The Other End of the Line is the twenty-fourth darkly humorous Inspector Montalbano mystery from the international bestselling author Andrea Camilleri. In Inspector Montalbano's coastal town of Vigàta, a surge of migrants have been coming in by boat, and all the town's hands are on deck to help the arrivals. At the heart of the scene are the police - on the lookout for the people smugglers responsible - and long night-shifts are rendering Inspector Montalbano and his officers exhausted. Then one night, while Montalbano is enduring yet another gruelling stint at the port, a separate crime is committed - unexplained, unexpected, and unpleasant. Elena, the dressmaker at the town's famous tailors, has been found dead - slaughtered by her own scissors .

The Other End of the Line

Vers 1875, à Vigàta, pour l'inauguration du nouveau théâtre, un préfet indigne la population locale en imposant la représentation d'un obscur opéra, Le Brasseur de Preston. Son obstination de Milanais, représentant d'un État étranger aux déraisons siciliennes, met en branle un enchaînement de passions publiques et privées qui conduit droit au fiasco général.
À travers les orgies du rire et les injustices sociales, d'explosions érotiques en égorgements, on s'achemine vers une fin à l'image même d'une Sicile où la farce, inlassablement, s'accouple à la tragédie.

L'opéra de Vigàta

La Manuelli, l’une des plus grandes entreprises d’Italie, est à un tournant : ses dirigeants préparent
la fermeture de certains établissements en même temps que l’absorption d’une autre société,
l’Artenia. À cette occasion, les cruels jeux du pouvoir et de l’argent vont voir s’affronter le vieux
Manuelli, père fondateur, tout imprégné de son importance historique, son fils Beppo qu’il méprise,
De Blasi, directeur, vrai patron de la société et requin impitoyable, sa secrétaire Anna, amoureuse
d’un gigolo, la très troublante et ambitieuse Licia, fille du fondateur de l’entreprise absorbée, un
sous-secrétaire d’Etat avide et bigot, des ouvriers en grève et des hommes de main sans scrupules.
Andrea Camilleri aborde ici un nouveau genre, le thriller économique, et réussit une fois de plus à
nous surprendre. D’un retournement de situation à l’autre, le vrai vainqueur, c’est le regard
impitoyable qu’il pose sur le monde de l’entreprise, grâce à cette ironie si dure pour les puissants
et si tendre pour les autres, avec ce sens du dialogue et cette profonde humanité qui l’ont imposé
comme l’un des plus grands écrivains italiens contemporains.

Intermittence

L'auteur : 
Né en 1925 près d'Agrigente, en Sicile, auteur de poèmes et de pièces de théâtre, Andrea Camilleri a une longue carrière de metteur en scène derrière lui. En 1982, il publie son premier roman, qui sera suivi d'une vingtaine d'autres. À partir du début des années 1990, Camilleri rencontre un succès croissant en Italie où ses derniers ouvrages occupent la tête des ventes. En France sont déjà parus six romans policiers (la série des enquêtes du commissaire Montalbano a inspiré une série récemment diffusée à la télévision française) ainsi que l'Opéra de Vigàta (Métailié), la Concession du téléphone (Fayard), le Coup du cavalier (Métailié), le Jeu de la Mouche (Mille et une nuits) et la Saison de la chasse (Fayard) dont la traduction de Dominique Vittoz vient de recevoir le prix Amédée Pichot de la ville d'Arles (décerné le 10 novembre 2001).
***Le célèbre écrivain scicilien nous livre ici un nouveau roman savoureux situé dans la petite ville imaginaire de Vignéta, à la fin du XIXème siècle et inspiré d'un document authentique.

Un filet de fumée

The Terra-Cotta Dog opens with a mysterious tete-a-tete with a mafioso, some inexplicably abandoned loot from a supermarket heist, and some dying words that lead inspector Montalbano to a secret grotto in a mountainous cave where two young lovers, dead fifty years and still embracing, are watched over by a life-size terra cotta dog. Montalbano's passion to solve this old crime takes him, heedless of personal danger, on a journey through the island's past and into a family's dark heart amid the horrors of World War II.

