Ça ira mieux demain

Noémie se découvre une soudaine obsession pour la vitesse. Records de vitesse pour se rendre à l'école, pour se rendre à sa classe, pour aiguiser la mine d'un crayon, pour le plus grand nombre de culbutes réalisées au gymnase, pour sortir un cahier et l'ouvrir à la bonne page. Bref, tout devient prétexte pour se minuter et améliorer ses performances. Après un petit accident dans les escaliers de la maison, Noémie se contrainte au repos forcé. C'est alors qu'elle verra un reportage sur les compétitions olympiques qui lui donnera l'idée de s'entraîner comme les grandes championnes. En usant d'un fin stratagème, elle parviendra à convaincre sa grand-mère de lui acheter l'équipement nécessaire, dont une paire d'espadrilles hyperperformantes. Mais ces nouveaux souliers de course lui font faire des bêtises à répétition. Peut-être que la vie en pantoufles n'est pas si mal finalement?

Les Souliers magiques (Noémie, #11)

Voici une histoire, écrite dans un style éblouissant, où l'amour est rudement mis à l'épreuve par un impératif absolu : la lutte pour la survie. Élisabeth et Gravelin ont décidé de fuir ensemble un univers dit civilisé qui ne leur fait pas de place. Ne pouvant compter que sur eux-mêmes pour subvenir à leurs besoins les plus primaires, ils doivent composer avec un environnement encore plus hostile que celui qu'ils viennent de quitter. Chaque émotion y est vécue sans compromis, poussée jusqu'à ses plus extrêmes retranchements. Au-délà de l'âpreté des épreuves, la vie saura-t-elle triompher? Et l'amour pourra-t-il réunir ces deux êtres écorchés par le destin?

Les parfums d'Élisabeth

Dans Noémie, Albert aux grandes oreilles, Noémie doit lutter contre un sentiment des plus détestables : la jalousie. Alors que notre jeune héroïne découvrait dans Noémie, Les Sept Vérités que Madame Lumbago était sa vraie grand-mère, voilà qu'elle risque maintenant de se la faire voler par un monsieur dix fois plus vieux que celle-ci, affreusement laid, chauve, trop bien habillé et qui, pire que tout, possède de grandes oreilles d'éléphant!Depuis que cette espèce d'Albert aux grandes oreilles est apparu dans le décor, Noémie ne reconnaît plus sa grand-mère, qui rajeunit à vue d'œil. Elle se coiffe, se maquille, se pomponne... Elle conserve même des os dans son réfrigérateur!Noémie ne peut s'empêcher d'imaginer les moyens les plus fous de se débarrasser d'Albert. Mais comme son anniversaire approche à grands pas... et qu'il serait dommage qu'elle soit privée de cadeaux pour mauvaise conduite, Noémie doit se résigner. Enfin, du moins en apparence. Car elle continue de veiller sur sa pauvre grand-mère qui semble trop naïve pour se méfier du danger. Et si Albert voulait vraiment lui enlever sa grand-mère... c'est-à-dire la kidnapper?

Albert aux grandes oreilles (Noémie, #5)

« Personne ne m’appelle Jérôme. Mon père, ma mère et tous mes amis me surnomment Ti-Prout parce que je pète tout le temps. Ce n’est pas de ma faute. (...) Quelques fois, je fais de petits prouts de rien du tout. Ils sont silencieux et ne sentent presque rien : je les surnomme mes roses. Les prouts de taille moyenne, je les surnomme mes papillons, et les gros prouts qui font beaucoup de bruit s’appellent des éléphants. » Jérôme est donc rejeté. Il finira par combler sa solitude en rencontrant une fillette qui a... le même problème que lui !

Ti-Prout

Contrairement à sa grand-mère qui refuse de sortir de son lit en ce vendredi 13, Noémie est prête à conjurer le mauvais sort associé à cette journée. De toute façon, elle a bien trop de choses à faire. Ce ne sont pas de supposés malheurs qui vont l’arrêter. Elle doit continuer à s’entraîner de façon intensive pour le nouveau sport qu’elle a inventé avec Martine et Julie. Car le saut en balançoire, c’est important! Curieusement, une série d’anicroches au parc où elle s’exerce avec ses amies la rendent perplexe. Grand-maman Lumbago aurait-elle raison ? Mais non voyons, ce ne sont que pures coïncidences. Cependant, un accident plus sérieux lui donne l’occasion de réfléchir au déroulement de sa journée. Au fond, qui risque rien n’a rien, et c’est bien tant mieux !

Vendredi 13 (Noémie, #13)

Simon et la plume perdue

Choupette et son petit papa

Tante Dodo est une championne de vitesse. Choupette, elle, est une championne de... lenteur ! Aussi, quand sa tante lui propose de passer la journée avec elle, Choupette devine que ce ne sera pas de tout repos. Natation, escalade, course à vélo,
Choupette réussira-t-elle à relever les défis sportifs proposés par son inépuisable tante ? Un roman trépidant pour ceux qui aiment l'humour et l'aventure !

Ça ira mieux demain

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