Pomme, bateau, robe, loup, oiseau… Toute une ribambelle de 
mots qui se tiennent par la barbichette pour nous raconter que, 
dans les livres, on apprend à vivre libres…

Les oiseaux ont des ailes, les enfants ont des livres

La Famille Totem

Deux comptines tête-bêche : dans un sens la comptine traditionnelle et dans l'autre, la comptine détournée par un écrivain actuel.

Madame Persil : comptine traditionnelle ; Monsieur Pilpil

Pour s'exclamer ou endormir son petit frère, pour muscler sa langue ou faire son show, voici des poèmes à partager à haute voix. On peut les lire seul ou à plusieurs, au gré des suggestions faites sur chaque double page, mais on peut aussi n'en faire qu'à sa tête, à voix feutrée ou à tue-tête. Pour mieux faire résonner les mots en soi et réveiller toutes les oreilles !

Les poèmes ont des oreilles - 60 poèmes à dire comme ci ou comme ça

Cette famille n'a pas de maison. Alors, chaque soir, elle doit chercher où se loger. Mais avec leur fils, c'est chose facile. Il a beaucoup d'imagination et trouve toujours des lieux incroyables pour que tout le monde soit à l'abri : une valise de géant ! Un avion en or ! Un dragon pour fêter le Nouvel An chinois ! ... Un jour, ils atterrissent en pleine jungle, une drôle de jungle, où ils vont rencontrer un enfant, un drôle d'enfant qui, lui non plus, n'a pas de maison...

Le jour où j'ai habité dans la jungle

Au milieu du monde, poussait une forêt d'une grande importance pour la planète. Elle abritait la Lune, le Soleil et surtout l'arbre de vie. Robinson, l'enfant-grillon, était leur gardien. Les Bûchetrons, eux, ne rêvaient que de devenir riches et puissants grâce au bois de la forêt. Face à leurs ruses, à leurs outils et même à leur énorme machitraille, Robinson n'avait que son courage et son chant.

Robinson et l'arbre de vie

Librement inspiré d'un proverbe amérindien, voici un texte court en forme de ritournelle imagée qui dit le danger que courent les hommes à gaspiller les richesses naturelles. Elle dénonce la course à l'argent, qui ne permet pas de tout résoudre. Elle dit surtout que le seul espoir pour sauver la planète réside en l'homme lui-même. 
Le troisième volet d'une série d'albums largement illustrés par les collages originaux de Silvia Bonanni, avec un texte court mais quasi philosophique pour réfléchir avec légèreté aux questions du monde.

Quand nous aurons mangé la planète

Peut-être que le monde est né d'un volcan de bleu qui a recouvert la terre d'eau et que les algues ont poussé, nourrissant les premiers poissons ? Peut-être qu'un volcan rouge a émergé du noir encre de l'univers, faisant naître coquelicots et batraciens ?
Peut-être que le monde. enchaîne une suite d'hypothèses sur les origines de la vie en nous menant à questionner l'avenir de la planète.
Les peintures de Chloé Fraser jouent magnifiquement des matières et des formes. Des zooms nous font plonger au coeur d'une pupille animale pour mieux nous expédier aux tréfonds de l'univers et nous faire rejaillir dans une prairie printanière. Un premier album qui palpite de tous les mystères de la vie.

Peut-être que le monde...

La couverture le dit d'emblée, cet album va nous apaiser... Joan, collectionneur de silences, parvient à en trouver, même dans le vacarme de la cité. Le voici consolant un arbre de la cour de récréation si bruyante ou admirant une goutte après un déluge tonitruant. Autant de silences qui rejoignent aussitôt son sac à trésors ! Un jour, Joan raconte à sa famille sa plus belle découverte. Alors que la neige recouvrait la forêt, un lièvre, un cerf et un sanglier sont venus s'allonger à ses côtés. Un tout petit silence est alors apparu : l'ombre bleue d'un oiseau chaussé de flocons blancs... L'album devient ensuite de plus en plus blanc pour s'achever sur la douceur ouatée du silence enfin partagé. Les mots s'effacent, la dernière page est totalement blanche. Tout le monde peut aller se coucher...

Les oiseaux ont des ailes, les enfants ont des livres

Résumé

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Critiques

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