Rumeur du soir

1915. Le conflit s'enlise. Au front, les hommes se raccrochent en pensée aux femmes restées au village pour supporter la mort qui rôde. Entre espoir et inquiétude, l'amour survivra-t-il à ces longues années d'absence ?Seules, les femmes prennent en main fermes ateliers et villages. Libres de leurs choix, elles se découvrent pour la première fois maîtresses de leur destin. À l'instar de Jeanne, jeune femme curieuse et intelligente, que la guerre a privée définitivement de son jeune époux, Octave. Enceinte, la voilà à la tête de la scierie de Champlemy, dans la Nièvre... Après Fleur au fusil (2014), où il dépeignait l'enthousiasme du départ à une guerre que l'on imaginait courte, l'auteur évoque ici la vie à l'arrière. Notamment le rôle des femmes qui durent se substituer, dans la conduite des fermes, aux hommes partis défendre la patrie contre les « Boches ».

D'amour et de cendres

Depuis le départ de sa mère sans aucune explication, trois ans auparavant, Emma vit avec son grand- père Emile et son fils Hippolyte, dans le domaine de Vernières situé dans la Nièvre.

Un jour elle reçoit le faire-part de décès de sa mère, et découvre dans les lettres qu'elle lui a laissées, un odieux secret de famille.

La revanche d'Emma va semer la discorde dans le domaine familial.

La ferme de l'enfer

C'est dans un milieu fruste et brutal que va naître Julia. Mais avec le temps elle devient une adolescente, si désirable que son père en tombe amoureux. Très vite, ils se laissent emporter par leur passion incestueuse, défiant la tribu familiale. Lorsqu'elle épouse Léon, Julia qui s'installe dans " la ferme d'en bas ", peut espérer échapper à l'emprise paternelle...

La ferme d'en bas

Chaque année, plus de dix mille personnes disparaissent en France et, proportionnellement, bien plus en Belgique ou en Allemagne. Parmi tous les cas signalés à la police, les deux tiers sont élucidés dans un relativement court terme. Les adolescents fugueurs ou les personnes qui décident de tout plaquer, tentés par une autre vie, sont souvent assez vite repérés ou donnent de leurs nouvelles eux-mêmes. Lorsqu'il s'agit d'assassinats, de suicides ou d'accidents, c'est au moment de la découverte du corps de la victime que l'enquête cesse d'être une recherche de disparu et que d'autres types d'investigations prennent le relais. Mais pour le tiers des disparitions qui demeurent, c'est le doute absolu. Les familles, les proches, les témoins, les voisins, tous sont confrontés à la plus insupportable des incertitudes.
Dans ces cas, toute une série de méthodes, de démarches et d'associations sont mobilisées pour répondre aux questions lancinantes que pose l'absence inexpliquée d'une personne. Ce sont ces différentes filières, officielles et parallèles, et les résultats souvent inattendus qu'elles peuvent donner, que l'auteur a voulu explorer.
Ce livre dresse une sorte de typologie des divers cas de disparitions, donnant de multiples exemples et relatant de nombreuses affaires, célèbres pour leur dénouement ou, au contraire, pour leur mystère demeuré opaque malgré l'investissement colossal de la police et de la population. Cet ouvrage se lit comme un véritable thriller tout en étant éminemment édifiant. Il donne de nombreux conseils d'ordre pratique et fait le point sur les recours aux magnétiseurs et aux voyants pour retrouver des personnes disparues.

Enquête sur les disparitions

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Les grands acteurs étrangers contemporains

Jean, c'est le saisonnier qui a été embauché par Clémence pour travailler à la "ferme d'en bas". Jean, c'est l'homme qui a séduit Julia, l'épouse de Léon que personne n'a revu depuis la guerre. Jean, c'est le véritable père d'Anna, mais lui-même ne le sait pas. Jean, c'est ce drôle d'oiseau migrateur qui est parti subitement sans laisser de traces il y a une quinzaine d'années. Et aujourd'hui, tandis qu'on enterre la vieille Clémence, Jean est de retour... Jean gardait les yeux clos mais ne dormait pas. Il imaginait qu'il devrait raconter toutes ces années passées mais il ne savait par où commencer. Il lui faudrait sans doute expliquer son départ précipité, cette fuite même... S'en souvenait-il seulement ? Comme si elle avait deviné ses pensées Julia l'interrogea : " Pourquoi es-tu parti sans un mot d'explication ? Je n'ai pas cessé d'y repenser depuis. " Jean attrapa son paquet de cigarettes et en alluma une.

Le retour de Jean

Un prince, un roi ou un empereur peut-il devenir un grand homme sans l'amour d'une femme ? L'amour peut-il survivre à l'exercice du pouvoir ? Voici réunies, sous la plume lyrique de Jacques Mazeau, les histoires d'amour romantiques et passionnées de quelques-unes de ces grandes dames qui firent aussi l'Histoire de France. Jeanne Antoinette Poisson, une roturière aussi belle qu'ambitieuse, régna de longues années sur la cour de Louis XV et passa à la postérité sous le nom de madame de Pompadour. Tout aussi belle, séduisante et courtisée, Marie-Antoinette n'éprouvait, elle, aucun amour pour Louis XVI, mais s'enflammait pour son amant suédois Axel de Fersen, qui lui fut fidèle jusqu'au bout. Joséphine Tascher de La Pagerie épousa le futur général de Beauharnais et fut la maîtresse de Hoche, de Caulaincourt, de Barras puis de Napoléon Bonaparte avant de devenir impératrice des Français. Sissi, enfin, connut une folle passion pour François-Joseph, malgré le poids de la cour d'Autriche et l'hostilité de sa belle-mère. Après un premier tome consacré à Jeanne de Naples, Marie Stuart, Gabrielle d'Estrées et Louise de La Vallière, Jacques Mazeau reprend la plume pour donner à ces destins d'amoureuses toute leur dimension romanesque, dans les coulisses de l'Histoire.

Dames De Cour, Reines De Coeur. Tome 2, Marie-Antoinette, Mme De Pompadour, Josephine, Sissi - Occasion

"Laurencin hésita. N'allait-il pas commettre une erreur fatale en évoquant la mort suspecte du curé ? Comme lui-même l'avait suggéré, tout cela ne devait-il pas demeurer confidentiel ? Ses préventions s'envolèrent en croisant le regard limpide d'Isabelle. Il pouvait lui faire confiance. Et puis cela le soulagerait un peu de partager son secret." 3 août 1914. Alors que le garde champêtre annonce la déclaration de guerre de l'Allemagne, la servante du curé fend la foule pour annoncer, hors d'haleine : « Monsieur le curé est mort ! » Mignard, robuste comme un chêne, mort ? Ahurissement et incrédulité du petit groupe autour du maire. Or, le spectacle du curé gisant au pied de l'autel ne laisse pas de place au doute : les yeux grands ouverts du trépassé sont marqués par l'épouvante ; le défunt a perdu tout son sang... L'autopsie du cadavre pratiquée par le docteur Laurencin révèle une étrange morsure, qui serait celle d'un humain. Pour la séduisante Isabelle Devin, institutrice, cette plaie serait l'oeuvre d'un vampire. Elle en fait part à Laurencin, complètement déboussolé. La mort du maire, dans les mêmes étranges circonstances, précipite la venue de la police. Commence alors l'enquête du très parisien et très présomptueux Monchicourt, ex-agent des Brigades du Tigre. Lequel va chercher une explication rationnelle à ce fait divers et tomber sous le charme de l'énigmatique Isabelle...

Rumeur du soir

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