Mots et dictionnaires, 1798-1878 - Tome VIII : Renseigner-Séditieux

" Soyez les accoucheurs de la parole d'autrui " recommande Pierre Schaeffer, organisateur des radios francophones à la veille des Indépendances, aux futurs cadres africains et français qu'il forme au Studio-Ecole de Maison-Laffitte. Des perspectives professionnelles exceptionnellement stimulantes s'offrent aux jeunes hommes embarqués dans l'aventure radiophonique, alors que la colonisation expire. et que tout un continent entre dans une ère nouvelle. Les incitations schaeffériennes vont-elles y être applicables ? Les contextes humain et politique en décideront.. Du Tchad au Dahomey, du Niger au Gabon, l'auteur alternera seize années durant expériences et réussites, avec l'espoir constant d'aider les radios à forger leur identité. De retour à Paris que restera-t-il de ses enthousiasmes ? Affecté à RFI, il sera impliqué de très près dans un autre aspect actif de la coopération. Multipliant anecdotes et portraits, il livre un témoignage décapant sur une longue période de la coopération radiophonique francophone vécue de part et d'autre, ainsi que sur le milieu de la radio internationale française.

Le vent qui souffle dans la boîte - De la coopération radiophonique aux coulisses de RFI

Contribution aux études sur Victor Hugo - Tome 4, Analyse et textes inédits

Mots et dictionnaires, 1798-1878 - Tome 11, Vacance-Zut, supplément

Chaos vaincu - Quelques remarques sur l'oeuvre de Victor Hugo-Tome II

Mots et dictionnaires, 1798-1878 : Tome VII : Proéminence-Rénover

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Contribution aux études sur Victor Hugo - Ébauches et brouillons. Suivi de notes et documents divers

Mots et dictionnaires, 1798-1878 - Tome 9, Séducteur-Tâte

Chacune des brèves notes qui constituent ce livre raconte une rencontre de l'auteur avec des célébrités, croisements fortuits revenus en mémoire depuis les Rolling Stones, qui lui signent un autographe quand il a dix ans, jusqu'à Gilbert Bécaud arrêté à un feu rouge la nuit, en passant par Aragon vu sur un parking, Dalida à qui il sert une salade verte, Martine Aubry qui a mal à l'oeil. En creusant encore un peu, c'est la limousine de Leonid Brejnev qui passe au loin, la nuque de Raymond Barre qu'il voit de près, voire le Père Noël.
Dessiné en creux, c'est le parcours d'une vie, marquée par un patronyme extrêmement courant qui finit par lui attirer des ennuis avec la Banque de France.
Et pour comble, on lui trouve des ressemblances avec des acteurs, des ministres ou des sportifs. Comment dès lors exister quand on ressemble à la terre entière, comment être soi-même quand on s'appelle comme tout le monde ? Quel avantage tirer de cette impression donnée qu'on est quelqu'un d'autre, plus célèbre, passé de l'autre côté d'une barrière sans aucun bénéfice ?.

Mots et dictionnaires, 1798-1878 - Tome VIII : Renseigner-Séditieux

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