Yeto: Le palmier des neiges

Messagers de la tempête - André Breton et la Révolution de janvier 1946 en Haïti

Pour une vie meilleure - Por uma vida melhor, édition bilingue français-portugais

Dialogue au bout des vagues lève le voile sur une relation épistolaire entre Gérard Bloncourt, grand poète révolutionnaire, et d’une femme-poète, à la chute de la dictature des Duvalier en Haïti en 1986. Cet ouvrage revêt la forme d’une suite de poèmes, de chants alternés. La fraîcheur spontanée de l’écriture, la puissance des métaphores, la diversité des tons, la tourmente et passion du pays natal font entrer dans un nouveau cycle du discours amoureux. Un homme et une femme essaient de se réapproprier le pays, la dignité et les rêves volés, travers un ample chant.

Dialogue au bout des vagues

Vient de paraître chez Mémoire d’encrier Journal d’un révolutionnaire, chronique de Gérald Bloncourt. Tantôt biographie, tantôt journal, cet ouvrage montre la légitimité de toute révolte. Gérald Bloncourt est la conscience de son temps. Résistant, militant et intellectuel de gauche, il est la voix des indignés. Car, chacun doit pouvoir se mettre debout contre l’indifférence et hurler sa colère. Le mot révolutionnaire, dit Bloncourt, « exprime la volonté de changer les conditions de vie de l’humanité enlisée dans un monde cruel, injuste et violent. La révolution est nécessaire et plus que jamais ! IN DISPENS ABLE ! » Voici donc Journal d’un révolutionnaire, ce livre qui touche à la passion humaine : changer la vie. L’auteur revendique une histoire de dignité et de vérité. Une histoire de justice sociale. L’histoire de la révolution est aussi celle de Gérald Bloncourt, qui ne vit que pour le changement social. Un homme brandit la cocarde de la révolution, du rêve et de l’espoir. Ce journal est un petit manuel d’hygiène révolutionnaire. Voici ce que martèle Gérald Bloncourt dans ce journal qui est un véritable trésor pour celles et ceux qui luttent et qui veulent vivre comme vivent les humains: Apprendre à rester debout pour ne pas faillir.Ensemble, nous avons le pouvoir de changer les choses.Osons : rêvons...La révolution est nécessaire et légitime.

Journal d'un révolutionnaire

Un individu a besoin d'une glace pour reconnaître son visage. Peut-être une société comme la nôtre a-t-elle besoin d'un tel témoignage pour s'apercevoir qu'elle est défigurée ? La chirurgie esthétique, ce qu'il est convenu d'appeler l'urbanisme, peut ravaler les paupières, mais la flamme du regard n'est pas si simple à ranimer. Peut-être est-ce dans celui de ces hommes et de ces femmes, noyés dans le système productiviste international, celui de la dominance et de la foire d'empoigne généralisées, que l'on peut encore la trouver. Dépêchons-nous avant qu'elle ne s'éloigne ou qu'elle y prenne brutalement des lueurs d'incendie. Combien de temps encore peut durer ce type d'esclavage ?

La ville à prendre - Ou Une caméra dans la ville

Gérald Bloncourt reprend la chronique des événements de 1946, ces moments intenses qui ont marqué sa vie. Il y porte un regard nostalgique et tendre. Ses amis de l'époque sont devenus des personnages un peu lointains. C'est son testament pour dire encore une fois son attachement inaltérable à sa terre d'Haïti.

Un homme peau noire peau rouge, un homme de toutes les saisons

Un homme brandit la cocarde de la révolution, du rêve et de l'espoir. Ce journal est un petit manuel d'hygiène révolutionnaire. Voici ce que martèle Gérald Bloncourt dans ce journal qui est un véritable trésor pour celles et ceux qui luttent et qui veulent vivre comme vivent les humains: Apprendre à rester debout pour ne pas faillir. Ensemble, nous avons le pouvoir de changer les choses. Osons : rêvons...! La révolution est nécessaire et légitime.Gérald Bloncourt est poète, peintre, révolutionnaire, et encore. Plus de soixante ans d’exil et de combat, une vie nourrie du vertige de la révolution. Un homme au service des idées qui prônent le changement social. Gérald Bloncourt aura été de tous les combats. C’est ainsi que se résume ce livre qui dresse un parcours de révolutionnaire. Bloncourt raconte ici ce parcours, de Haïti, sa terre natale, où avec son compagnon de lutte, l’écrivain Jacques Stephen Alexis, il a commencé le dur combat pour la liberté et la dignité, jusqu’à son exil en France. Cet ouvrage est percutant et exceptionnel. Cet homme aura tout vécu. Tout vu. Et tout fait. Témoin exceptionnel de son temps, il nous livre un message pour que ne soient pas trahis les testaments.

Le 10 mai 1981 constitue une date clé dans l'histoire de la gauche française. Après seize années de pouvoir monocolore, François Mitterrand incarne le changement politique et va inscrire la gauche dans la durée. Mais il est élu sur un paradoxe : le " peuple de gauche " qui l'a porté à l'Élysée est en train de s'évanouir. Le Parti communiste s'est effondré. Les ouvriers qualifiés et les employés administratifs, ce coeur électoral des socialistes, sont en net recul, dans un contexte de crise, de désindustrialisation et de mutations économiques. La société industrielle fait place à la société de services. Le PS devient dans les années 1980 " le parti des classes moyennes ". Ce livre est un voyage mélancolique dans une société française, celle de 1972 à 1982, dont il ne reste quasiment plus de traces ni de mémoire : celle de la sidérurgie et de l'industrie automobile, celle des meetings chaleureux, des solidarités et d'une certaine manière de vivre ensemble.

Yeto: Le palmier des neiges

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