Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

La notion d'a priori

Carthage, Pompéi, Ithaque : trois villes où genres et espèces se mêlent. Dieux et hommes, passé et présent, morts et vivants. Trois images composites qui continuent de hanter les pratiques urbaines, mais qu'ignorent les théories de l'urbanisme contemporain. En analysant de près ces théories, de la sémiologie au marxisme et à ses dérivés, l'auteur de Cinévilles montre que cette lacune les conduit à des impasses. Car c'est bien la mélancolie active d'une mémoire vague, diffuse, informelle qui investit le présent bétonné et permet à une pratique « oblique » de s'exercer, malgré et à travers les circuits et les codes.

Cinévilles

En recourant à la Nature, à une nature qui produit, à une nature qui parle, Mikel Dufrenne entend d'abord répondre à une question précise : quelle est l'essence du poétique ? Posé en ces termes, le problème est interne à l'esthétique, en tant que discipline philosophique. Il s'articule en deux questions : qu'est-ce qui fait que le poème, en tant qu'ouvre de langage, est poétique ? qu'est-ce qui fait que le poète, comme artisan de langage, est habité par la poésie, par l'état poétique ?

Le poétique - Pour une philosophie non théologique

La personnalité de base - Un concept sociologique

L'ouvrageParue en 1953, la Phénoménologie de l’expérience esthétique applique pour la première fois à l’esthétique l’appareil conceptuel de la phénoménologie. Elle élabore une analyse de l’œuvre d’art et, plus largement, de l’objet esthétique, si divers et changeants qu’en soient les traits singuliers. Elle s’attache à décrire l’expérience esthétique vécue, ce moyen privilégié que nous avons d’éprouver notre présence au sensible. Elle célèbre cette forme heureuse du sentir, ce haut moment de la perception où se révèle, à la limite du pensable, la connivence originaire de l’homme et du monde.

La notion d'a priori

Résumé

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