... Je ne dois me justifier auprès de personne, moi... J'ai eu peur de mourir et je me suis échappé... Et je m'échapperai toutes les fois que je le voudrai... Allez tous en enfer !...1918, Afrique orientale. Corto Maltese s'allie à Crush, le guerrier danakil, pour traverser cette région où puissances coloniales et croyances indigènes s'affrontent dans un combat sans merci.

Les Éthiopiques (Corto Maltese noir et blanc, #5)

À Malte, nous avons un tas de vieux fantômes de templiers, de diables siciliens et de fées sarrasines... Mais ici dans les Caraïbes, les diables n'existent pas...Amérique centrale, 1917. Corto Maltese navigue en eaux troubles : une révolution dans une république bananière, un procès pour sorcellerie sur une île perdue, et même des esclavagistes, croisés au fond de la jungle péruvienne.

Toujours un peu plus loin (Corto Maltese noir et blanc, #3)

Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde. Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs.Gilbert Jacques

Corto Maltese: La ballade de la mer salée

Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. --Gilbert Jacques

Corto Maltese en Sibérie

Aventurier élégant et ironique, Corto Maltese - amoureux de sa liberté et des femmes - traverse le monde, toujours en quête d'un trésor caché, d'un ami à sauver... ou d'une cause perdue à défendre. 

Buenos Aires, 1923. C'est la vengeance qui ramène Corto Maltese en Argentine, où une de ses amies a été assassinée. Il compte bien découvrir les responsables, et quel que soit leur importance dans la mafia locale, les punir à sa manière...

Corto Maltese en noir et blanc Tome 10

Un voyage dans les îles du Pacifique, le livre-testament d'un des plus grands noms de la bande dessinée.
J'avais un rendez-vous est un ensemble de textes et de dessins réalisés par Hugo Pratt pour raconter son dernier voyage dans le Pacifique, en 1992.

Ce livre est un retour aux racines, aux origines de l'imaginaire qui a nourri le créateur de Corto Maltese. D'île en île, Pratt nous entraîne dans ses rêves et ses souvenirs, au-devant de rendez-vous qu'il s'est donné, sur les pas de ses modèles, qu'ils soient fictifs ou réels - comme Robert Louis Stevenson et Bully Hayes.

Un texte et un cahier de photographies de Patrizia Zanotti, témoins d'un Pratt voyageur, parachèvent cette dernière oeuvre.

J'avais un rendez-vous

Luutnantti Abel Robinsonin partio jäljittää Afrikan sarvessa kapinallisjoukkoa ja sen johtajaa Mad Mullahia. Kuolemaa kylväneet kapinalliset tuntuvat häviävän aavikon kuumana väreilevään ilmaan, ja partion matka saa yhä oudompia käänteitä. Kun hiekkamyrsky nousee, luutnantti Robinson päätyy toiseen maailmaan - Eedenistä länteen...Mies ja seikkailu -sarjan albumien tapahtumat sijoittuvat eri puolille maailmaa. Sarjassa on neljä osaa.

Un homme, une aventure : L'homme de Somalie

Les Scorpions du désert

Sa mère était une ravissante gitane de Gibraltar. De son père, je ne sais pas s'il a hérité quelque chose... L'amour de la mer peut-être...

Les Éthiopiques (Corto Maltese noir et blanc, #5)

Résumé

Plus de livres de Hugo Pratt

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques