'Britain's No.1 crime writer' Mirror * * * * *A CASE THAT WON'T DIEJohn Rebus can't close the door on the death of glamorous socialite Maria Turquand. Brutally murdered in her hotel room forty years ago, her killer has never been found.Meanwhile, Edinburgh's dark heart is up for grabs. Young pretender Darryl Christie may have staked his claim on the city's underworld - but has criminal mastermind and Rebus' long-time adversary, Big Ger Cafferty, really settled down to a quiet retirement? Or is he hiding in the shadows until Edinburgh is once more ripe for the picking?Old Enemies. New Crimes. Rebus may be off the force, but he certainly isn't off the case.* * * * *'Superbly told, impossible to put down ... underlines the treasure that Rebus has become' Daily Mail'This elegantly crafted and witty thriller proves this old devil still has all the best tunes' Sunday Mirror'Effortless plotting and a cracking narrative that keeps the reader gripped throughout' Daily Express

Rather be the devil

Mary Miller had always been an outcast. As a young girl she had fallen into the hot burn - a torrent of warm chemical run-off from the local coal mine. Fished out white-haired and half-dead, sympathy for her quickly faded when the young man who pushed her in died in a mining accident just two days later. From then on she was regarded with a mixture of suspicion and fascination by her God-fearing community. Now, years later she is hardly less alone. She is the mother of a bastard son, Sandy, and caught up in a faltering affair with a local teacher. Sandy, meanwhile, has fallen in love with a strange homeless girl. The search for happiness isn't easy. Both mother and son must face a dark secret from their past, in the growing knowledge that their small dramas are being played out against a much larger canvas, glimpsed only in symbols and flickering images - of decay and regrowth, of fire and water - of the flood. THE FLOOD is both a coming-of-age novel and an amazing portrait of a time and place. Dark, atmospheric and powerful, it is a remarkable debut from a remarkable author.

The Flood

Cela fait des années que la Spécial Branch et le MI5 essaient de mettre la main sur une femme : Witch, terroriste internationale particulièrement dangereuse et performante. Le problème, c'est que personne n'est capable de la décrire avec précision. Il suffit de l'étrange explosion d'un bateau de plaisance au milieu de la Manche, de l'assassinat baroque d'un banquier en Écosse et de l'arrivée imminente, à Londres, de nombreux chefs d'État, pour semer la panique : aucun doute, Witch s'apprête à frapper de nouveau. Entre Calais, Paris, l'Allemagne et une fête foraine à Brighton, la traque fébrile menée de front par les services secrets français et britanniques se resserre autour du Centre de conférences proche de Buckingham Palace et connaît un dénouement renversant sous les remparts de York. Publié en Angleterre sous le pseudonyme de Jack Harvey, ce thriller tendu et retors s'inscrit brillamment dans la ligne de John Le Carré et Frederic Forsythe.

Nom De Code : Witch

À la fin des années soixante, un serial killer surnommé «Bible John» a semé la terreur en Écosse avant de se volatiliser. Trente ans plus tard, Édimbourg est le théâtre d'une série de meurtres similaires. Bible John serait-il de retour ? La police serait prête à le croire, si elle n'avait la preuve que le meurtrier, auquel elle donne le sobriquet de «Johnny Bible», est jeune. John Rebus, officiellement chargé d'une autre affaire, suit une piste qui va le mener à Johnny Bible...

L'ombre du tueur

Alors qu'elles reviennent de l'école par le parc, trois adolescentes aperçoivent une vision singulière : un homme, vêtu de blanc, blessé au côté et illuminé d'une aura incroyable. Puis, sans crier gare, il se volatilise. Serait-ce le Christ ? C'est ce que tout Édimbourg clame, mais l'inspecteur John Rebus est loin d'en être convaincu.

Avoir des visions

Il y a des affaires qu'on n'oublie jamais.
40 ans après, John Rebus est toujours hanté par la mort de la belle et volage Maria Turquand, étranglée dans sa chambre d'hôtel alors qu'une rock star et son équipe donnaient une fête déchaînée dans la chambre d'à côté. Le tueur n'a jamais été retrouvé.
Pendant ce temps, le coeur noir d'Edimbourg est toujours à prendre. Un jeune prétendant, Darryl Christie, semble en bonne position, mais subit une violente agression qui le met sur la touche, l'affaiblit et le rend vulnérable, d'autant plus qu'une enquête sur une affaire de blanchiment d'argent menace sa place de caïd. Quant à Big Ger Cafferty, est-il vraiment hors course ou prenait-il juste son mal en patience avant de trouver le bon moment pour reprendre le contrôle de l'envers de la ville ?
Jeux de pouvoirs, corruption profondes et rivalités amères sont au coeur de cette nouvelle enquête brûlante où Rankin et Rebus sont au meilleur de leur forme.

