AX anthologie vol1

Red hood, blue bear - Colour in fairy tales

Peter Saul : Professional Artist Correspondence, 1945-1976

Votée à l'unanimité, la loi du 22 avril 2005 (Loi Leonetti) a été révisée par la loi du 2 février 2016. Eprouvée par des drames individuels très médiatisés, la législation française sur la fin de vie n'a pas vocation à régir des cas particuliers mais le plus grand nombre des malades dont la destinée est unique et incomparable. Face aux angoisses vécues dans l'intimité d'un corps souffrant, parfois partagées par des familles en conflit, les médecins doivent prendre des décisions précises et graves, souvent consensuelles, sans jamais provoquer la mort qui demeure le grand Interdit.


La législation favorise l'accompagnement social des personnes en fin de vie et le traitement de la souffrance. Elle oblige les médecins à solliciter des avis, à délibérer dans la collégialité. Des espaces de réflexion éthique sont ouverts dans chaque région pour fédérer et reprendre les analyses pluridisciplinaires menées sur des cas difficiles. Les actes du Colloque qui s'est tenu à l'Université de Caen les 19 et 20 mars 2015, ont pour objet de rendre compte de la complexité des questions posées par la fin de vie et de la nécessité de former les médecins et les citoyens à l'éthique médicale.


Le colloque international de Caen (19-20 mars 2015) a été organisé par les enseignants du D.U. Ethique des sciences de la vie : soins, santé, société que dirige le Professeur Jean-Marc Baleyte (CHU Caen). Les actes rassemblent les communications de trente-deux auteurs, médecins, juristes, philosophes, sociologues ou économistes, praticiens ou universitaires, français, belge, hollandais ou québécois. Les travaux sont coordonnés par Mme le Professeur Annick Batteur et Gilles Raoul-Cormeil qui enseignent à l'Université de Caen Normandie (Faculté de droit).

éthique et conditions de la fin de vie

Comment le maïs vint au monde. La femme de l'ondin. Le vagabond qui faisait les choses quand on l'en priait. Le voleur et le roi. Quand le paysan va faire ses emplettes. Prince Toukta Kham. L'or sous la cendre. Le chevalier de pierre. Comment deux voleurs s'emparèrent d'un âne. Les sept frères. Comment le cocotier vint au monde. Le Chat Botté ou le maître chat. Un juge équitable.La pièce d'argent. La petite fleur bleue du château de glace. L'heureux Jean. Comment la vigne vint au monde. Le trésor du nain des bruyères. Comment les compères ont essayé de saisir la lune. Kao Liang, sauveur de Pékin. Le savetier et les trois voleurs. Histoire du sage et du coq d'or. La nuit des sortilèges. Le rusé charbonnier. La fille du lis et de l'absinthe. Un treizième bien malin. Le paysan et l'ours. Le petit bandit gentil. La princesse du bambou. Histoire du cordonnier qui rêvait. La petite vache Bukolla.$La clochette argentée. Les trois petits boucs. La canne d'or. Le chef et sa belle femme. La sorcière et la fée. Le cheval pommelé et l'ours. La succession de l'avare. Sur l'amitié et la trahison. La devinette. Le bloc de pierre sur le chemin. Les diables stupides. La mégère et le diable. La maladie d'Ali. Le seigneur de la forêt. Pourquoi le coquelicot est-il rouge comme le sang ? Le loup et les sept chevreaux. Le diable et le paysan. Les lunettes magiques. La bière du troll. Un ingénieux cheval. Le chacal qui avait volé une brebis au soleil.

Histoires du soir en 5 minutes

13 ans de silence, et voilà que Phénix, la revue mythique, renaît de ses cendres. Dans ce numéro, vous trouverez ce qui a fait son succès : la qualité des sujets, la motivation de leurs rédacteurs, des dossiers fouillés, des textes inédits, des nouvelles toujours plus délectables... et bien plus encore. À l'honneur dans ce numéro de la résurrection : Graham Masterton et Frédéric Livyns. Le maître et son disciple, pourrait-on dire. Ces deux artistes prolifiques nous font frémir depuis plusieurs années, toujours à la recherche de terreurs novatrices, pour notre plus grand plaisir. Deux dossiers à savourer dans l'ambiance horrifique qui leur sied si bien. Vous y découvrirez des nouvelles de Pierre Brulhet, Christophe Collins, Sophie Dabat, Emmanuel Delporte, Gulzar Joby, Jess Kaan, Frédéric Livyns et, inédites en français, deux de Graham Masterton lui-même ! Du suspens, des découvertes, de l'horreur... Un frémissement à chaque nouvelle page ! Dossiers dirigés par Denis Labbé et Frédéric Livyns Rédacteur en chef : Marc Bailly

Phenix 59 : Graham Masterton et Frédéric Livyns

Dans ce petit livre illustré avec humour, nous découvrons avec plaisir comment le chien, ce brave compagnon peut-être attachant. Bien qu'il soit aussi odorant et bordélique que votre petit ami, il vous offre un amour inconditionnel ! Ses désirs sont très faciles à combler et il vous sera fidèle jusqu'à la fin !

