Confusion, also known under the literal translation Confusion of Feelings, and as Episode in the Early Life of Privy Councillor D. is a 1927 novella by the Austrian writer Stefan Zweig. It tells the story of a student and his friendship with a professor

La Confusion des sentiments; et Le Joueur d'échecs

Souvenirs et rencontres

Während des spanischen Befreiungskriegs gegen Napoleon im Jahr 1810 fällt ein französischer Offizier in Ohnmacht. Als er wieder zu sich kommt, sind seine Truppen abgezogen und er muss sich alleine durch das ihm feindliche gesonnene Land durchschlagen...

Das Kreuz

Un amour passionnel et absolu, désintéressé et sans partage, secret et si pur qu'il touche au sublime. La voix d'une femme qui se meurt doucement, tout entière tournée vers l'homme qu'elle a aimé toute sa vie et qui l'a jamais vraiment "vue", jamais vraiment regardée... Avec Lettre d'une inconnue, Stefan Zweig explore le sentiment amoureux et ses ravages, et nous offre un cri déchirant une profonde humanité.

Lettre d'une inconnue (Edition Monsieur Christian Lacroix)

Episode am Genfer See ist eine Novelle von Stefan Zweig aus dem Jahr 1927. Der Erste Weltkrieg wird thematisiert. Sehnsucht nach der Heimat treibt einen Fahnenflüchtigen heimwärts. Der kleine Text hatte ursprünglich den Titel "Der Flüchtling".

Im Sommer 1918 wird der völlig erschöpfte junge russische Soldat Boris in der Nähe von Villeneuve aus dem See gezogen. Er hatte erst in Russland und dann in einer russischen Division an der Front in Frankreich gegen die Deutschen gekämpft. Zu Beginn der Kämpfe hatte ihn eine Kugel ins Bein getroffen. Genesend war er seinem Pfleger entwischt. Der Marsch zur Frau und zu den drei Kindern in die Nähe des Baikal war in der Westschweiz zunächst nach kräftezehrendem Schwimmen ums Leben unterbrochen worden...

Episode am Genfer See

Édition enrichie de Jean-Pierre Lefebvre comportant une préface et un dossier sur le roman.

Un médecin colonial, qui se morfond dans un village de Malaisie, se prend de passion pour une femme de la bourgeoisie, hautaine et froide, venue lui demander de l'aider à avorter. Il la désire et la rejette, violemment. Il la fait chanter... Cette rencontre déclenche en lui une fureur destructrice : l'amok. 

Dans cette nouvelle parue en 1922, Zweig exhibe toutes les pulsions d'ordinaire refoulées - passion morbide, masochisme, égoïsme et orgueil - en parlant de sexualité de manière étonnamment clinique. Il dénonce ainsi le malaise dans la société occidentale, le moralisme qui asservit les hommes comme les femmes.

Amok

Der Stern über dem Walde ist eine sehr kurze Erzählung des österreichischen Autors Stefan Zweig, erschienen 1904. Die Hauptperson der Erzählung ist der im Rivierahotel arbeitende Kellner François. Beim Bedienen der Gräfin Ostrowska wird er innerlich verzaubert und spürt tiefe Verehrung für ihre Person. Mit einer treuen, begehrungslosen Liebe dient er ihr unbemerkt und saugt jeden ihrer Befehle auf um in ihrer Nähe zu sein...

Der Stern über dem Walde

«Chaque jour nous constatons encore que, dans le jeu ambigu et souvent criminel de la politique, auquel les peuples confient toujours avec crédulité leurs enfants et leur avenir, ce ne sont pas des hommes aux idées larges et morales, aux convictions inébranlables qui l'emportent, mais ces joueurs professionnels que nous appelons diplomates, - ces artistes aux mains prestes, aux mots vides et aux nerfs glacés. Si donc, réellement, comme le disait déjà Napoléon, la politique est devenue « la fatalité moderne », nous voudrions essayer, pour nous défendre, de découvrir les hommes qu'on trouve derrière cette puissance et ainsi le redoutable secret de leur pouvoir. Je présente donc l'histoire de Joseph Fouché comme une utile et très actuelle contribution à la psychologie de l'homme politique.» - Stefan Zweig

Fouché

Dans cette évocation biographique et personnelle de la figure et de l'ouvre de Dostoïevski, Stefan Zweig dresse le portrait de celui qui fut pour lui l'un des trois maîtres du XIXe siècle, avec Balzac et Dickens, que plus que nul autre il a aimé et médité. A travers ses propres impressions, il éclaire ce que la lecture de Dostoïevski provoque au plus profond de chacun.« Dostoïevski semble s'ouvrir les veines pour peindre avec son propre sang le portrait de l'homme futur. Personne n'a eu de l'homme une connaissance plus approfondie que lui ; il a pénétré le mystère de l'âme plus profondément que nul autre avant lui. »Traduction intégrale d'Henri Bloch, 1928. EXTRAITSon visage fait penser à celui d'un paysan. Les joues creuses, terreuses, presque sales sont plissées, ridées par de longues souffrances. Sa peau est desséchée, fendillée, décolorée, privée de son sang par vingt ans de maladie. De part et d'autre, deux blocs de pierre, saillants?: les pommettes slaves encadrent une bouche dure?; le menton à l'arête vive est recouvert d'une barbe en broussaille. La terre, le roc, la forêt, un paysage primitif et tragique, tel nous apparaît le visage de Dostoïevski. Tout est sombre, près du sol, sans beauté, dans cette face de paysan, presque de mendiant?: plat, terne, sans couleur, une parcelle de la steppe russe projetée sur de la pierre. Même les yeux enfoncés dans leurs orbites sont impuissants à éclairer cette glaise friable, car leur flamme ne jaillit pas vers l'extérieur, pour nous éclairer et nous aveugler?; ils s'enfoncent pour ainsi dire vers l'intérieur, ils brûlent le sang de leur regard acéré. Dès qu'ils se ferment, la mort s'abat sur ce visage?: à la tension nerveuse qui maintenait ses traits flous succède une léthargie.

La Confusion des sentiments; et Le Joueur d'échecs

Résumé

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