Tunisie. - Carrefour des civilisations

Naissance de la poésie dans l'occident chériten

Entre les invasions germaniques du Ve siècle et arabes du VIIIe, la péninsule ibérique a su créer au VIIe siècle une brillante civilisation " hispano-wisigothique ". Celle-ci s'est exprimée dans une littérature et un art singuliers, encore antiques et déjà médiévaux, adaptés aux besoins d'une société hispanique nouvelle. Le représentant le plus éminent de cette culture est Isidore, archevêque dé Séville (560?-636), dont le rayonnement s'est prolongé sur tout l'Occident du haut Moyen Age. Le présent livre trace d'abord les coordonnées d'espace et du temps des civilisations de l'Espagne méridionale (la " Bétique " des Romains) des origines au VIe siècle. Puis il reconstitue la biographie d'Isidore -qui n'a guère de sources directes-. Il dégage ensuite l'originalité de ses différentes oeuvres, regroupées par thèmes. Il analyse enfin les catégories et les valeurs d'une pensée plus cohérente et plus personnelle qu'on ne l'avait trop longtemps cru. On trouvera ici la synthèse d'un demi-siècle de recherches, dans le premier ouvrage d'ensemble, en langue française, sur Isidore de Séville et son temps.

Isidore de Séville

L'inflammation chronique de l'organisme est un dérèglement du système immunitaire qui reste en alerte permanente, nous informant de façon justifiée ou non que nous sommes attaqués. Ce processus ouvre la voie à pratiquement toutes les maladies de civilisation comme le diabète, la maladie d'Alzheimer, le cancer ou dépression.

Ce livre vous propose de mieux cerner ce phénomène complexe.

Agir de façon simple en adoptant des comportements proche de ceux dont la nature nous a doté, permet de diminuer ou de stopper l'inflammation, comme l'utilisation d'aliments spécifiques, de plantes médicinales et d'huiles essentielles.

Inflammation chronique de l'organisme, la comprendre et la gérer

Longtemps considérés comme symboles de la modernité et de la dynamique socio-urbaine, les quartiers d'habitat social construits dans les années cinquante à soixante-dix sont devenus des territoires-problèmes. Pénalisés par leurs difficultés et parfois même par les solutions imaginées pour les résoudre, ils se débattent dans des contradictions qui cristallisent celles du temps et du monde. Ici les rapports à la mixité, à l'identité, à la proximité, se posent en des termes que notre société n'a pas su décoder, faute d'y avoir authentiquement recherché du sens. Vertu de l'approche spatiale et de l'échelle régionale, le travail présenté dans l'ouvrage apparaît plus systématique et plus transversal que bon nombre d'études produites sur le sujet. Du chiffre à l'image et de l'image à la structure, il est cheminement géographique à travers populations, logements et équipements. Entre les deux écueils que sont la généralisation abusive des situations et l'accumulation des études de cas, les auteurs ont opté pour la voie de la typologie, conçue comme un outil au service du diagnostic. La statistique multivariée, le graphique et la carte permettent de traquer la diversité des quarante-sept quartiers d'habitat social francs-comtois et d'en dresser l'état de référence pour les années quatre-vingt-dix.

Des quartiers et des hommes : Contribution à une analyse des quartiers d'habiat social en Franche-Comté

Etymologiae - Tome 9, Les langues et les groupes sociaux

Si thérapie signifie guérir d?une maladie mentale patentée, alors, la Franc-maçonnerie ne paraît guère propice à ce changement. Mais si, au sens large, thérapie a le sens de vivre mieux dans sa tête, alors, oui, la maçonnerie peut être, pour certains d?entre nous, une aide précieuse. A tout le moins, apporte-t-elle à la majorité des initiés(es), apaisement et joie. C?est pourquoi, en un sens, la Franc-maçonnerie peut être une thérapie et une libération de quelques chaînes, et d?amour pour l?autre et le genre humain. C?est ce que tente de nous démontrer Jacques Fontaine dans cet ouvrage.

La maçonnerie est-elle une thérapie ?

Dans la lignée de L’éveil et de L’essor, Jacques Fontaine dévoile dans L’élan, la structure profonde qui anime la quête spirituelle, du Chevalier d’Orient (15e degré) au Prince du Liban (22e degré) et qui s’épanouit au centre, avec le Chevalier Rose+Croix (18e degré). Car si ce dernier est un pic initiatique, il n’est pas, au REAA, un aboutissement comme on le dit usuellement mais un sommet spirituel. Fidèle à sa démarche résolument nouvelle, Jacques Fontaine propose d’expliquer pourquoi le rite maçonnique est, dans sa nature intime, un guide vers la sagesse. Il s’appuie, en alternance et complémentarité, sur les données traditionnelles, et sur les leçons des modernes psychanalyse et psychologie des profondeurs. Ainsi, au-delà des anecdotes bibliques, au-delà des prescriptions morales, au-delà même des croyances religieuses, l’auteur s’attache à dévoiler la dynamique interne qui, du 15e au 22e degré, fait progresser l’initié, de remises en cause en repos, de ruptures en lumière. Onze chapitres invitent le lecteur à découvrir ce cheminement, de l’architecture secrète au jaillissement inévitable de l’Amour, enflammé par l’Espérance. Comme dans ses précédents ouvrages, Jacques Fontaine, tout en donnant à son propos une densité évidente, s’attache à employer des mots simples, dans un style direct. L’élan s’adresse, au-delà des Francs-Maçons, à tous les cherchants et aux passionnés de sciences humaines. Il délivre un message fort : la voie maçonnique n’est-elle pas, pour nos contemporains, cette sagesse singulière qui convertit le développement spirituel en actions dans la cité des hommes ?

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