Gramsci, fra i fondatori del Partito Comunista Italiano, è uno degli intellettuali italiani del Novecento più noto a livello globale. Questa raccolta di scritti, pubblicati perlopiù su quotidiani quali L'Avanti!, L'Ordine Nuovo e la neonata l'Unità, comprende anche il celebre discorso alla Camera contro la legge che, col pretesto di colpire la massoneria mirava a mettere a tacere le opposizioni. Quel discorso rimarrà l'unico pronunciato in quella sede, dato che Gramsci venne incarcerato poco dopo. I testi qui raccolti offrono molti spunti per approfondire il pensiero dell'intellettuale, padre del concetto di egemonia.

Sul Fascismo

Negli scritti tratti dai Quaderni del carcere qui raccolti Gramsci studia la storia dei rapporti fra la Chiesa e lo Stato italiano, la politica dell'Azione cattolica e delle altre organizzazioni confessionali nei riguardi della questione sociale e i problemi posti al movimento operaio del nostro Paese dalla presenza delle masse cattoliche e dall'influenza esercitata in Italia dal Vaticano. La lettura di questi scritti assume un particolare interesse ora e può servire a verificare il contributo storico e critico fornito da Gramsci all'analisi della realtà italiana. Ledizioni ripubblica questa fondamentale opera con una approfondita prefazione di Noemi Ghetti.

Il Vaticano e l'Italia

Arrêté le 8 novembre 1926 et assigné d'abord à cinq ans de relégation dans une île, Antonio Gramsci sera condamné par le Tribunal spécial à 20 ans, 4 mois et 5 jours de prison : " Pour vingt ans nous devons empêcher ce cerveau de fonctionner ", déclarera le 4 juin 1928 le procureur fasciste. Pressentant que sa peine serait longue, le dirigeant communiste était heurtant déjà résolu à résister par l'étude. " Je suis obsédé - écrit il dès le 29 mars 1927 -par cette idée qu'il faudrait faire quelque chose für ewig... Je voudrais, suivant un plan préétabli, m'occuper intensément, et systématiquement de quelque sujet qui m'absorberait et polariserai, ma vie intérieure. " Le 8 février 1929. il entame son premier cahier. Les autres suivront, jusqu'en 1935. Les notes qui constituent l'ensemble des Cahiers de prison étaient connues jusqu'ici à travers les volumes de la première édition italienne (1948-1951), qui en réorganisaient la matière autour de quelques-uns des grands thèmes que Gramsci lui-même s'était proposé d'étudier : Intellectuels, Machiavel. Notes critiques sur un essai populaire de sociologie, Littérature populaire, Risorgimento italien, etc. Soucieuse au contraire d'offrir toutes les garanties scientifiques désirables et de respecter l'authenticité d'une oeuvre en train de se chercher et de s'écrire, la présente édition critique. tout comme la nouvelle édition italienne établie par V. Gerratana (1975), présente la suite des manuscrits originaux de Cahiers tels qu'ils se trouvent conservés dans les archives de l'Istituto Gramsci. Elle restitue ainsi la pensée de Gramsci avec toutes ses hésitations, ses détours et ses va-et-vient, et conserve le caractère fragmentaire et discontinu des textes en les présentant dans l'ordre même où ils ont été écrits.

Cahiers de prison (tome 1-cahiers 1 a 5)

In questo poderoso volume a cura di Christian Raimo proponiamo parte di un'antologia che Antonio Gramsci pubblicò negli anni Settanta dal titolo Scritti sul fascismo che riconferma la rinfrancante difficoltà ad avere a che fare col pensiero gramsciano. Si tratta di testi scritti durante gli anni dell'avvento del fascismo, dalla fine della prima guerra mondiale fino a prima della sua carcerazione del 1927, quando il regime si era affermato. A conclusione della raccolta un'inedita postfazione a firma di Guido Liguori. Antonio Gramsci è uno degli autori italiani oggi più popolari e meno popolari. È tradotto, studiato, ammirato, celebrato nel mondo, ma il suo pensiero non ha mai ottenuto centralità nel dibattito politico e culturale italiano. Il ritratto che viene fuori da questa raccolta è quello di una militanza politica e intellettuale che ha davanti un mostro informe da combattere: un fascismo plastico, un regime illiberale che si sta costruendo man mano in forme impensate e ogni volta difficili da interpretare e quindi da contrastare. La grandiosità delle parole di Gramsci è qui proprio questa: saper elaborare il senso della nascita e dello sviluppo del fascismo in presa diretta, inventare categorie, riuscire a riconoscere le ragioni profonde per cui la storia prende certi percorsi e non altri, e provare ogni volta a escogitare le ragioni e le forme della lotta.

