En plein pays de Caux, non loin de l'embouchure de la Seine, le manoir delabre de La Barre-y-va est le theatre d'evenements mysterieux et terribles. Catherine Montessieux, la jeune fille qui en est l'heritiere, ne retrouve plus a leur place ses arbres favoris. Une vieille a demi folle l'avertit d'un peril qu'elle ne peut preciser.Un assassinat est perpetre devant temoins au milieu du parc... Appele au secours, Arsene Lupin - ici Raoul d'Avenac - quitte aussitot sa luxueuse garconniere parisienne.Une vieille connaissance l'attend la-bas: le brigadier Bechoux, celui de "La Demeure mysterieuse" et de "L'Agence Barnett et C""ie".""Et, pour un seul regard de la ravissante Catherine, l'aventurier devenu detective va entreprendre de resoudre la plus inextricable des enigmes..."

La Barre-y-va

Sorti en novembre 2011, le premier volume des Aventures extraordinaires d'Arsène Lupin, composé des 20 premières histoires publiées dans le magazine Je Sais Tout à partir de 1905, a rencontré un immense succès. Les médias, unanimes, ont salué une publication exceptionnelle (Le Monde, L'Express, Le Point, Le Nouvel Obs, Le Figaro Magazine.), soulignant - s'il en est besoin - l'incroyable popularité du héros crée par Maurice Leblanc. 
Pour la première fois depuis un siècle, tous les lupinophiles et le grand public vont pouvoir découvrir dans ce 2nd opus l'Aiguille creuse, le chef-d'oeuvre incontesté de Maurice Leblanc, tel qu'il fut publié à partir de 1908, en feuilleton avec ses illustrations au trait. Ce classique de la littérature policière (et de la littérature tout court !) est complété par six autres nouvelles dites Confidences, merveilles d'histoires courtes dans lesquelles Arsène Lupin met ses talents de cambrioleur au service de la vérité.

Les aventures extraodinaires d'Arsène Lupin Tome 2 ; l'aiguille creuse et autres histoires

Arsène Lupin, La Demoiselle aux yeux verts

Maurice Leblanc
Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire. 
Ce titre est le 14e volume de la collection intégrale des aventures d'Arsène Lupin en 24 volumes (il existe également l'intégrale en un seul volume). 

Arsène Lupin, La Demoiselle aux yeux verts est un roman complet.
Retrouvez l'ensemble de nos collections sur http://www.culturecommune.com/
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Arsène Lupin, La Demoiselle aux yeux verts

Après Herlock Sholmès, le détective anglais, Isidore Beautrelet, élève de rhétorique au lycée Janson-de-Sailly, se mesure à Arsène Lupin. Il met au jour ses procédés et le démasque. Le gentleman cambrioleur a trouvé son maître en la personne de ce jeune homme et éprouve une grande admiration pour son intelligence fine et sa ténacité. Une personnalité qui fait penser à celle du reporter Tintin. L'énigme de l'aiguille creuse nous fait remonter le temps. On y découvre aussi Arsène Lupin sous un autre jour, prêt à raccrocher, à troquer par amour sa vie de gentleman cambrioleur pour celle de gentleman farmer. Sans nul doute, le roman de Maurice Leblanc le plus connu.

L'aiguille creuse

La nouvelle « The bridge that broke » fait partie du cycle de nouvelles « l'Agence Barnett et Cie », mais curieusement, elle n'a pas été publiée en français par Maurice Leblanc. Seule une version anglaise fut publiée à l'époque, et l'original en français, s'il a jamais existé, semble perdu. Les personnages principaux, Lupin, sous son identité de Jim Barnett, et le brigadier Béchoux enquêtent sur un crime dont la police croit à tort connaître l'auteur, jusqu'à ce que Barnett résolve brillamment l'énigme...et en tire profit, comme toujours au grand dam de Béchoux. Louis Gendebien, par ailleurs auteur du roman « Arsène Lupin et le secret des Lys » reconstitue en français cette nouvelle perdue en s'attachant à respecter le style raffiné de Maurice Leblanc.

Le pont écroulé

Comment Mme Darzas, une jeune et élégante femme, pourrait-elle porter cette vieille robe d'écailles roses, démodée, pour le bal des Créhange?! C'est catégorique: elle doit la vendre et se vêtir autrement.

Mr. Darzas travaille dur pour sa femme. Il finit ses journées sur les rotules, mais il ferait tout pour la rendre heureuse. Aussi, quand Mme Darzas lui demande 2000 francs pour acheter une nouvelle tunique toute brodée, il acquiesce sans hésiter.

Qu'elle est splendide, au bal avec ses perles, son éventail, ses souliers et ses gants assortis à sa tunique! Que son mari est épuisé d'avoir tant travaillé, mais si heureux de la voir sourire ainsi!

Mais bientôt, plus personne ne regarde Mme Darzas. Tous sont captivés par la princesse Dougloff et sa robe d'écailles roses...

« La Robe d'écailles Roses », première nouvelle du recueil du même nom, donne le ton aux onze nouvelles qui mêlent mondanités, jeunes femmes, gentlemen et sentiments amoureux. Malgré les rythmes variés des récits, l'atmosphère de la Belle Epoque ne pourra que charmer les amateurs « d'aventures sentimentales et tragiques » - et les fans d'Arsène Lupin, le gentleman-cambrioleur.

Maurice Leblanc (1864-1941) est l'auteur de nombreux romans policiers, mais il est surtout le père du fameux Arsène Lupin. Né d'une famille de négociant, il fuit en Ecosse durant la guerre franco-allemande, puis revient étudier à Rouen. Déjà, il fréquente Gustave Flaubert et Guy de Maupassant. Il refuse de faire le travail imposé par son père dans une fabrique de cadres, et s'oriente vers le métier d'écrivain. Avec ses romans-feuilletons (« Une femme », en 1893) il attise la curiosité de quelques auteurs célèbres, dont Alphonse Daudet. Mais c'est lorsqu'il publie en 1905 « L'Arrestation d'Arsène Lupin », sur le modèle de Sherlock Holmes, qu'il connaît un succès retentissant. Il continue sur sa lancée avec « Arsène Lupin contre Herlock Sholmès » qui provoque la colère de Conan Doyle. Il renforce son personnage Arsène Lupin au fil de sa carrière, et aujourd'hui encore, on ne cesse d'apprécier ce gentleman-cambrioleur en livre, en film ou en série.

La Robe d'Écailles Roses

Raymonde horchte auf. Wieder und wieder war das Geräusch zu hören, deutlich genug, um es von den vielen schwachen Geräuschen zu unterscheiden, die den Hintergrund für die nächtliche Ruhe bildeten, aber so leise, daß sie nicht sagen konnte, ob es nah oder fern war, ob es innerhalb der Mauern des großen Schlosses oder draußen im dunklen Unterholz des Parks entstand.

Langsam erhob sie sich. Das Fenster war halb geöffnet; sie schob die Flügel auseinander. Das Mondlicht schien auf die ruhigen Wiesen und Haine, in denen sich die verstreuten Ruinen der alten Abtei als tragische Silhouetten abzeichneten: abgebrochene Säulen, unvollständige Spitzböge, Ansätze von Säulengängen und Reste von Strebebögen. Ein leiser Wind strich über die Oberflächen der Dinge, glitt durch die kahlen, reglosen Zweige der Bäume, bewegte aber die kleinen, aufkeimenden Blätter der Beete.

Plötzlich wieder das gleiche Geräusch. Es war zu ihrer Linken und unterhalb des Stockwerks, in dem sie wohnte, also in den Salons, die den Westflügel des Schlosses einnahmen.

Obwohl sie tapfer und stark war, spürte die junge Frau die Beklemmung der Angst. Sie zog ihren Hausmantel an und griff nach den Streichhölzern.

"Raymonde ... Raymonde ..."

Eine schwache Stimme wie ein Atemzug rief sie aus dem Nachbarzimmer, dessen Tür offen stand. Sie tastete sich dorthin, als ihre Cousine Suzanne ihr aus diesem Zimmer entgegenkam und ihr in die Arme fiel.

"Raymonde ... bist du es? ... Hast du es gehört?"

"Ja ... kannst du nicht schlafen?"

"Ich nehme an, es war der Hund, der mich geweckt hat ... schon lange ... Aber er bellt nicht mehr. Wie spät mag es sein?"

"Ungefähr vier Uhr."

"Horch ... jemand läuft durch den Salon."

"Es besteht keine Gefahr, dein Vater ist da, Suzanne."

"Aber es besteht Gefahr für ihn. Er schläft neben dem kleinen Salon."

"Herr Daval ist auch da ..."

"Am anderen Ende des Schlosses ... Wie soll er es hören?"

Sie zögerten und wußten nicht, wozu sie sich entschließen sollten. Sollen sie schreien? Um Hilfe rufen? Sie wagten es nicht, denn schon der Klang ihrer eigenen Stimmen erschien ihnen furchterregend. Suzanne, die ans Fenster getreten war, unterdrückte einen Schrei.

"Schau ... ein Mann am Bassin."

Tatsächlich entfernte sich ein Mann mit schnellen Schritten. Er trug einen ziemlich großen Gegenstand unter dem Arm, den sie nicht erkennen konnten, und der an seinem Bein baumelte und seinen Gang behinderte. Sie sahen ihn an der alten Kapelle vorbeigehen und auf eine kleine Tür in der Wand ...

Die hohle Nadel oder Der Schatz der Könige von Frankreich - Arsène Lupin - Band 3

Intégrale des aventures d'Arsène Lupin.

Les aventures extraordinaires d'Arsène Lupin : Coffret 3 volumes

... À quarante ou cinquante mètres de cette arche imposante qu'on appelle la Porte d'Aval et qui s'élance du haut de la falaise, ainsi que la branche colossale d'un arbre, pour prendre racine dans les rocs sous-marins, s'érige un cône calcaire démesuré, et ce cône n'est qu'un bonnet d'écorce pointu posé sur du vide !
Révélation prodigieuse ! Après Lupin, voilà que Beautrelet découvrait le mot de la grande énigme, qui a plané sur plus de vingt siècles ! Mot d'une importance suprême pour celui qui le possédait jadis, aux lointaines époques où des hordes de barbares parcouraient le vieux monde ! Mot magique qui ouvre l'antre cyclopéen à des tribus entières fuyant devant l'ennemi ! Mot mystérieux qui garde la porte de l'asile le plus inviolable ! Mot prestigieux qui donne le pouvoir et assure la prépondérance !

La Barre-y-va

Résumé

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