Henry Earlforward, a shabby Clerkenwell bookseller, has retired from life to devote himself (and his wife Violet) to a consuming passion for money. Miserliness, long disguised as procrastination, can become a fatal illness. Bennett's bleak story is saved, however, by the Earlforwards' maid Elsie: buxom, warm, ignorant, and sublime in her spontaneous greed for life. Riceyman Steps is a modernist masterpiece; a profound psychological and symbolic exploration of the forces of love and death.

L'escalier de Riceyman

The old wives' tale

"Yes, he's one of those men that don't know how to manage. Good situation. Regular income. Quite enough for luxuries as well as needs. Not really extravagant. And yet the fellow's always in difficulties. Somehow he gets nothing out of his money. Excellent flat-half empty! Always looks as if he'd had the brokers in. New suit-old hat! Magnificent necktie-baggy trousers! Asks you to dinner: cut glass-bad mutton, or Turkish coffee-cracked cup! He can't understand it. Explanation simply is that he fritters his income away. Wish I had the half of it! I'd show him-"

So we have most of us criticised, at one time or another, in our superior way.

We are nearly all chancellors of the exchequer: it is the pride of the moment. Newspapers are full of articles explaining how to live on such-and-such a sum, and these articles provoke a correspondence whose violence proves the interest they excite. Recently, in a daily organ, a battle raged round the question whether a woman can exist nicely in the country on L85 a year. I have seen an essay, "How to live on eight shillings a week." But I have never seen an essay, "How to live on twenty-four hours a day." Yet it has been said that time is money. That proverb understates the case. Time is a great deal more than money. If you have time you can obtain money-usually. But though you have the wealth of a cloak-room attendant at the Carlton Hotel, you cannot buy yourself a minute more time than I have, or the cat by the fire has.

How to Live on 24 Hours a Day

This   carefully crafted ebook: "Buried Alive + The Old Wives' Tale + The Card   (3 Classics by Arnold Bennett)" is formatted for your eReader with a   functional and detailed table of contents. 
The hero of the novel Buried Alive, Mr Priam Farll, is a painter of considerable ability. He is, however,   extremely shy - so shy that when his valet, Henry Leek, dies suddenly, the   doctor believes the dead man to be Priam Farll and the live man the valet...
The Old Wives Tale is a novel set in part in the Potteries district of   North Staffordshire, where Bennett grew up, and is generally considered his masterpiece.
The Card is a short comic novel written by Arnold Bennett in 1911. It   chronicles the rise of Edward Henry ("Denry") Machin from a washerwoman's son to Mayor of Bursley (a fictitious town based on Burslem).
Arnold Bennett (1867-1931) was an English journalist, novelist, and writer.   After working as a rent collector and solicitor's clerk, Bennett won a   writing contest which convinced him to become a journalist and an author.

Buried Alive + The Old Wives' Tale + The Card (3 Classics by Arnold Bennett)

S'il se contentait de nous narrer la destinée heureuse-malheureuse, tragique et commune d'Anna Tellwright, ce roman aurait déjà la valeur d'un document à la fois historique, sociologique et psychologique exceptionnel. D'une dureté impitoyable sous les apparences de la charité religieuse et de la respectabilité, une société puritaine s'organise autour de l'accumulation des richesses, avec son cortège de perversions et de névroses. Dans ce haut-lieu de la céramique que sont les "Potteries" du Staffordshire, Anna, tyrannisée par un père digne de l'Harpagon de Molière, mène une vie de soumission et de compromis. Les injustices de la condition féminine et les souffrances personnelles ont rarement été perçues et dénoncées avec autant d'acuité. Cette fiction romanesque allie le singulier à l'universel au travers de personnages vrais parce que faux, ambivalents, contradictoires.

Anna, malgré tout

Tout a commencé près des marches de Riceyman à Londres, dans la librairie de M. Earlsforward. Au moment où Mme Arb a poussé la porte pour acheter un livre, le cour du libraire s'est mis à battre intensément. Quelques jours plus tard, ils se sont mariés.

