Elizabeth Minton et son frère Henry, tous deux retraités, vivent une existence faite de rites et de répétition, dans la grande demeure familiale, au bord de l'océan. Henry est pragmatique et égoïste, tandis qu'Elizabeth, irrationnelle et rêveuse, métamorphose son quotidien par la force de son imagination. Cela suffira-t-il à lui procurer le vivifiant sentiment de libération auquel elle aspire?

Dimanche chez les Minton et autres nouvelles

"The Letters of Sylvia Plath underscores Plath's jaw-dropping output, her rapid growth from merely talented to singular voice.

The Letters of Sylvia Plath Volume 1 - 1940-1956

"In these poems...Sylvia Plath becomes herself, becomes something imaginary, newly, wildly and subtly created."  -- From the Introduction by Robert Lowell

Ariel

In the "Poet to Poet" series, a contemporary poet advocates a poet of the past or present whom they have particularly admired. By their selection of verses and their critical reactions, the selectors offer intriguing insights into their own work. Here, Ted Hughes selects Sylvia Plath.

SYLVIA PLATH

Secs, sans cavalier, les mots Et leur galop infatigable Quand Depuis le fond de l'étang, les étoiles Régissent une vie. «Ariel, génie de l'air de La Tempête, de Shakespeare, est aussi le nom du cheval blanc que montait à l'aube dans le Devon, en Angleterre, l'un des plus extraordinaires poètes du XX? siècle, Sylvia Plath, aux derniers mois de sa courte vie. Ariel, borne décisive marquant un avant et un après, parole intense jusqu'à la rage parfois, question de vie ou de mort. Ariel, jusqu'au bout, l'extrémité du dernier souffle.» Valérie Rouzeau.

Précédé de Mourir est un art par George Steiner, traduit de l'anglais par Pierre-Emmanuel Dauzat

Oeuvres ; poèmes, romans, nouvelles, contes, essais, journaux

Pour beaucoup de lecteurs à travers le monde, le poète Sylvia Plath est devenu une figure de culte. Sa destinée exemplaire, son mariage au poète britannique Ted Hughes (figure contestée, gourou pour les uns, démon pour les autres), son suicide en 1963, à l'âge de trente et un ans, les deux enfants qu'elle laissait... tous ces éléments de sa vie contribuèrent à accroître sa renommée.
Les journaux, commencés à dix-huit ans et tenus jusqu'à la veille de sa mort, plongent le lecteur au coeur de la vie intérieure d'une femme qui lutta quotidiennement contre elle-même et n'eut de cesse qu'elle ait transformé en mots la réalité. Exigence tranchante et désir d'absolu ressortent à chaque instant. À côté des impatiences de la collégienne ou des obsessions de l'écrivain paralysé, on trouve des pages inspirées et splendides, qui sont à la source de nombreux poèmes.
Formidable matériau en fusion, ces journaux livrent aussi nombre de passages amusants et de portraits féroces des grandes figures littéraires de l'époque.

Journaux ; 1950-1962

"The Bell Jar" by Sylvia Plath is a haunting exploration of the human psyche. Set against the backdrop of 1950s America, the novel follows Esther Greenwood, a talented and ambitious young woman, as she descends into the depths of mental illness. Plath's raw and poetic prose captures Esther's internal struggle with societal expectations, the constraints of gender roles, and the pressure to conform. The bell jar becomes a metaphor for Esther's sense of isolation and suffocation as she grapples with her identity and the expectations placed upon her. This poignant and introspective work delves into the complexities of mental health, the pursuit of individuality, and the challenges of finding one's place in a world that can feel stifling and oppressive. Plath's masterpiece continues to resonate for its unflinching portrayal of the human condition and remains a powerful exploration of the fragility of the mind.

The Bell Jar

Esther Greenwood, dix-neuf ans, est à New York avec d'autres lauréates d'un concours de poésie organisé par un magazine de mode. De réceptions en soirées passées pour tuer le temps, ce sont quelques jours d'une existence agitée et futile que vit la narratrice. En même temps, elle se souvient de son enfance, de son adolescence d'étudiante américaine, des amours qu'elle a connues. Tout bascule lorsque Esther quitte New York. Tentatives de suicide, traitements de choc, guérison, rechutes, et, pour finir, l'espoir. Esther est à la fois «patiente» dans l'univers hospitalier et observatrice au regard aigu de ce monde, qui a pour toile de fond l'Amérique des années 1950.

Dimanche chez les Minton et autres nouvelles

Résumé

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