La maison de Scheidegg

Le missionnaire Joseph Delvordre découvre l'Afrique en 1968, huit ans après l'indépendance de l'ex-Congo belge, dans un Zaïre à la recherche de son « authenticité » sous le règne du général-président Mobutu Dans le Nord-Kivu, aux frontières de l'Ouganda et du Rwanda, il va s'efforcer pendant quarante-huit ans de mettre l'information à la portée de tous.Il est aussi le témoin des massacres et des exodes massifs qui se succèdent dans la région. Et il ne peut que constater le pillage organisé de ce sous-sol décidément trop riche du Kivu par des entreprises multinationales, sous le regard souvent complice des forces militaires déployées sur le terrain.

Un missionnaire au Kivu : itinéraire du père Joseph Delvordre en RD-Congo de 1968 à 2016

Qui a peur de Daniel Zimmermann ? Et d'abord, qui prétend bien connaître l'auteur du Gogol et des Chats parallèles ? Cet homme, joueur de plume, jouet des plumes (Federspiel en alsacien) n'est-il pas le Diable en personne ? Entre les lignes d'un récit haletant, décapant, se lit une angoissante interrogation sur la nature, l'identité de l'écrivain, son étrangeté, son ambiguïté, le mystère de ses origines et de sa création. Qui est ce Je qui écrit, cet autre qui nous leurre, ce leurre qui peut-être dit aussi la vérité ? Un voleur ? Un plagiaire ? Un assassin ? Ou bien quelqu'un qui, à force de raconter des histoires abominables, se prend à son propre jeu de massacre ? Dans ce petit livre âpre, âcre, Zimmermann n'épargne rien ni personne, et l'on ne s'aventure dans la forêt hantée du Sundgau, au sud de l'Alsace, qu'au risque de se perdre un peu soi-même...

Federspiel, le joueur de plume

Quarante ans, dit-on parfois, c'est la force de l'âge. Pourtant, quelques semaines après son anniversaire, la République démocratique allemande s'est effondrée, avant d'être absorbée, pour ne pas dire engloutie. La fin de ce " brillant élève " du bloc de l'Est, bien qu'envisageable depuis plusieurs mois, fut brutale. Elle surprit le monde entier. Dans le même temps, elle fut ressentie par certains comme une injustice. Ce pays, qu'on appelait aussi " l'autre Allemagne ", était certes devenu de plus en plus anachronique. Mais rien n'y faisait : il avait à l'Ouest ses partisans, pour la plupart inconditionnels. Pour ces adeptes, les trois lettres " DDR " produisaient un effet magique. Elles représentaient presque un idéal, qui traduisait souvent l'engagement politique de leur vie. De Berlin-Est à Leipzig, de Dresde à Rostock, Le Voyage à Warnemünde accompagne le parcours d'hommes et de femmes qui ont grandi derrière le rideau de fer. L'auteur s'interroge aussi sur cette étrange fascination exercée par la RDA...

Le voyage à Warnemünde - Digressions est-allemandes

Le missionnaire Joseph Delvordre découvre l'Afrique en 1968, huit ans après l'indépendance de l'ex-Congo belge, dans un Zaïre à la recherche de son « authenticité » sous le règne dugénéral-président Mobutu Dans le Nord-Kivu, aux frontières de l'Ouganda et du Rwanda, il va s'efforcer pendant quarante-huit ans de mettre l'information à la portée de tous. Il est aussi le témoin des massacres et des exodes massifs qui se succèdent dans la région. Et il ne peut que constater le pillage organisé de ce sous-sol décidément trop riche du Kivu par des entreprises multinationales, sous le regard souvent complice des forces militaires déployées sur le terrain.

Un missionnaire au Kivu - Itinéraire du père Joseph Delvordre en RD-CONGO de 1968 à 2016

En 1862, Pie IX a envoyé des missionnaires auprès des Bulgares, dans ce petit morceau d'Europe encore placé sous la tutelle de Constantinople. Entre son inauguration modeste en 1884 et sa fermeture en 1948, le collège de " Saint-Augustin " a traversé quatre guerres. Pratiquant l'ocuménisme avant l'heure, donnant aux élèves le goût de l'universel, le collège catholique de Plovdiv aura montré que des jeunes de cultures et de religions différentes peuvent vivre en harmonie sans renier leur foi. Même dans la poudrière des Balkans.

UN COLLEGE FRANCAIS EN BULGARIE, SAINT-AUGUSTIN, PLOVDIV, 1884-1948

Quarante ans, dit-on parfois, c'est la force de l'âge. Pourtant, quelques semaines après son anniversaire, la République démocratique allemande s'est effondrée, avant d'être absorbée, pour ne pas dire engloutie. La fin de ce "brillant élève" du bloc de l'Est, bien qu'envisageable depuis plusieurs mois, fut brutale. Elle surprit le monde entier. Dans le même temps, elle fut ressentie par certains comme une injustice. Ce pays, qu'on appelait aussi "l'autre Allemagne", était certes devenu de plus en plus anachronique. Mais rien n'y faisait : il avait à l'Ouest ses partisans, pour la plupart inconditionnels. Pour ces adeptes, les trois lettres "DDR" produisaient un effet magique. Elles représentaient presque un idéal, qui traduisait souvent l'engagement politique de leur vie. De Berlin-Est à Leipzig, de Dresde à Rostock, Le Voyage à Warnemünde accompagne le parcours d'hommes et de femmes qui ont grandi derrière le rideau de fer. L'auteur s'interroge aussi sur cette étrange fascination exercée par la RDA...

La maison de Scheidegg

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