Ecrits sur l'art

Excerpt from Hermann Et Doroth�e: Traduction Fran�aiseA la fin du mois d'avril l797, il écrivait à Meyer, son ami: J'ai terminé Hermann et Dorothée, et le sujet me parait si heureux, que je pense qu'on en trouve ra rement nu pareil deux fois en sa vie. Ce qu'on trouve plus rarement encore, c'est le génie capable de tirer une telle oeuvre d'un tel sujet. Car ici Goethe doit tout à lui méme; l'esprit qui anime son ouvrage, qui le rend si original n'appartient qu'à lui seul, eût - il trouvé ailleurs certains détails, quelques traits touchants dont il a orné son livre.About the PublisherForgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at www.forgottenbooks.comThis book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully; any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works.

Hermann et Dorothée

Textes choisis ; l'âme du monde

Cet ouvrage révèle, de la façon la plus passionnante et la plus exhaustive, les liens extrêmement romantiques d’un peintre et d’un mythe, d’un mythe et d’une œuvre, d’une œuvre et d’une époque : Faust, Goethe, Delacroix et le XIXe siècle. L’histoire de Faust : une nuit, Faust, homme au savoir livresque immense, souffre de ne pas comprendre les mystères de la nature, de la création, de l’univers tout entier. Apparaît alors Méphistophélès, le Diable lui-même, qui propose à Faust, en échange de son âme, de devenir son serviteur, de l’initier à ces mystères qu’il désire tant approcher.  C’est alors que commence l’errance physique et morale des deux personnages dans le royaume des ténèbres jusqu’à la rencontre avec Marguerite dont Faust tombe éperdument amoureux. Il la séduit et la conduit à sa perte. Un des plus grands mythes littéraires : né au Moyen Age sous forme de conte populaire, le mythe de Faust a conservé intact au fil des siècles sa puissance, son étrangeté, son mystère. Il représente le plus grand mythe que l’Allemagne ait produit : Faust et Méphisto qui ne font qu’un, dont une partie voudrait la connaissance et la sagesse, l’autre la négation, le mal, le néant. C’est en 1788 que Goethe immortalise la légende à travers un texte tout aussi somptueux que désespéré. Un chef-d’œuvre dont Delacroix s’est inspiré avec passion : le thème de Faust accompagna Delacroix à travers toute son œuvre. Tout commence en 1829 lorsque le peintre, âgé de 28 ans, accepte la proposition de l’éditeur Charles Motte « de lui sacrifier quelques instants pour arranger une affaire diabolique avec Faust ». Dix-huit lithographies naissent alors pour accompagner le premier Faust dans la traduction d’Albert Stapfer. A la grande déception de Delacroix, elles ne seront pas groupées sous forme d’album mais réparties dans le texte là où l’action l’exige. Le vœu de Delacroix est aujourd’hui exaucé : ces dix-huit lithographies sont présentées les unes à la suite des autres en ouverture de l’ouvrage, chacune étant éclairée d’un passage clé de Faust restituant pleinement au lecteur l’émotion qui se dégage des deux œuvres.  Traitées en deux couleurs - noir et gris - pour rendre très justement les détails et les contrastes, ces œuvres révèlent le véritable drame en images construit par Delacroix. L’originalité de son interprétation de l’œuvre devient saisissante : c’est Méphistophélès le héros et non Faust. Goethe lui-même est conquis : « Monsieur Delacroix a surpassé ma propre vision ». Une fascination de l’artiste pour le mythe de Faust tout au long de sa vie : dispersées dans divers pays d’Europe et aux Etats-Unis, toutes les œuvres de Delacroix sur ce thème sont réunies dans cette édition : 60 dessins, croquis, esquisses, aquarelles et premiers états avec des dessins en marge, tout en couleurs, accompagnent l’œuvre de Goethe.  Ils sont placés en regard du texte dans un enchaînement d’images puissantes et émouvantes et révèlent le génie du plus grand peintre romantique, fasciné tout au long de sa vie par le mythe faustien.

Faust

" Roman de l'esprit européen " pour Thomas Mann, génial pressentiment de ce qui, plus de cent vingt ans plus tard, fut écrit au titre de la " crise des sciences européennes ", la Théorie des couleurs de Goethe se tient au carrefour d'une histoire des sciences et d'une histoire de l'humanité européenne.
Publiée en 1810, elle se présente en trois grandes parties : une " partie didactique ", une " partie polémique " et une " partie historique ". Cette dernière, les " Matériaux pour l'histoire de la théorie des couleurs " est traduite ici intégralement pour la première fois en français. Véritable monument de documentation sur les couleurs et le visible, chez les Anciens - grecs et latins - et les Modernes, ce texte donne leur base et leur développement historique aux analyses fondamentales de ce que Goethe a appelé sa " chromatique ".
Rompant explicitement avec les travaux de Newton, celle-ci situe l'investigation goethéenne en dehors de la physique mathématique et fait retour au " phénomène ", c'est-à-dire au champ de la perception et à son horizon historique. Dans ce double champ se jouent les moments cruciaux du " monde de la vie ", de la Bildung des hommes et des arts visuels, au premier rang desquels la peinture.

