussi la vie de tous les jours dans la Normandie du XIe siècle : ses batailles, ses amours, ses fêtes... Guillaume a su faire de son duché une terre riche et puissante. Mais sa gloire est née surtout de l'exploit qu'il sut accomplir, d'une envergure exceptionnelle : la conquête de l'Angleterre.

Guillaume le Conquérant

La vie quotidienne de Yoska et des siens ne ressemble pas tout à fait à la nôtre. Yoska aime s'en aller avec sa famille, sur les routes de France, loin de la ville. « Nous ne sommes pas des nomades, dit sa sour Paprika d'un air fier, mais des Tsiganes de la tribu des Roms. »

La flûte tsigane

Juin 1944. La côte normande. Dans la France occupée par les nazis, Lucien écoute avec son père les messages codés diffusés par Radio Londres : au soir du 5 juin, l'opération du débarquement des forces alliées est déclenchée. Tandis que son père rejoint les résistants, Lucien se retrouve sur la route avec son amie Anne-Marie. Avant la Libération, une nuit pleine de dangers et de rencontres surprenantes les attend... «Ma chemise est sale, la robe d'Anne-Marie aussi, avec une belle déchirure sur le côté. Je regarde ma montre ; le couvre-feu débute à onze heures et demie, et il est plus de minuit. Un jour nouveau vient de commencer, le 6 juin 1944.»

Les révoltés de Saint-Domingue

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