Sir Walter Elliot, of Kellynch Hall, in Somersetshire, was a man who, for his own amusement, never took up any book but the Baronetage; there he found occupation for an idle hour, and consolation in a distressed one; there his faculties were roused into admiration and respect, by contemplating the limited remnant of the earliest patents; there any unwelcome sensations, arising from domestic affairs changed naturally into pity and contempt as he turned over the almost endless creations of the last century; and there, if every other leaf were powerless, he could read his own history with an interest which never failed.

Persuasion

Elizabeth Bennet, qui se croit dédaignée par Darcy, jeune homme riche et hautain, s'amourache d'un bel officier, Wickham. Au terme de nombreuses péripéties, elle revient à Darcy. Qu'en résultera-t-il ?

Orgueil et préjugés - Suivi de Amour et amitié

Jane Austen Emma Publié anonymement en 1816, Emma est l'oeuvre la plus aboutie de Jane Austen (1775-1817) et l'un des classiques du roman anglais.
Orpheline de mère, seule auprès d'un père en mauvaise santé, Emma Woodhouse, désormais la maîtresse de maison, s'est mis en tête de marier Harriet Smith, une jeune fille qu'elle a recueillie chez elle. Ce faisant, ne s'est-elle pas attribué un rôle qui n'est pas (ou pas encore) pour elle ? Son inexpérience des coeurs et des êtres, ses propres émotions amoureuses, qu'elle ne sait guère interpréter ou traduire, lui vaudront bien des déconvenues et des découvertes.
Autour d'Emma, Jane Austen dépeint avec sobriété et humour, et aussi une grande véracité psychologique, le petit monde provincial dans lequel elle a elle-même passé toute sa vie.

Emma

Sir Walter Elliot von Kellynch Hall in der Grafschaft Somerset war ein Mann, der zu seiner Unterhaltung nie ein anderes Buch in die Hand nahm, als das Adelsverzeichnis. Hier fand er Beschäftigung für eine müßige Stunde, und Trost in einer traurigen; hier wurde sein Geist zur Bewunderung und Ehrfurcht angeregt, wenn er darüber sinnierte, wie wenig von den uralten Adelslinien noch übrig war, und hier hatte er Gelegenheit, belanglose häusliche Angelegenheiten, die ihn ärgerten, zu vergessen. Überblickte er die zahllosen Adelsverleihungen des letzten Jahrhunderts, so konnte er, wenn ihn sonst nichts aufheiterte, hier auch seine eigene Geschichte immer aufs Neue höchst interessiert lesen, und auf dieser Seite schlug er daher sein Lieblingsbuch gern auf. Dort stand:

"Elliot von Kellynch Hall. Walter Elliot, geboren am 1. Mai 1760; vermählt am 15. Juli 1784 mit Elisabeth, Tochter des Sir Jakob Stevenson, auf South-Park in der Grafschaft Gloucester; mit dieser (1800 verstorbenen) Gemahlin zeugte er: Elisabeth, geboren am 1. Juni 1785; Anne, geboren am 9. August 1787; einen tot geborenen Sohn, am 5. November 1789; Marie, geboren am 20. November 1791."

So war die Stelle aus des Setzers Schriftkasten gekommen; aber unser Baronet hatte sie, zu seiner und der seinigen Belehrung, ergänzt durch den Anhang zum Namen seiner jüngsten Tochter:

"Vermählt am 16. Dezember 1810 mit Charles, Sohn und Erben des Mr. Charles Musgrove, auf Uppercross in der Grafschaft Somerset ..." und durch genaue Angabe des Tages und Monates, an dem er seine Frau verloren hatte.

Darauf folgten die üblichen Angaben über Geschichte und Aufstieg der altehrwürdigen Familie. Wie nämlich dieses Geschlecht sich zuerst in Cheshire angesiedelt, wie es hohe Ämter verwaltet, zu verschiedenen Parlamentssitzungen Volksvertreter geliefert, durch Untertanentreue sich ausgezeichnet, unter der Regierung Charles II. die Baronetwürde erhalten und mit verschiedenen Maries und Elisabeths sich vermählt hatte. Alles dies füllte zwei Duodezseiten, und schloß mit der Angabe des Wappens, des Wahlspruches und des Hauptsitzes Kellynch Hall; worauf dann wieder des Baronets eigenhändiger Zusatz folgte:

"Vermutlicher Erbe: William Walter Elliot, Urenkel des zweiten Baronets, Sir Walter."