Matériaux pour l'histoire de la théorie des couleurs

Goethe var overtydd om at alle fenomen i den levande naturen var knytte til kvarandre, og karakteristisk for denne romanen, som for fleire av verka til Goethe, er blandinga av litteratur med naturvitskaplege tema. Valskyldskapane skildrar ein kollisjon mellom moral- og naturlovene. Utgangspunktet for romanen var teorien til den svenske kjemikaren Torbern Olof Bergman, som skildrar korleis to og to kjemiske bindingar vert løyste opp og så smeltar saman på tvers av elementa. Goethe overfører dette fenomenet, som vart kalla «valskyldskap», til dei fire hovudfigurane i romanen, to kvinner og to menn. Dette grunnkonseptet er basert på at naturkreftene som også kan tolkast som kjensler og lengt, overstyrer fornufta, moralen og dei tronge, tradisjonelle rammene i samfunnet. Goethe såg sjølv på Valskyldskapane som eit av sine mest vellykka verk. Med romanen skreiv den elles så positivt innstilte bestseljarforfattaren sin einaste eigentlege tragedie. Han brukte element frå den greske tragedien, kombinert med element frå romantikken, som han sjølv var ein uttalt motstandar av, og enkelte har lese verket som ein parodi på romantikken. - Det er ikkje ei einaste linje i Valskyldskapane eg ikkje kunne ha opplevd sjølv, sa forfattaren nokre år før sin død, og overlét tolkinga av i kva grad det er Goethe sjølv vi møter i boka, til lesaren.

Les Affinités électives

Unterhaltungen deutscher Ausgewanderten: Eine am linken Rheinufer ansässige deutsche Adelsfamilie, die der Einfall des französischen Revolutionsheeres zur Flucht zwang, unterhält sich auf ihrem rechtsrheinischen Gut, nach dem Vorbild Boccaccios (Decamerone, 1353), um sich von den umwälzenden Weltbegebenheiten (Erster Koalitionskrieg, 1792-1797; Belagerung von Mainz, 1793) abzulenken und auftauchende Kontroversen sowie Schwächen an Selbstzucht, Bildung und Gesinnung zu bewältigen: Zwei Schauergeschichten, zwei erotische Anekdoten (falsch verstandene Freiheit; Entsagung), zwei moralische Erzählungen (pädagogische Tendenz; höherer Begriff von Freiheit), mündend zuletzt in ein phantastisch-symbolisch-allegorisches Märchen, Bilder, Ideen und Begriffe ineinander webend, idealisch vorscheinend, gegenseitige Hilfe und Selbstaufopferung, Schönheit und Liebe vereinigt.

Wilhelm Meisters Wanderjahre: »Grundstein der neuen Dichtung, des neuen Romans« (Hermann Broch, 1936)! Ein notwendig fragmentarisches, rückblickendes und vorausschauendes Bild von Goethes Zeit, Gesellschaft, Kultur, Politik, Wirtschaft und des Geistes. Der 1807-1810 begonnene, 1820-1821 wiederaufgenommene, 1825-1829 neugefasste »Roman« , komplexes »Kollektivum und Aggregat« , sprengt sämtliche Regeln der Gattung, enthält Novellen (Die neue Melusine, Der Mann von 50 Jahren), Gedichte, Aphorismen, Briefe, Tagebuchseiten, Fachabhandlungen, Archivblätter sowie lose damit verknüpft die weitere Lebensgeschichte des Protagonisten. Wilhelm Meister darf nun, gemäß Auflagen der Gesellschaft vom Turm (Orden der Entsagung), nicht länger als drei Tage unter einem Dach verweilen, und kein Dritter soll ein beständiger Begleiter werden auf seiner Wanderschaft zur Erweiterung von Lebenserfahrung und Weltsicht, um Entsagung zu lernen, weil notwendig für jedes soziale Glied einer humanen Weltbevölkerung. [Joerg K. Sommermeyer]

Johann Wolfgang von Goethes Prosa. Ausgewählte Werke III - Unterhaltungen deutscher Ausgewanderten, Wilhelm Meisters Wanderjahre

Le Tome 4 regroupe les oeuvres théâtrales : Iphigénie en Tauride ; Elpénor ; La Gageure ; Faust.

Oeuvres complètes - Tome 4, Théâtre

Der junge Werther durchläuft eine Phase intensiver Emotionalität. In zahlreichen Briefen berichtet er seinem Freund Wilhelm, was ihn bewegt. »Die Leiden des jungen Werther« von 1774 besteht aus den gesammelten Briefen Werthers aus einem Zeitraum von sieben Monaten. Im ersten Teil des Romans werden die Briefe unkommentiert widergegeben, gegen Ende des Romans werden sie von Goethe ergänzt und erläutert. 

Werther erlebt Begeisterung, Verzweiflung, Hoffnung, Liebe, Hass und Eifersucht. Die Selbstzeugnisse zeigen einen sensiblen, intelligenten und romantischen Menschen, der stark von seiner aktuellen Lektüre geprägt wird, unter anderem von Homer und Klopstock. Indem Werther den Adressaten der Briefe immer wieder persönlich anspricht, wird der Leser gleichsam zum Vertrauten Werthers. 

Werther empfindet das bürgerliche Milieu seiner Umgebung als einengend. Konkrete Aktivitäten mit dem Ziel, sich persönliche Freiräume zu verschaffen, entwickelt er jedoch nicht. Er bleibt ein passiv Leidender, was seine emotionale Situation weiter verschlimmert. 

Seine Lebenskrise spitzt sich weiter zu, als er sich in Lotte verliebt. Er nähert sich ihr, obwohl er weiß, dass sie schon verlobt ist. Lotte hält ihn auf Abstand. Werther erlebt eine Achterbahn der Gefühle zwischen Liebe, Hass, Hoffnung, und Eifersucht. Nichts bleibt unversucht, um das Blatt noch zu seinen Gunsten zu wenden.

Ecrits sur l'art

Plus de livres de Johann Wolfgang von Goethe

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques