John Lee est mort un jour de juillet, à New York. On a retrouvé son corps dans la 17e Rue. Il avait dix-huit ans. C'était un petit dealer, toujours à l'affût d'un coup, qui " travaillait " après l'école.
Alors, qui a tué John Lee ? Quatre hommes possèdent un fragment de la vérité : Spade, Junior Jones, frère Tommy Hall et Q.I. Quatre destins qui incarnent la violence, la ruse, mais aussi l'espoir d'une rédemption, dans un quartier voué à la misère et à la drogue.
Ce " polar " au réalisme impeccable est aussi un grand roman politique sur l'Amérique urbaine de la fin des années 60, qui allait bientôt basculer dans la violence raciale.

Le vautour

Nel 1980 Stevie Wonder invitò Gil Scott-Heron e il suo gruppo ad accompagnarlo in un tour attraverso l'America: l'intento era quello di ideare insieme una festa nazionale in onore di Martin Luther King Jr. L'ultima vacanza è il racconto affascinante di cosa è accaduto durante il viaggio, e di come Heron si sia trovato coinvolto in un simile progetto. Per raccontare questa storia, Scott-Heron decide di iniziare dalle proprie origini: il viaggio che lo porta ad essere uno dei musicisti più importanti della sua generazione parte dunque da lontano, dall'infanzia trascorsa con la nonna nel Tennessee, fino a diventare uno dei uno dei maggiori esponenti della black music. Politicamente impegnato, dotato di una forte coscienza sociale, selvaggiamente satirico ma profondamente empatico, viene oggi definito il "padrino del rap". La morte inaspettata, nel 2011, ha determinato la scomparsa di uno degli artisti più eloquenti e creativi: come ha avuto modo di dire Sarah Silverman, attrice e comica statunitense, "ha specchiato la bruttezza con la bellezza, l'audacia e il valore". Autobiografia sentita e scritta meravigliosa mente, L'ultima vacanza è piena di spunti sull'industria musicale, New York, il movimento per i diritti civili, l'America moderna, l'ipocrisia governativa, Stevie Wonder e il nostro posto in questo mondo. Un testamento adatto al genio di Scott-Heron e agli spiriti che l'hanno accompagnato.

L’ultima vacanza. A memoir

Questa è la storia dell'Hotter than July tour, il tour con cui nel 1980 Stevie Wonder riunì numerosi artisti internazionali per chiedere a gran voce che in America venisse istituito il Martin Luther King Day. Questa è la storia di come Gil Scott Heron abbia preso parte a quel tour, ma è anche la storia di come un ragazzino afro americano del Tennessee sia riuscito a diventare uno scrittore, un poeta, un musicista, il primo a inventare la spoken poetry, a tracciare il sentiero di quello che sarebbe diventato il rap. Questo è un libro in cui la storia di riscatto di un uomo si intreccia con la storia di riscatto di un popolo e con il movimento per i diritti civili, diventando una storia universale. È la storia di una rivoluzione non trasmessa in televisione. Questo è un libro sui sogni che si realizzano.

L'Ultima vacanza. Un'autobiografia.

Du Tennessee au Madison Square Garden, où il chanta « The Revolution Will Not Be Televised », Gil Scott-Heron était un homme de combats. Dans ces mémoires rythmés par son phrasé vif et imagé qui inspira des générations d’artistes, il évoque son enfance mouvementée mais aussi ses rencontres avec Bob Marley, Michael Jackson ou Stevie Wonder, qui l’embarqua dans une tournée en hommage à Martin Luther King.Gil Scott-Heron (1949-2011) est musicien, poète et romancier. Citoyen noir américain engagé, il est considéré comme le précurseur du rap et a notamment influencé de nombreux musiciens issus du mouvement « Spoken Word ».

La Dernière Fête

John Lee, petit dealer new-yorkais de dix-huit ans, est mort assassiné. Quatre hommes qui l’ont connu possèdent un fragment de la vérité : Spade, qui contrôle tout le quartier, Junior Jones, un chef de bande, frère Tommy Hall, militant noir et éducateur, et QI, l’intellectuel de la rue. Tous ont essayé de se tirer d'affaire…

Le Vautour

John Lee, petit dealer new-yorkais de dix-huit ans, est mort assassiné. Quatre hommes qui l'ont connu possèdent un fragment de la vérité : Spade, qui contrôle tout le quartier, Junior Jones, un chef de bande, frère Tommy Hall, militant noir et éducateur, et QI, l'intellectuel de la rue. Tous ont essayé de se tirer d'affaire...

De Jackson, Tennessee, au Madison Square Garden de New York où il chanta le morceau légendaire "The Revolution Will Not Be Televised", Gil Scott-Heron, musicien et écrivain noir américain, a toujours été un homme de combats. Il se confie pour la première fois dans ces mémoires aussi émouvants que drôles, rythmés par son phrasé vif et imagé qui inspira des générations d'artistes. Heureux hasards, coups d'audace, coups de sang... Gil Scott-Heron évoque son enfance mouvementée mais aussi ses rencontres avec Bob Marley, Michael Jackson ou encore Stevie Wonder, le "frère" qui l'embarqua dans une tournée épique en hommage à Martin Luther King. Disparu en 2011, Gil Scott-Heron a laissé derrière lui, en un ultime opus littéraire, ces fragments d'une vie d'artiste et de citoyen engagé. Et il nous livre, à sa manière, une contre-histoire de la société américaine des années 1960 à 1990.

La dernière fête - Mémoires

Traduit de l'anglais (États-Unis) par Stéphane Roques

" Je voulais amener les gens qui m'écoutaient à comprendre qu'ils n'étaient pas seuls et qu'il était possible de changer les choses. "

De Jackson, Tennessee, au Madison Square Garden de New York où il chanta le morceau légendaire " The Revolution Will Not Be Televised ", Gil Scott-Heron, musicien et écrivain noir américain, a toujours été un homme de combats. Il se confie pour la première fois dans ces mémoires aussi émouvants que drôles, rythmés par son phrasé vif et imagé qui inspira des générations d'artistes. Heureux hasards, coups d'audace, coups de sang... Gil Scott-Heron évoque son enfance mouvementée mais aussi ses rencontres avec Bob Marley, Michael Jackson ou encore Stevie Wonder, le " frère " qui l'embarqua dans une tournée épique en hommage à Martin Luther King.

Disparu en 2011, Gil Scott-Heron a laissé derrière lui, en un ultime opus littéraire, ces fragments d'une vie d'artiste et de citoyen engagé. Et il nous livre, à sa manière, une contre-histoire de la société américaine des années 1960 à 1990.

" OEuvre d'un véritable écrivain et magicien des mots, La Dernière Fête est aussi passionnant et indispensable que les Chroniques de Bob Dylan. "

The New York Times

Le vautour

Résumé

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Critiques

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