Mais l'amour-éclair d'un libraire trop avare s'est mué en peur du manque. Mme Arb est dépensière. Elle a engagé une bonne qui mange trop et qui laisse les chandelles se consumer toute la nuit. Vêtements, chauffage, lumière, nourriture : chaque sous dépensé est pour M. Earlsforward aussi douloureux qu'un coup de poignard en plein cour...

Passion froide et vice destructeur, ce roman dévoile un homme en proie à l'avarice extrême. Il s'agit d'une peinture du Londres du début du XXe, d'une satire des mours, et d'un thriller sombre et sanglant d'un grand écrivain.

Arnold Bennett (1867-1931) est un écrivain britannique. D'abord journaliste, son premier livre « L'Homme du Nord » connaît un succès retentissant. Il devient éditeur en chef de son magazine, et rédige lui-même les feuilletons qu'il y propose : ainsi paraît « The Grand Babylon Hotel ». Il décide alors de se consacrer à la littérature. Il s'installe à Paris où il est influencé par Maupassant. Il deviendra connu pour « Enterré vivant ».

L'Escalier de Riceyman

Nach Ansicht des Autors Arnold Bennnett besteht das Leben der meisten Angestellten darin, nur für ihren Lebensunterhalt zu arbeiten, aber er glaubt nicht, dass sie wirklich leben. Bennett geht dieses Problem an, indem er ihnen vorschlägt, wie sie zusätzliche Zeit gewinnen können um daraus das Beste zu machen und die gewonnene Zeit für ein wirkliches Leben zu nutzen.

Dieses Buch hat in den letzten Jahren aufgrund der Explosion des Phänomens der Selbstverbesserung an Attraktivität gewonnen, und in der heutigen Welt große Bedeutung. 

Der Humor des Autors, ebenso wie seine Scharfzüngigkeit und die teilweise sehr originellen Ansichten kommen besonders gut in diesem Werk zum Tragen. 

Lesen Sie dieses Buch und Sie werden Zeit für das wirkliche Leben und dazu reichlich Lebensfreude gewinnen.

Wie man seinen 24Std-Tag organisiert - und mehr Zeit gewinnt für das wirkliche Leben

La fille du magnat américain Theodore Racksole veut un steak et une bière, mais un palace d'un si haut standing que le Grand hôtel Babylon ne saurait s'abaisser à des mets aussi vulgaires. Qu'à cela ne tienne : Racksole rachète donc l'hôtel.

Mais le milliardaire ne s'attendait pas à ce que la gestion hôtelière soit semée de tant d'embûches : la réceptionniste disparaît, le maître d'hôtel démissionne, un jeune diplomate est trouvé mort et son corps est subtilisé. Et que devient donc le prince Eugène, qui devait descendre au Grand hôtel Babylon et dont personne n'a de nouvelles ? Les énigmes s'accumulent et des machinations internationales semblent s'ourdir dans les corridors chics du palace.

Le grand hôtel Babylon

Priam Frall, peintre de génie, a choisi d'échapper au fardeau de la gloire. Il se réfugie dans un sombre appartement londonien en compagnie de son majordome.
Un jour, ce dernier meurt inopinément. C'est l'occasion rêvé pour Priam Frall de disparaître à tout jamais... Il revêt les habits du cadavre et endosse son identité.
Le voilà condamné à jouer le rôle d'un homme dont il ne savait rien, à assister à ses propres funérailles, et à supporter un passé qui ne lui appartient pas...

Satire du monde artistique, comédie de moeurs et humour noir, ce roman possède tous les ingrédients qui ont fait de Arnold Bennett un auteur d'exception. 



Arnold Bennett (1867-1931) est un écrivain britannique. D'abord journaliste, son premier livre « L'Homme du Nord » connaît un succès retentissant. Il devient éditeur en chef de son magazine, et rédige lui-même les feuilletons qu'il y propose : ainsi paraît « The Grand Babylon Hotel ». Il décide alors de se consacrer à la littérature. Il s'installe à Paris où il est influencé par Maupassant. Il deviendra connu pour « Enterré vivant ».

L'escalier de Riceyman

Résumé

Plus de livres de Arnold Bennett

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques