![MEI N° 50](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fs3.eu-west-3.amazonaws.com%2Fstatic.jardin-des-citations.com%2Feditions%2Fimages%2Fmei-n-50-francoise-albertini-alexandre-eyries-VktkfrC2dzTukfX4YlZEvK8G9ywHvKR2.jpg&w=3840&q=100)
MEI N° 50
Publié par L'Harmattan, le 01 mai 2011
260 pages
Ce livre s'intéresse à l'épiphanie du traduire (et plus exactement du traduire biblique) dans la vie et dans l'oeuvre d'Henri Meschonnic. Il s'attache à montrer les nombreuses implications éthiques et relationnelles de toute traduction de la Bible dans une perspective non pas confessionnelle mais discursive, rythmique, poétique. Dans les traductions d'Henri Meschonnic s'opère un glissement entre la langue et le discours qui rend désuètes les anciennes catégorisations des traducteurs répartis entre sourciers et ciblistes. La traduction, en tant qu'activité spécifique, est porteuse d'une théorie du langage et développe des interactions fécondes et multiples avec l'art (en l'occurrence la poésie) et le politique. Le présent ouvrage analyse les traductions meschonniciennes de la Bible à l'aune d'une pensée du rythme qui occupe une place centrale dans cette oeuvre et qui permet d'articuler la pensée (et la pratique) du traduire avec une réflexion sur le langage et la pratique de l'écriture poétique. Il s'agit de fonder, par le traduire, une éthique en actes du langage et de mettre en crise les lieux communs afférents au langage, au traduire et à la Bible.
MEI N° 50
Des écrans plein la vue...
La communication politique ou le mentir vrai ?
Communication poli-tweet
Lectures critiques en communication : Culture, technologies, société
La communication politique ou le mentir vrai ?
MEI N° 50
Des écrans plein la vue... - Les jeunes à l'épreuve de la cyberaddiction
Vous avez lu ce livre ? Dites à la communauté Lenndi ce que vous en avez pensé 😎