« La vie est belle malgré tout » disait la mère de Seth à son fils. C'est le titre de cette autobiographie désabusée, par un auteur nostalgique, né à la mauvaise époque et que la modernité désespère. Ayant découvert Kalo, un dessinateur des années 1950 dont le trait ressemble étrangement au sien, Seth part à sa recherche et ne découvre que 11 dessins de l'artiste...

La vie est belle malgré tout

En achetant un vieux numéro du New Yorker, Seth, illustrateur de bande dessinée, tombe par hasard sur un dessin signé Kalo, qui le fascine et le bouleverse à un point tel qu'il se met en quête d'autres numéros. Commence ainsi une véritable quête à travers les ombres et souvenirs de cet illustrateur inconnu.

La vie est belle malgre tout

Erigé en 1935 à Dominion, la ville art déco imaginée par Seth abrite un club très fermé où se côtoient les plus grands professionnels de la bande dessinée. Dessinateurs de presse, créateurs de comic strips et autres adeptes du dessin d'humour y devisent en sirotant des cocktails. Dans cet album, Seth décrit avec tendresse un monde qui est le sien : celui des dessinateurs nord américains.

La Confrérie des cartoonists du Grand Nord

" wimbledon green est un excellent comic book dans lequel se reconnaîtront tous les collectionneurs et ceux qui les aiment (parfois à contrecoeur).
 " (publishers weekly)
" wimbledon green est une fable jubilatoire à propos d'un collectionneur de comics à la morale
douteuse, qui s'amuse de l'industrie de la bande
dessinée en même temps qu'il rend hommage
aux bons vieux comic bocks d'autrefois.  c'est
plein de gags, de rires et de mystère.  manifestement, il y a là beaucoup d'amour entre les cases.  " (quill & quire)
" wimbledon green est sacrément drôle, un vrai plaisir de lecture.
 les libraires devraient en acheter quelques exemplaires supplémentaires afin
de les mettre à la disposition du public et que l'on puisse dire tout-ce-que-vous-avez-besoin-de-savoir-est-entre-vos-mains.  (the comics reporter).

Wimbledon green

Spoutnik était la revue de bande dessinée de la Pastèque. Ce collectif à publication quasi annuelle proposait de courts travaux d’auteurs québécois mais aussi d’étrangers. Véritable laboratoire, Spoutnik fut une vitrine importante de notre activité éditoriale à nos débuts.Regroupe les travaux de Seth, Olivier Douzou, Jochen Gerner, Guy Delisle, Martin Brault, Leif Tande, Sophie Casson, Jimmy Beaulieu, Jessica Abel, Ulf K. et Brian Biggs."Spoutnik est un peu au Québec ce que Bile Noire est en Suisse : une belle vitrine sur les nouvelles tendances de la BD." -Voir"Spoutnik nous offre une sorte de synthèse de toutes ces nouvelles tendances cultivées par des créateurs d’origines diverses." -Voir

Spoutnik 1: la revue de bandes dessinées (Spoutnik #1)

Fable jubilatoire à propos d'un collectionneur de comics à la morale douteuse, Wimbledon Green s'amuse de l'industrie de la bande dessinée en même temps qu'il rend hommage aux bons vieux comic books d'autrefois. C'est plein de gags, de rires et de mystère.

A classic ghost story illustrated by acclaimed cartoonist, Seth. A man is unexpectedly appointed as doctor at the local prison. But when a terrified inmate begs to be moved, the young doctor begins to question his good fortune: the cell adjacent to the frightened man has been boarded up for years - and no one will let the doctor inside.

La vie est belle malgré tout

Résumé

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