«Je suis un pauvre fossoyeur.» Pierre Tombal pourrait presque reprendre à son compte ce refrain de Brassens, si ce n'est que sa vie n'a rien de triste. Aux petits soins pour ses turbulents pensionnaires, il dialogue avec eux et fait règner un ordre bon enfant dans le cimetière dont il a la charge. Une seule chose l'agace : qu'on lui parle de crémation.

O suaires (Pierre Tombal, #05)

Cédric Tome 27

De troepen van generaal Alexander moeten in het kamp blijven, op bevel van generaal Grant. Maar stilzitten en niks doen ondergraaft het moreel van de jongens. Van elke mug maken ze een olifant en zo ontstaan er relletjes. Blutch vult zijn dagen met ontsnappen, Chesterfield heeft zijn handen vol met hem terug te halen... En dan ineens brengt François d'Orléans, een van de zoons van de Franse koning en militair adviseur en adjudant van generaal MacClellan, een oase van rust. Hij zet iedereen aan het werk met zijn grote passie: het maken van aquarellen.

Blauw bloed bij de blauwen

Voie sans issue (L'agent 212, #4)

Cornelius woont bij zijn ouders en werkt bij de slagerij van meneer Graham. Cornelius' vader praat vol trots over de Alamo. Als op een dag het Noordelijk Unie leger hun dorp aan doet, laat dat Cornelius niet onberoerd. Diezelfde dag moet hij een bestelling wegbrengen bij café The Pacific. 's Avonds lijkt Cornelius een beslissing te nemen. Zijn drammerige moeder stuurt hem met bloemen naar zijn baas om diens dochter ten huwelijk wil vragen. Cornelius loopt dan langs The Pacific en besluit zichzelf maar even moed in te drinken. Blutch, de eigenaar van de kroeg, drinkt gezellig mee. Als de kleine uurtje verstreken zijn komt een kleine groep Unie soldaten het café bezoeken. Cornelius en Blutch zijn er dronken genoeg voor, dat ze zich laten overhalen te tekenen voor het leger.

Hoe het begon

In het kamp van generaal Alexander is er pas een nieuwe rekruut aangekomen die tegenover Blutch begint over Bull Run, een verhaal dat erg gevoelig ligt in het kamp. Blutch vertelt hem dat president Lincoln de beslissing nam om naar Richmond op te trekken. De grote fout was daarbij dat hij schoorvoetend had toegegeven dat de notabelen en de hoge klasse van de burgerbevolking hierbij aanwezig mochten zijn om het slagveld te kunnen overzien. Op de dag staan dan ook de bevolking en de Unieregimenten klaar om de confrontatie aan te gaan met de geconfedereerden.

Bull run

Les femmes en blanc Tome 6 : gai rire à tout prix

Dure, dure la vie d'un gamin de 8 ans !A priori, c'était une bonne idée, cette manifestation pour la paix organisée par l'école... Est-ce la faute de Cédric si les pancartes distribuées par M. Olivier étaient ridicules ? Si le choix de Nicolas d'Aulnay de Machin-Chose pour lire le discours a provoqué un tollé ? Et si la manifestation a dû finalement être annulée pour cause de bagarre généralisée entre les enfants ? Ce n'est tout de même pas parce que Cédric a émis quelques critiques sur l'organisation de l'événement qu'il faut lui faire endosser la responsabilité de tout ce chambard? Eh bien si : car ce gamin, charmant mais très râleur et un brin colérique, a un don pour provoquer des cataclysmes dans la vie quotidienne de ses proches, à la plus grande hilarité de son pépé, témoin privilégié des déboires de son petit-fils !Tels auteurs, tel hérosPères et grands-pères eux-mêmes, qui mieux que Raoul Cauvin et Laudec pouvaient raconter les petites mésaventures du quotidien d'un enfant de huit ans et de son pépé très complice ? Tendre, espiègle, attachante, chaque histoire trouve un fragile équilibre entre la série humoristique et la chronique familiale, alternant avec bonheur le rire et les larmes. Cette grande série du catalogue Tous Publics des Éditions Dupuis rencontre un succès toujours croissant depuis près de vingt ans et a connu, en 2001, une adaptation très réussie en dessins animés.

Cédric Tome 19

Le gros, c'est Cornélius Chesterfield, sergent zélé et discipliné de l'armée du Nord des Etats-Unis. Le petit, c'est Blutch, un malin râleur et désabusé qui ne rêve que de déserter. Pris dans les affres de la Guerre de Sécession, ces deux-là font ce qu'ils peuvent pour échapper aux ennuis que leur valent des chefs bornés, des ordres aberrants et un destin décidément contraire...

À travers des histoires pleines de rire et d'action, Lambil et Cauvin nous offrent une critique acerbe des absurdités de la guerre et du militarisme obtus.

O suaires (Pierre Tombal, #05)

Résumé

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