Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Les chemins de la mort

Leclerc

Koenig

- Des gens qui ont le temps de chercher l'aventure, aujourd'hui ! Pensez donc ! Rien que de la racaille infernale ! Scélérats de tous les pays, unissez-vous ! Va-de-la-gueule et traîne-savates ! Partis de chez eux parce que ça n'a pas la conscience bien propre ! Feignants et compagnie ! Je t'en ficherais, moi, des aventuriers ! Ça crache sur la société, ça se pavane à l'étranger avec des sous qu'on ne sait même pas d'où ils proviennent ! Du joli ! Un bel exemple pour la jeunesse, tiens ! A mettre au trou ! Des parasites, que c'est ! Des gens qui ont le respect de rien ! Des égoïstes forcenés qui donnent aux étrangers une belle image de notre pays ! Une honte ! Et ils fréquentent que les bons coins, bien sûr ! Amérique du Sud, Caraïbes, ciel bleu... cocotiers... vahinés... Et allez donc ! Moi qui vous parle... - Toi, tu veux que je te dise, merde !

Les chemins de la mort (2) - Seule la vie est bon marché

Un homme d'aujourd'hui, Michel Honorin lui-même, reporter (vous vous rappelez : Cinq colonnes à la une, Panorama, etc.), trente-neuf ans, dont quinze passés à courir - avec son cour et pas seulement son stylo et sa caméra - toutes les révoltes et toutes les révolutions. Et puis, tout à coup, marre de la guerre et de la révolution ; marre de jouer sous tous les cieux, et pour qui et pour quoi, les "acrobates de la mort". Alors, à cet instant de sa vie, une femme : Vanessa, splendide et dingue, tout en éclats ; et une autre : Stella, perdue, paumée, rencontrée à Lahore, retrouvée à Kaboul, tout au fond de la misère et de la drogue, puis à Paris... Honorin, Vanessa, Stella : une histoire folle, au terme de laquelle un homme tente de fixer son image, de se reconnaître. Une histoire d'aujourd'hui, pour des lecteurs d'aujourd'hui.

Les chemins de la mort

Résumé

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