Le diable rebat les cartes

Quelques applaudissements saluèrent l'entrée de Malcolm Fox.- Laissez tomber, lança celui-ci, posant son vieil attaché-case sur le bureau le plus proche de la porte.Deux autres membres des Affaires internes se trouvaient dans la pièce. Ils reprirent le travail avant même que Fox eût ôté son manteau. Il était tombé cinq centimètres de neige à Édimbourg pendant la nuit. La semaine précédente, la même quantité avait paralysé tout Londres ; Fox, lui, avait réussi à venir travailler, ainsi, à première vue, que tous ses collègues. Dehors, le monde semblait temporairement purifié. Fox avait repéré des traces de pas dans son jardin - il savait qu'il y avait un terrier de renards vers chez lui, là où les maisons étaient adossées au terrain de golf municipal. Son surnom au poste de police central, c'était «Foxy», mais ce n'était pas ainsi qu'il se voyait. «Un ours», avait fait observer un de ses anciens patrons. Lent mais tenace, voire redoutable.Tony Kaye, un dossier plein à craquer coincé sous le bras, passa devant le bureau et parvint à serrer l'épaule de Fox sans rien laisser tomber.- Bravo quand même, dit-il.- Merci, Tony, répondit Fox.Le Q.G. de police du Lothian and Borders1 se trouvait dans Fettes Avenue. De certaines fenêtres, on avait vue sur le Fettes Collège. Quelques enquêteurs des Affaires internes avaient fréquenté des écoles privées, mais aucun n'était allé au Fettes. Fox lui-même avait largement bénéficié de la gratuité des études - lycée Boroughmuir, puis université Heriot Watt. Supporteur du FC Hearts même s'ils gagnaient de plus en plus rarement, ne serait-ce qu'un match à domicile. Ne s'intéressait pas du tout au rugby, même lorsque sa ville accueillait le Tournoi des VI Nations, lequel avait lieu ce mois-ci, ce qui signifiait que, le week-end suivant, il y aurait dans les rues des hordes de Gallois en goguette, déguisés en dragons et trimballant d'énormes poireaux gonflables. Fox pensait regarder le match à la télé, à moins qu'il se secoue et descende au pub. Cinq ans maintenant qu'il ne buvait plus, et deux ans qu'il se faisait suffisamment confiance pour y passer de temps en temps. Mais seulement quand il était dans le bon état d'esprit ; seulement quand la volonté était forte.Il suspendit son manteau et décida de retirer aussi sa veste. Certains de ses collègues considéraient que ses bretelles étaient une forme de coquetterie, mais il avait perdu près de six kilos et détestait mettre une ceinture. Elles n'étaient pas d'un ton criard - bleu marine sur une chemise unie bleu clair. Sa cravate du jour était rouge foncé. Il posa sa veste sur le dossier de sa chaise de bureau, en lissa les épaules et s'assit, déverrouillant les serrures de son attaché-case dont il sortit les documents concernant Glen Heaton. Heaton : la raison qui avait valu à Fox la petite salve d'applaudissements de la part de ses collègues. Heaton était un résultat. Il avait fallu presque un an à Fox et à son équipe pour boucler le dossier. Lequel avait été validé par le bureau du procureur général, et Heaton, ayant été convoqué et interrogé, passerait en jugement.Glen Heaton : quinze ans de service dans la police, dont onze à la brigade criminelle. Autant d'années durant lesquelles il avait passé le plus clair de son temps à tirer le règlement à lui. Seulement, il avait franchi la ligne blanche, divulguant des informations non seulement à ses potes journalistes mais aussi à des criminels. Ce qui, une fois encore, avait attiré sur lui l'attention des Affaires internes. --Ce texte fait référence à l'édition Broché .

Plaintes (Matthew Fox, #1)

Trois compères décident de voler des tableaux à l'occasion de la journée Portes ouvertes de la National Gallery d'Edimbourg. Mike, 37 ans, a fait fortune en créant des logiciels informatiques et veut mettre un peu de piment dans sa vie. Robert, directeur de l'Institut d'art, va bientôt prendre sa retraite et a envie d'un cadeau de départ plus substantiel qu'une montre en or. Quant au banquier de la bande, Allan, il rêve d'accrocher chez lui deux œuvres qu'il a toujours aimées. Seulement voilà : monter un casse requiert des compétences et des relations. Tout se complique très vite. L'engrenage se révèle infernal, mais le trio a de la ressource. Polar hautement divertissant, retors et filant bon train, Portes ouvertes apporte la preuve qu'être voleur, ça ne s'improvise pas !

Portes ouvertes

Noël approche, les élections législatives aussi. Les ouvriers s'activent à Queensberry House : le siège du nouveau Parlement doit être prêt à temps. La découverte d'un corps momifié dans une cheminée, puis la mort d'un mystérieux clochard passent presque inaperçues au regard de l'assassinat d'un fils de famille engagé dans la course électorale.
Trois morts, dont deux inconnus : l'inspecteur Rebus voit un lien entre eux et suit son instinct. Sa hiérarchie, lui reprochant de toujours chercher ce qui n'existe pas, désapprouve. En chemin, il croisera ses démons habituels : l'alcool, la solitude, les aléas de la justice, et son vieil ennemi, le caïd « Big Ger » Cafferty. Mais, au coeur de ce roman, il y a surtout la beauté ténébreuse d'Edimbourg, son histoire mouvementée, et une nouvelle criminalité en filigrane : à la faveur de l'autonomie, qui va mettre la main sur l'argent et le pouvoir ?

Rather be the devil

Résumé

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Critiques

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