Des illustrations drôles et décalés faisant le parallèle entre votre homme et votre toutou !

Plus je connais les hommes, plus je kiffe mon chien

ExtraitRome et l'écritureDérivé du grec, l'alphabet romain voit la diffusion de son écriture et de l'art de ses lettres s'accroître avec l'extension de l'Empire romain.L'alphabet parvient dans le monde romain par le biais de l'invasion étrusque du IIIe siècle avant Jésus-Christ, avant que Rome ne devienne une grande et puissante nation. Les Romains ont adopté l'alphabet grec pour écrire leur propre langue, se servant des lettres A, B, E, H, K, M, N, O, X, T, Y et Z telles qu'elles existaient, adaptant à leurs besoins les lettres C, D, G, L, P R et S et ressuscitant les lettres F, Q et V Le latin ne comportait pas la lettre J : les Romains la notaient I. Dans les premiers temps de l'Empire, l'écriture servait avant tout à la création d'inscriptions sur les monuments ; ces dernières étant gravées sur la pierre ou dans le marbre au marteau et au burin, ces matériaux ont dicté le style de l'écriture. L'alphabet romain ne comportait en outre que des majuscules, de forme canée, formelles et élégantes, avec empattements cunéiformes, appelées des quadrata.Les écrits restent...La diffusion des belles-lettres accompagna l'accroissement du puissant Empire romain. Le commerce et l'administration s'appuyaient sur l'écriture tant pour garder trace des transactions que pour diffuser des informations. On avait besoin de scribes professionnels pour copier et graver les messages. Peu à peu cependant, gens ordinaires et marchands se mirent eux aussi à apprendre cet an et ces techniques d'écriture. Au vu de la demande croissante d'informations, un changement fondamental intervint dans les outils utilisés pour l'écriture. Jusqu'alors, on rédigeait les documents à l'aide d'une pointe de roseau sur des rouleaux de papyrus, appelés volvmen. Le problème de ces «volumes» tenait à ce que le papyrus était encombrant et lourd, et qu'il fallait déployer entièrement le rouleau sur ses deux axes de bois avant de parvenir à la partie voulue. L'introduction du parchemin, composé de peau de veaux, permit la fabrication d'objets coupés à la taille voulue et d'emploi plus aisé. On le taillait d'abord en pages que l'on reliait pour former un livre rudimentaire. Il devint ainsi possible de feuilleter ces ouvrages, auxquels on ajouta bientôt une table des matières initiale pour faciliter l'accès aux informations. Ces livres s'appelaient des «codex». On conservait encore les volvmen pour les documents importants et officiels, les codex servant aux contrats et aux manuscrits. Pour les écritures quotidiennes, on recourait à des tablettes de cire. Ces dernières se composaient de deux planchettes de bois au pourtour surélevé, dans lequel on versait de la cire fondue qu'on laissait refroidir. La partie pointue d'un stylet de métal ou d'os y incisait les signes de l'écriture, que l'on effaçait en polissant la cire grâce à son extrémité lisse. On assemblait parfois plusieurs tablettes avec une chaîne. Ce sont elles qui servaient de support à l'apprentissage des écoliers romains. L'alphabet romain est à la base de l'alphabet occidental moderne, dont nous nous servons aujourd'hui. Les lettres J, V et W y ont été ajoutées, mais le reste demeure inchangé. Bien que l'alphabet originel fût composé de majuscules, le besoin de documents entraîna le développement d'une écriture de rédaction plus rapide, appelée onciale, vers le IVe siècle de notre ère. Cette modification conduisit à l'arrondissement et à l'incurvation des quadrata. L'utilisation de plumes d'oiseau pour l'écriture se répandant par ailleurs, la forme même de leur bec influença également celle des lettres tracées. Avec la diffusion de la chrétienté dans l'Empire, une écriture dite semi-onciale vit par la suite le jour.Présentation de l'éditeurAvec Calligraphie facile, initiez-vous à l'art de la «belle écriture». Vous y apprendrez les principes de base de la calligraphie : choix du matériel, tenue de la plume, mise en page... puis poursuivrez votre apprentissage en vous exerçant à calligraphier différents alphabets : Caroline, italique, onciale, gothique... Des planches d'études sur la formation des lettres de chaque alphabet ainsi que de nombreuses pages d'exercices vous aideront à améliorer votre geste.

Calligraphie facile

Les premiers pas de l'homme sur la Lune, en ce mois de juillet 1969, virent se réaliser un rêve aussi vieux que l'humanité. Notre satellite, si proche et si lointain, devenait d'un coup la banlieue de la terre. Depuis toujours la Lune a aiguisé l'imagination des écrivains. Cyrano de Bergerac, Louis Desnoyers, Alexandre Dumas, Jules Verne, Edgar Poe, H.G.Wells, Pierre Boulle, tous sont partis un beau jour dans la Lune. Les uns sur les ailes d'un rêve, d'autres dans le ventre d'une fusée. Voici sept textes fondateurs, romans et nouvelles, agrémentés de quelques curiosités pour raconter le roman de la Lune.

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