Téo le petit loup

Le président de la République part en croisière

Alors que la Révolution gronde à sa porte, Louis XVI cherche désespérément à sauver les siens en récupérant un fabuleux magot caché dans l'Aiguille creuse, à Étretat. En pure perte ? De nos jours, à Paris, Pierre Lebosc sauve une femme des griffes d'une bande de voyous. Belle et fantasque, historienne de renom, Florence Pigalle s'attache aux pas de ce jeune homme sans repères et lui dévoile le but de son existence : elle recherche depuis des années le trésor de Louis XVI, celui qu'il a pu cacher avant de monter à l'échafaud. Les diamants de Marie-Antoinette, la fortune du royaume de France, tout aurait été dissimulé dans le cinquième roi de bronze. Pierre se laisse peu à peu gagner par l'enthousiasme de Florence, malgré les dangers qui semblent la guetter. Car les morts suspectes parsèment le chemin de l'historienne, et s'il accepte de l'aider, c'est sans mesurer les conséquences de cette décision, qui pourrait bien leur être fatale...

Le cinquième roi de bronze

Versailles, mai 1782. La cour de France reçoit avec faste l'héritier du trône de Russie, le tsarévitch Paul, et son épouse. Mais la fête est gâchée: le prince se sent épié, traqué. Quel est donc le mystérieux persécuteur cherchant à le discréditer? L'esprit tourmenté du tsarévitch va-t-il sombrer plus encore? Pourquoi un homme énigmatique rôde-t-il dans l'obscurité, sorte de fantôme, tout d'écarlate vêtu? Sa cible est-elle le prince russe? A son corps défendant, le fameux Léonard, coiffeur de Marie-Antoinette, plus habitué à manier le peigne qu'à jouer au détective, est mêlé à ces événements étranges. Tout se complique lorsque, soudain, au Chenil royal, la mort frappe, par deux fois. Un chien, d'abord, périt sous le fouet. Puis l'homme qui, justement, s'est acharné sur la malheureuse bête, est à son tour trucidé... Alors, Louis XVI n'a qu'une préoccupation: étouffer le scandale qui menace...

Le Diable de Trianon

Paris, 1755. Des jeunes filles sont retrouvées mortes et exsangues. Louis XV exige qu'une enquête soit menée, mais en toute discrétion. La favorite du roi, la marquise de Pompadour, confie donc l'affaire à son valet et homme de confiance, Florimond. Les investigations de ce familier de la cour le mèneront à soupçonner le comte de Charolais, cousin de Louis XV. Une piste que la Pompadour refuse de considérer : on ne s'en prend pas à un prince du sang !Mais Florimond n'est pas prêt à renoncer : sa jeune sour est introuvable depuis de longues années, et il en vient à se demander si sa disparition ne serait pas elle aussi un méfait du sinistre comte Charolais. Du palais de Versailles aux rues de Paris en passant par le Parc-aux-Cerfs, où Louis XV « élevait » des jeunes filles pour sa « consommation » personnelle, la Pompadour et son valet nous entraînent dans les coins et les recoins de la cour et le long des méandres de l'esprit sadique d'un serial killer.

Un Prince de Sang, La Pompadour Mène L'Enquete

Alors que Louis XIV vieillissant ne songe plus qu'à l'édification du Grand Trianon, la révolte gronde parmi les Protestants, jusqu'à en pousser certains hors des frontières du royaume de France.

Mais les frasques de son frère Philippe d'Orléans, et le retard pris par les travaux préoccupent bien davantage le Roi que la dispersion de ces hérétiques. Ne vient-il pas de signer l'Edit de Fontainebleau, leur donnant ainsi l'assurance qu'ils ne seront pas persécutés ?

Pour Catherine Roquefeuille, le danger demeure néanmoins trop grand. Et prête à ruiner son existence, la jeune femme entraîne dans ses projets meurtriers la propre épouse du souverain...

Le sang du Trianon

C'en est trop... Tant de misère et tous ces gens qui s'agitent, se dorent la pilule à la télévision, comme s'ils n'avaient rien de plus important à faire. Par la lucarne ils brillent, par la lucarne ils périront ! Elle y a bien réfléchi. Elle a passé des heures, le doigt rivé sur sa télécommande, à établir une sélection. Et puis elle s'est mise au travail. N'était-elle pas la mieux placée pour approcher sans éveiller les soupçons de tous ces pantins que la célébrité a rendu intouchables... et les éliminer ? Une liste noire, une mystérieuse femme aux pleins pouvoirs et une critique incisive - et hilarante ! - du petit écran, par l'auteur des Ferrets sont éternels.

Zapping mortel

Louis XIV a son enquêteur des affaires secrètes : c'est Gabriel Nicolas de La Reynie. Un nouveau héros récurrent du roman historique.
1679. Louis XIV réside au château de Saint-Germain, célèbre pour ses jardins en terrasse et ses fabuleux jeux d'eau. La toute-puissante favorite du roi, la flamboyante marquise de Montespan, attire tous les regards.
 Si, à Saint-Germain, on danse et on s'amuse, à Paris, on invoque le Diable, on profane des églises, on dit des messes noires, on sacrifie des enfants. C'est ce que découvre, effaré, le lieutenant général de police, premier du nom, Gabriel Nicolas de La Reynie. Quand il arrête la sorcière La Voisin, ce magistrat, ancêtre du préfet de police de Paris et père de la police judiciaire, ne sait pas encore qu'il va mettre au jour la ténébreuse affaire des poisons.
 Retranché dans son bureau du Grand Châtelet, La Reynie a fort à faire d'autant que, dans l'ombre, un ennemi implacable travaille à sa perte et que, entre autres criminels, une femme trucide ce que Paris compte de solides gaillards. Pour cette première enquête, saura-t-il éviter les pièges qu'on lui tend?

La marquise des poisons

" La terreur a pénétré les arbres, les fleurs et les herbes, elle imprègne encore les airs, où nul papillon, nul oiseau n'ose s'aventurer ; elle paraît même tenir à distance le soleil, car celui-ci s'est caché. A présent qu'ils ont accompli l'irréparable, et replacé la dalle qui scelle le puits, les eunuques s'empressent de regagner le palais, l'âme remplie d'effroi. Bien sûr, ils n'ont fait qu'obéir, car depuis toujours, il en est ainsi : pour une assiette brisée, une faute vénielle, la servante ou le valet est exécuté selon le bon vouloir du prince ou de la concubine. Pourtant, ils n'ont jamais été les témoins ni les acteurs d'un tel supplice, jamais jusqu'à ce jour de la période quyu, la troisième lunaison de l'année dingsi. L'année 1857 selon le calendrier des Barbares venus de par delà les Quatre mers, la sixième année du règne du Fils du Ciel Xianfeng, le septième empereur de la dynastie des Grands Qing, souverain de la Chine, de la Corée et du Tibet, de l'Indochine et des Iles du Sud. L'année de l'abomination... " Située clans le décor de l'ancien Palais d'été, une évocation flamboyante de la décadence de l'Empire chinois, où mystère et effroi règnent en maîtres.

Téo le petit loup

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