L'Eternaute

Où nos rescapés vont enfin pouvoir faire face à l'envahisseur Après 120 pages consacrées à la survie, nos protagonistes vont enfin découvrir quels êtres mystérieux se cachent derrière l'invasion et quelles sont leurs intentions. Le cauchemar continue « () un album superbe, qui rend enfin justice au dessin de Francisco Solano López, restituant la pureté de son trait, toutes ses nuances, ses ombres et ses flous. » Le Monde des Livres, 9 janvier 2009

L'Éternaute, vol. 2

1957. Dos autores en su plenitud artística, Héctor Germán oesterheld y Hugo Pratt, crean Ticonderoga, una nueva novela-río en la que se podría decir que toda la experiencia adquirida con el Sargento Kirk se plasma de forma corregida y perfeccionada.

Ticonderoga

Une grande aventure initiatique, dans la droite ligne du Dernier des Mohicans, et un album charnière pour Hugo Pratt. Une saga historique faite de flash-back où le narrateur, le vieux Caleb Lee, se remémore les péripéties vécues avec Ticonderoga.Premières publications en feuilleton de 1957 à 1962.Une édition collector, un classique à redécouvrir !

Une partie de cartes entre amis est brusquement interrompue: dehors ont commencé à tomber des flocons d’une neige phosphorescente mortelle. C’est le début d’un cauchemar, le prélude tragique à une invasion extraterrestre qui va apporter mort et destruction dans le monde entier. La saga de L’éternaute raconte la résistance de Buenos Aires à l’invasion extraterrestre, la destruction de la ville, la tentative des humains pour conserver leur bien-être, et la civilisation bâtie jusque-là. Cependant, L’éternaute n’est pas tout-à-fait une bande dessinée de science-fiction: elle se développe à partir du présent et se révèle page après page comme une prophétie. En partant de cette terrible chute de neige phosphorescente qui marque la première partie du récit – et ressemble à certaines descriptions de la fuite radioactive consécutive à l’incident de Tchernobil – le lecteur suit les personnages jusqu’au choix du stade de football de River Plate comme l’un des principaux lieux où l’action se déroule, avec, en mémoire, les nombreuses fois où les stades ont été utilisés comme camps de concentration, quinze ans plus tard, dans le Chili voisin.Tout au long du récit le lecteur se trouve confronté à un voyage intérieur, profond et inquiétant. Avec L’éternaute la bande dessinée a produit une œuvre particulièrement déconcertante. Elle est parvenue à anticiper le futur. Visiblement les auteurs pressentaient que quelque chose allait se produire. Ce classique de la bande dessinée argentine, devenu «culte» dans plusieurs pays, a été réalisé entre 1957 et 1959 au rythme de trois à sept planches par semaine publiées dans un hebdomadaire argentin.Le scénariste, Hector Œsterheld, disparu en 1977 pendant la dictature militaire avec ses quatre filles, comme plus de trente mille autres Argentins, a su raconter l’actualité tant à travers des revisitations du passé que dans ses préfigurations du futur, il fût éditeur et journaliste.

L'Éternaute, vol. 1

Cette édition est basée sur l'édition argentine de 1982. Cette nouvelle édition de L'Éternaute prend le titre L'Éternaute 1969 (mention qui apparaît sur les pages originales de Breccia) afin la différencier de la version dessinée par Francisco Solano López qui a été récemment éditée en français.

L'Éternaute 1969

Tout ce qui est raconté dans l'éternaute est vraiment arrivé, mais il n'est pas arrivé seulement ce qui y est raconté...

L'Eternaute, Intégrale du premier cycle

Publicada por la Editorial Jorge Álvarez en 1968, Vida del Che iba a contar, en principio, con dos historietas separadas; una dibujada por Alberto Breccia y otra por Enrique Breccia. Los guiones de Oesterheld mostraban claramente las dos facetas del Che, la del hombre (Alberto) y la del mito revolucionario (Enrique). Y lo hacía desde la propia estructura discursiva, escogiendo un narrador en tercera persona para los años formacionales que comenzaban en Rosario y se detenían en El Congo, tras pasar por la Sierra Maestra; y abrazando la primera persona para el fatal destino boliviano y su salto sin red a la eternidad. Un texto mucho más moros y cargado de detalles en la primera instancia, que dejaba paso al libre fluir de la conciencia del Che, en el último tramo. Un recurso creativo que le permitía ir metiendo al lector en la piel y las tripas de Guevara, yendo de la razón al sentimiento, del dicho al hecho. La pasión según el Che, apelando a la clásica metáfora cristiana de sacrificio personal en pos del bienestar general. O el paso del hombre al Hombre NUevo.

L'Eternaute

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