Eitelkeit war Sir Walter Elliots einzige Charaktereigenschaft: er war stolz auf sein Aussehen und stolz auf seine gesellschaftliche Stellung. Er war in seiner Jugend ungemein hübsch gewesen, und trotz seiner vierundfünfzig Jahre noch immer ...

Überredung oder Anne Elliot

Publié anonymement en 1816, Emma est l'oeuvre la plus aboutie de Jane Austen (1775-1817) et l'un des classiques du roman anglais. Orpheline de mère, seule auprès d'un père en mauvaise santé, Emma Woodhouse, désormais la maîtresse de maison, s'est mis en tête de marier Harriet Smith, une jeune fille qu'elle a recueillie chez elle. Ce faisant, ne s'est-elle pas attribué un rôle qui n'est pas (ou pas encore) pour elle ? Son inexpérience des coeurs et des êtres, ses propres émotions amoureuses, qu'elle ne sait guère interpréter ou traduire, lui vaudront bien des déconvenues et des découvertes. Autour d'Emma, Jane Austen dépeint avec sobriété et humour, et aussi une grande véracité psychologique, le petit monde provincial dans lequel elle a elle-même passé toute sa vie.

Orgueil et Pr�jug�s (Pride and Prejudice) est un roman de la femme de lettres anglaise Jane Austen paru en 1813. Il est consid�r� comme l'une de ses oeuvres les plus significatives et c'est aussi la plus connue du public. R�dig� entre 1796 et 1797, le texte, alors dans sa premi�re version (First Impressions), figurait au nombre des grands favoris des lectures en famille que l'on faisait le soir � la veill�e dans la famille Austen.

Orgueil et Prejuges

Sense and Sensibility (traduit en francais par Raison et Sensibilite, Raison et Sentiments, ou encore Le C ur et la Raison) est le premier roman publie de la femme de lettres anglaise Jane Austen. Il parait en 1811 de facon anonyme puisqu'il etait signe by a Lady ( [signe] par une dame ). En effet, sa position sociale interdisait a Jane Austen de signer de son nom un roman destine a la vente, mais elle ne voulait pas cacher qu'il etait l' uvre d'une femme. Le texte initial, ecrit vers 1795, probablement sous forme epistolaire, avait pour titre le nom des deux heroines, Elinor et Marianne, comme beaucoup de romans ecrits par des femmes au XVIIIe siecle, mais le choix du titre definitif, pour la publication en 1811, semble indiquer une volonte didactique. Marianne Dashwood, ardente et romanesque, qui croit passionnement pouvoir s'affranchir des convenances, s'affiche avec le seduisant Willoughby dont elle est tombee amoureuse, tandis que sa s ur ainee, la raisonnable Elinor, cache le tendre sentiment que lui inspire son beau-frere, Edward Ferrars. Marianne devra apprendre a surmonter la trahison des sentiments, dans la douleur et avec l'aide de sa s ur, qui, de son cote, refuse stoiquement de rever et se devoue a sa famille. Publie par Thomas Egerton, et a compte d'auteur, a l'automne 1811, le roman est accueilli plutot favorablement et parait en francais des 1815, dans une traduction-adaptation tres libre par Isabelle de Montolieu, sous le titre Raison et Sensibilite, ou les Deux Manieres d'aimer. La traduction de Sensibility en francais semble poser probleme, puisque les traductions modernes hesitent entre sentiments et c ur. Mais les adaptations, que ce soit celle pour le cinema d'Ang Lee, sur un scenario d'Emma Thompson en 1995, ou celle pour la television d'Andrew Davies en 2008, sont connues en francais sous le titre Raison et Sentiments."

Raison et sensibilité

Jane Austen: Stolz und Vorurteil | Neu editierte Ausgabe 2020 mit aktualisierter Rechtschreibung | Jane Austen liefert mit »Stolz und Vorurteil« nicht nur eine oberflächliche Liebesgeschichte: Wie alle ihre Werke hat auch dieser Roman eine tiefere Ebene. Unterhalb der Romanze schwingen die kritischen Fragen einer jungen Frau an die Gesellschaft mit: Ist das alles richtig so? Muss mein Leben so eingerichtet sein? Leben wir nicht in furchtbaren Zwängen? - Der Roman folgt oberflächlich dem konservativen Wertesystem der damaligen Zeit, und ist doch ein schreiender Protest dagegen. Darum ist »Stolz und Vorurteil« zeitlos und heute genauso lesbar wie vor zweihundert Jahren.

Persuasion

Résumé

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