Chien de faïence

Montalbano fait grise mine. Depuis son incartade avec une très jeune demoiselle, ses relations avec Livia, son éternelle fiancée génoise, battent de l'aile. Sans compter que son récent infarctus l'inquiète. Mais pas le temps de s'apitoyer sur son sort, car le corps d'une femme vient d'être découvert dans une décharge. Et rien n'est fait pour faciliter l'identification. Elle est nue, aucun vêtement ni papier n'ont été retrouvés à proximité. Seul un petit tatouage sur l'épaule gauche pourrait aider les enquêteurs. Un papillon, un sphinx, étrange point commun avec plusieurs immigrées de l'Est, accueillies par une association catholique. Une bonne oeuvre pas très claire... Alors qu'il s'occupe d'un mystérieux enlèvement survenu au même moment, Montalbano se heurte à l'évêque et aux hautes sphères de l'Eglise et de l'Etat, mobilisées jusqu'à Rome pour entraver la découverte d'une vérité... glaçante. Une fois encore, entre tragicomédie et intermèdes gourmets, avec une galerie de personnages hauts, en couleur et dans cette langue savoureuse qui a fait son succès, le maître sicilien nous dévoile, au-delà de son île, l'universelle vilenie d'une certaine bonne société.

Les ailes du sphinx

Vers 1875, en Sicile, le préfet dresse contre lui les habitants de Vigàta en imposant la
représentation d'un obscur opéra pour l'inauguration du théâtre. Le spectacle provoque un
enchaînement de passions publiques et privées, qui aboutissent à la catastrophe. Des personnages
hauts en couleur dévoilent une Sicile mystérieuse, sensuelle et corrompue, où la farce s'accouple
inlassablement au drame.

L'opéra de vigàta

Pierre-Auguste Renoir a-t-il bien séjourné en 1882 dans la ville sicilienne de Girgenti (aujourd'hui Agrigente), comme l'affirme son fils Jean dans la biographie qu'il lui a consacrée ? Si oui, pourquoi n existe-t-il aucune trace de ce voyage dans les toiles du maître de l'impressionnisme ? À travers l'échange épistolaire qu'entretient le vieux notaire Michele Riotta avec la belle et mystérieuse Alma Corradi, Andrea Camilleri propose un scénario pétillant, comme à son habitude, où se mêlent passion amoureuse et enquête policière.

Le Ciel volé

La petite ville sicilienne de Vigàta, à la fin du xixe siècle. Jamais fumée de navire sur l'horizon ne fut autant attendue que celle de l'Ivan Tomorov venu charger sa cargaison de soufre chez Totò Barbabianca, le plus riche, le plus crapuleux et le plus haï des négociants de Vigàta. Cette fois, Barbabianca, qui spécule sur les délais de livraison, n'a pas eu le temps de remplir ses entrepôts, et son rival don Ciccio Lo Cascio n'y est pas pour rien. Chargée d'esprit vindicatif pour les uns, de peur pour don Totò et ses fils, cette longue attente devient un féroce moment de vérité. C'est l'occasion pour Lemonnier, l'ingénieur piémontais, de perdre toute illusion sur ses concitoyens d'adoption en découvrant le cynisme du curé Imbornone, les folles manies du prince Gonzaga di Sommatino, la triste misanthropie du magasinier Michele Navarrìa ou la jouissance du marquis Curtò di Baucina devant les malheurs d'autrui.
Dans cette chronique malicieuse menée avec un suspense sans faille, Andrea Camilleri donne vie une fois de plus au microcosme fourmillant de ce coin de Sicile dont il emprunte largement les tournures dialectales, rendues ici dans un français enrichi de parler régional.

The Other End of the Line

Résumé

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