L'unique roman du poète Armand Robin est en même temps une épopée. C'est la lutte pour la vie menée par les paysans de Bretagne. Dans une atmosphère de misère s'affrontent, sans cesse, des personnages que l'angoisse étouffe.

Le temps qu'il fait

La Fausse Parole

Ecrits oubliés - Tome 1, Essais critiques

Louve n'a qu'un rêve dans la vie : attraper un mouton. Pour y arriver, elle met en place toutes sortes de stratagèmes, chaque fois plus loufoques et inventifs. Malheureusement, si elle est particulièrement tenace, elle est aussi vraiment très maladroite : ses plans n'aboutissent donc jamais, pour le plus grand bonheur du troupeau qui adore se moquer d'elle !

Louve y es-tu ?, Tome 01

Les poèmes indésirables

Lettres du tout jeune Armand Robin révélant maturité et prescience.

Lettres à Jean Guéhenno suivies de Lettres à Jules Supervielle

Des plans machiavéliques pour attraper des moutons, l'imaginative Louve n'en manque pas ! En revanche, pour ce qui est de la réalisation, c'est souvent bien moins simple : maladroite, impatiente et facilement attendrie, Louve est régulièrement la risée de tout le troupeau, qui prend un malin plaisir à faire gentiment tourner en bourrique leur prédatrice malheureuse, qu'au fond, ils adorent.
De tentatives farfelues en hilarants échecs, Louve peut compter sur des alliés plus ou moins utiles, comme son camarade Michel ou Angélique, le mouton qui veut à tout prix l'aider, mais doit aussi faire face à des ennemis plus effrayants qu'elle, comme l'ours ou le chien de berger.

Un second tome au sein duquel les scénaristes Armand Robin et Marie Manand se sont amusés une fois de plus à placer leur attendrissante héroïne dans les situations les plus loufoques ! Des gags courts d'une à trois pages mis en scène avec efficacité et expressivité par la talentueuse Caroline Hue, à déguster sans modération !

Louve, y es-tu ? Tome 2 : à pas de louve

La plus sûre façon de trahir, la plus avantageuse aussi, est de rester " fidèles par idées " ; mieux vaudrait encore rester fidèles par le rêve, puisque les hommes sont davantage couleur de leurs songes que de leurs pensées : les uns sont habillés de prés et de bois, les autres de la lumière citadine des enseignes, d'autres du soleil prudent qui tombe sur les bâtisses ; mais la plus vraie livrée de l'homme est celle des rapports qui l'unissent à la souffrance. Jamais une douleur n'a menti. A. R.

Le temps qu'il fait

Résumé

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