Tàpies

Dans la collection Noème 12, chaque auteur se fait commissaire de son exposition idéale sur un artiste qui lui est familier. Il nous plonge dans une oeuvre à travers le tamis de sa sensibilité, de sa culture esthétique, de ses interprétations théoriques... Démosthènes Davvetas et Marina Abramovic se sont rencontrés au milieu des années 1980 alors qu'ils étaient tous deux invités au festival d'art et de poésie de Berne. Depuis, ils sont devenus amis. Après plusieurs livres sur Marina, Démosthènes lui avait promis de lui offrir une analyse philosophique de son oeuvre. C'est ce qu'il entreprend d'écrire ici.

Marina Abramovic: Méditation aux yeux fixes

Dans la collection Noème 12, chaque auteur se fait commissaire de son exposition idéale sur un artiste qui lui est familier. Il nous plonge dans une oeuvre à travers le tamis de sa sensibilité, de sa culture esthétique, de ses interprétations théoriques... Démosthènes Davvetas n'hésite pas à parler de Joseph Beuys comme de son père spirituel, de son mentor. Après lui avoir permis d'obtenir une bourse de poésie en Allemagne (bourse DDAD), Beuys proposa à Démosthènes de devenir son principal collaborateur en France. Tous deux ont nourri une amitié intense jusqu'à la mort de Beuys.

Joseph Beuys : La sagesse moderne

Ce recueil de poèmes est construit en courtes notes, entre fulgurances et traits d'esprit. Chaque pensée, chaque phrase, chaque mot y pèsent ce que pèse l'être même et son amour au monde. Et le poème alors, tout le poème, comme « le contrepoids/de ma chute/intérieure ».

Le manteau de Laocoon

Il épargnait et honorait ses ennemis qui le combattaient loyalement, mais dans sa folie, il a tué d'un coup de lance un de ses meilleurs amis. Il se disait fils d'une humaine et d'un dieu. Il a été éduqué par le plus grand des philosophes de son temps. Il combattait à la tête de ses troupes et défiait la mort à chaque bataille. Il n'a jamais été défait, mais il a succombé aux moeurs de ceux qu'il avait vaincus. A vingt-six ans, il est devenu le plus riche des hommes, mais la richesse ne l'attirait pas. Il aurait pu finir sa vie dans un palais fabuleux entouré des plus belles femmes de son époque, mais l'inconnu le fascinait plus encore. Son rêve était d'unifier le monde. Il a fait construire de nombreuses villes portant son nom. Dans la plus grande d'entre elles, en Egypte, a été bâtie la plus prestigieuse des bibliothèques. Il s'appelait Alexandre le Grand et il a réalisé le rêve des Grecs : venger leurs cités pillées jadis par les armées de Xerxès en conquérant l'immense Empire perse. Alexandre Le Grand fait le bilan de son parcours semé d'exploits fulgurants et de drames.

Alexandre le Grand, fils de la Grèce

E si le regard pouvait tuer ? L'exécuteur ne perd pas une occasion pour passer à l'attaque : en un instant il se débarrasse des gens qui le gênent. Même de son père... Voyage entre le réel et l'imaginaire, aventures d'adolescence et de maturité, ces récits contemporains dessinent les portraits de héros du quotidien qui, sans s'éloigner de la vie, rêvent de l'absolu.

L'EXÉCUTEUR ET AUTRES NOUVELLES

Les lieux ne sont pas cités, les personnages seulement surnommés : le Sage, la Belle, la Laide, le Devin. Deux figures titanesques s'affrontent : l'Oubli et la Mémoire.
L'écrivain, à la première personne, frappé par la figure de l'Oubli invoque sa mémoire par tous les tours possibles.
La recherche de sa mémoire perdue le plonge dans un tourbillon d'aventures fantasques où se mêlent le quotidien et l'érotisme.
Le récit tendu de suspense est d'un rythme soutenu.

Tàpies

Plus de livres de Demosthenes Davvetas

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques