Tueurs : les meurtriers qui ont marqué l'histoire

Henry Lee Lucas. La main de la mort

Entre 1959 et 1971, une ombre terrifiante plane sur l'île de Jersey. Celle d'un homme qui, dissimulé sous un sinistre déguisement hérissé de clous, commet une série de viols et d'agressions sauvages... Stéphane Bourgoin raconte avec une précision chirurgicale comment la «Bête de Jersey» fit régner l'épouvante sur la petite île anglo-normande aux institutions médiévales, dont la police n'était pas armée pour combattre un tel criminel.
Aborder une île grâce à la singularité d'un récit et au pouvoir évocateur d'une carte illustrée, telle est la proposition de la collection Insulaires, dirigée par Bruno Fuligni. Une fois dépliée, la jaquette du livre se révèle être une magnifique carte grand format de l'île de Jersey, illustrée par Sergio Aquindo.

La bête de Jersey

Le vampire de dÜsseldorf

100 ans de serial killers

GARY RIDGWAY, LE "GREEN RIVER KILLER" , EST LE TUEUR EN SERIE CONDAMNE POUR LE PLUS GRAND NOMBRE DE MEURTRES AUX ETATS-UNIS. Lorsqu'il est arre^te ? en 2001, apre`s dix-neuf anne ? es d'enque^te, Ridgway avoue 49 meurtres et il plaide coupable pour e ? viter la peine de mort. Depuis sa condamnation, le "Green River Killer" a reconnu 71 victimes au total, mais les enque^teurs le suspectent d'avoir tue ? pre`s d'une centaine de femmes, des prostitue ? es de Seattle et de Tacoma pour la plupart. Parmi ses victimes, il y a aussi des drogue ? es et des mineures en fugue. Le tueur e ? trangle a` mains nues ou avec une cordelette, avant de se de ? barrasser des corps dans des bois, mais aussi dans la Green River.

Serial Killer 2

Terrifiants et souvent ignorés, les crimes du « sexe faible » démontrent qu'elles sont aussi dangereuses que les tueurs en série. Pendant des décennies, personne n'imagine qu'une femme puisse commettre un tel acte, et encore moins de le réitérer. Lorsqu'elles agissent seules, elles sont pratiquement invisibles et donc insaisissables. Ce sont des tueuses tranquilles, femmes normales en apparence, et au-dessus de tout soupçon. Leurs moyens mis en ouvre pour assassiner sont plus cachés et insidieux - poison, injection létale, asphyxie, strangulation - que leurs homologues masculins.

Longtemps ignorées des criminologues, ces femmes tueuses ont très peu été étudiées. Et pourtant, par leurs méthodes, leurs motivations, le choix de leurs victimes, elles se distinguent en tout de leurs homologues masculins. Veuves noires, anges de la mort ou mères infanticides, qui sont-elles vraiment ?

Voilà un livre qui va à l'encontre de beaucoup de préjugés. Rien qu'au XIXe siècle en France, elles sont d'ailleurs presque aussi nombreuses que leurs congénères masculins.

Quand les Femmes tuent

Entre 1934 et 1950, un mystérieux assassin sévit à Cleveland pour déposer les cadavres décapités et mutilés de six hommes et de huit femmes dans le « no man's land » connu sous le nom de Kingsbury Run. Les victimes sont drainées de leur sang et lavées, certains de leurs membres sont enveloppés dans du papier journal où figurent des articles sur le « Boucher aux torses ». Ce serial killer pourrait aussi avoir tué huit personnes en Pennsylvanie et deux en Californie. Il pousse le vice jusqu'à écrire au chef de la police de Cleveland pour le défier.

Afin de mettre un terme à ses activités, les autorités font appel à Eliot Ness, le célèbre patron des « Incorruptibles », qui a combattu la pègre mafieuse à Chicago.

Sérial killers

Stéphane Bourgoin a rencontré plus d'une soixantaine de tueurs en série à travers le monde. Il relate ici l'histoire, établit le profil psychologique et analyse la personnalité de six d'entre eux. Et non des moindres. Du Vampire de Düsseldorf à l'Ogre de Santa Cruz, en passant par le Cannibale de Milwaukee, ce sont à chaque fois de véritables monstres auxquels il nous confronte. Âmes sensibles s'abstenir !

Tueurs : les meurtriers qui ont marqué l'histoire

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