Chacun porte une chambre en soi

Le jour de son arrestation, K. ouvre la porte de sa chambre pour s'informer de son petit-déjeuner et amorce ainsi une dynamique du questionnement qui s'appuie, tout au long du roman, sur cette métaphore de la porte. Accusé d'une faute qu'il ignore par des juges qu'il ne voit jamais et conformément à des lois que personne ne peut lui enseigner, il va pousser un nombre ahurissant de portes pour tenter de démêler la situation. À mesure que le procès prend de l'ampleur dans sa vie, chaque porte ouverte constitue une fermeture plus aliénante sur le monde de la procédure judiciaire, véritable source d'enfermement et de claustrophobie. L'instruction suit son cours sur environ un an durant lequel l'absence d'événements est vue uniquement à travers les yeux de K. Sa lucidité, dérisoire et inutile jusqu'à la fin, contrairement à celle du héros de La Métamorphose, n'apporte aucun soulagement. Le Procès, pièce charnière dans l'oeuvre de ce génie de l'absurde, renonce au ressort du surnaturel pour évoquer l'angoisse de l'obsession. --Sana Tang-Léopold Wauters

Le procès

Sous des apparences fantastiques, La Metamorphose n'est en fait qu'une allegorie que le lecteur peut interpreter comme il veut. Elle a ainsi suscite a l'infini des interpretations: sociologiques, metaphysiques, psychanalytiques. Tout peut y etre trouve: handicap, perte du langage et de l'identite, solitude, routine, rivalite pere-fils, desirs incestueux, incommunicabilite, culpabilite voire premonition par Kafka de sa propre mort et du genocide du peuple juif (qui eut lieu 30 annees apres la publication de la nouvelle). Quoi que l'on en retienne, tout s'inscrit dans la vision kafkaienne de la vie.

La Métamorphose

Der Heizer ist der erste Teil von dem Fragment gegebliebenen Roman Amerika und wurde vorab schon veröffentlicht. Die Eltern schicken ihren Sohn nach Amerika. Er muss ein neues Leben beginnen.

Auszug:

Ein junger Mann, mit dem er während der Fahrt flüchtig bekannt geworden war, sagte im Vorübergehen: »Ja, haben Sie denn noch keine Lust, auszusteigen?« »Ich bin doch fertig« , sagte Karl, ihn anlachend, und hob aus Übermut, und weil er ein starker Junge war, seinen Koffer auf die Achsel. Aber wie er über seinen Bekannten hinsah, der ein wenig seinen Stock schwenkend sich schon mit den andern entfernte, merkte er bestürzt, daß er seinen eigenen Regenschirm unten im Schiff vergessen hatte. Er bat schnell den Bekannten, der nicht sehr beglückt schien, um die Freundlichkeit, bei seinem Koffer einen Augenblick zu warten, überblickte noch die Situation, um sich bei der Rückkehr zurechtzufinden, und eilte davon. Unten fand er zu seinem Bedauern einen Gang, der seinen Weg sehr verkürzt hätte, zum erstenmal versperrt, was wahrscheinlich mit der Ausschiffung sämtlicher Passagiere zusammenhing, und mußte Treppen, die einander immer wieder folgten, durch fortwährend abbiegende Korridore, durch ein leeres Zimmer mit einem verlassenen Schreibtisch mühselig suchen, bis er sich tatsächlich, da er diesen Weg nur ein- oder zweimal und immer in größerer Gesellschaft gegangen war, ganz und gar verirrt hatte. In seiner Ratlosigkeit und da er keinen Menschen traf und nur immerfort über sich das Scharren der tausend Menschenfüße hörte und von der Ferne, wie einen Hauch, das letzte Arbeiten der schon eingestellten Maschinen merkte, fing er, ohne zu überlegen, an eine beliebige kleine Tür zu schlagen an, bei der er in seinem Herumirren stockte.

Der Heizer

« Très cher père, Tu m'as demandé récemment pourquoi je prétends avoir peur de toi. Comme d'habitude, je n'ai rien su te répondre... » Réel et fiction ne font qu'un dans la lettre désespérée que Kafka adresse à son père. Il tente, en vain, de comprendre leur relation qui mêle admiration et répulsion, peur et amour, respect et mépris.Réquisitoire jamais remis à son destinataire, tentative obstinée pour comprendre, la Lettre au père est au centre de l'œuvre de Kafka.

Lettre au père

La cronaca di un intenso amore. L'incontro tra mondi diversi sullo sfondo dell'« epoca ebraico-occidentale » di cui Kafka è l'estremo rappresentante. L'ultima grande testimonianza della koinè praghese, ceca-tedesca-ebraica. Le lettere di Franz Kafka a Milena Jesenská vengono presentate qui per la prima volta integralmente e in una nuova traduzione. L'edizione restituisce la complessità del testo originale facendo emergere l'assoluto valore letterario e riscoprendo le fonti segrete che ispirano l'autore: da Dostoevskij a Dante, da Kierkegaard a Nietzsche, dal Tao al Vangelo di Giovanni, alla Cabbalà. Si dipana così un percorso attraverso differenti gradi della scrittura in cui il vissuto si intreccia all'elaborazione visionaria di Kafka e si proietta su molteplici piani di senso in un dialogo con le grandi voci antiche e moderne del pensiero e della letteratura. Un itinerario ai limiti della parola e del dicibile, senza approdi definitivi perché, scrive Kafka a Milena, « siamo in ogni caso in viaggio, più che partire non si può ».

Lettere a Milena

"Una pequeña fábula" (título original en alemán: "Kleine Fabel"), es un relato corto escrito por Franz Kafka en 1920.

Una pequeña fábula

Die zwei Erzählungen "Prometheus" und "Der Dorfschullehrer" wurden beide erst postum veröffentlicht. Prometheus gehört zu den selten interpretierten Werken Kafkas und Der Dorfschullehrer wurde nie abgeschlossen - beides Werke, die einen tieferen Einblick in das Werk Kafkas geben abseits der viel besprochenen Erzählungen und Romane, die jeder kennt.

Prometheus und Der Dorfschullehrer - Zwei Erzählungen

Frantz Kafka est un écrivain Praguois. Il est considéré, à juste titre comme un maître incontesté de la littérature fantastique et de l'horreur du XXe siècle, pour ne pas dire l'un des pères de ce style littéraire sous forme de nouvelles.

Lettre au Père, est une ouvre très personnelle écrite par Kafka, expliquant la relation et tous les nons dit entre l'auteur et son père. Cette ouvre nous donne les clés de la compréhension de toute l'ouvre de Kafka, car on y trouve ici toutes les explications, sur la psychologie de l'auteur.

Cette ouvre publiée à titre posthume est une perle à découvrir.

Chacun porte une chambre en soi

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