Il metodo della libertà - Scritti sulla democrazia, il fascismo, la rivoluzione

Soucieuse d'offrir toutes les garanties scientifiques désirables et de respecter l'authenticité d'une oeuvre en train de se chercher et de s'écrire, la présente édition critique, tout comme la nouvelle édition italienne établie par V. Gerratana (1975), présente la suite des manuscrits originaux des Cahiers tels qu'ils se trouvent conservés dans les archives de l'I. G. Elle restitue ainsi la pensée de Gramsci, avec toutes ses hésitations, ses détours et ses va-et-vient, et conserve le caractère fragmentaire et discontinu des textes en les présentant dans l'ordre même où ils ont été écrits.

Cahiers de prison - vol05 - cahiers 19 a 29

"Haïr l’indifférence, c’est à la fois haïr l’acceptation des choses comme elles vont et détester la confiance faite aux experts, qui n’est autre que la paresse qui contribue au cours des choses.L’indignation ne suffit pas, si elle n’est que simple mouvement du cœur. Elle commande l’analyse.Les axes de réflexion de ce regroupement de textes sont autant de pistes pour aujourd’hui : la politique et les politiques ; l’éducation des peuples ; la liberté et la loi ; les maux de l’État italien ; contre la guerre.Des textes qui remontent pourtant presque tous aux années 1917 et 1918. C’est à cette époque que Gramsci forge les principaux éléments de sa théorie. "

Pourquoi je hais l'indifférence

Arrêté le 8 novembre 1926 et assigné d'abord à cinq ans de relégation dans une île, Antonio Gramsci sera condamné par le Tribunal spécial à 20 ans, 4 mois et 5 jours de prison : «Pour vingt ans nous devons empêcher ce cerveau de fonctionner», déclarera le 4 juin 1928 le procureur fasciste. Pressentant que sa peine serait longue, le dirigeant communiste était pourtant déjà résolu à résister par l'étude. «Je suis obsédé - écrit-il dès le 29 mars 1927 - par cette idée qu'il faudrait faire quelque chose für ewig... Je voudrais, suivant un plan préétabli, m'occuper intensément et systématiquement de quelque sujet qui m'absorberait et polariserait ma vie intérieure.» Le 8 février 1929, il entame son premier cahier. Les autres suivront, jusqu'en 1935. Les notes qui constituent l'ensemble des Cahiers de prison étaient connues jusqu'ici à travers les volumes de la première édition italienne (1948-1951), qui en réorganisaient la matière autour de quelques-uns des grands thèmes que Gramsci lui-même s'était proposé d'étudier : Intellectuels, Machiavel, Notes critiques sur un essai populaire de sociologie, Littérature populaire, Risorgimento italien, etc. Soucieuse au contraire d'offrir toutes les garanties scientifiques désirables et de respecter l'authenticité d'une oeuvre en train de se chercher et de s'écrire, la présente édition critique, tout comme la nouvelle édition italienne établie par V. Gerratana (1975), présente la suite des manuscrits originaux des Cahiers tels qu'ils se trouvent conservés dans les archives de l'I.G. Elle restitue ainsi la pensée de Gramsci avec toutes ses hésitations, ses détours et ses va-et-vient, et conserve le caractère fragmentaire et discontinu des textes en les présentant dans l'ordre même où ils ont été écrits. On reconnaîtra pourtant, dans ces Cahiers 10, 11, 12 et 13, nombre de pages parmi les plus célèbres du Matérialisme historique et la philosophie de Croce, des Intellectuels et l'organisation de la culture et des Notes sur Machiavel.

Cahiers de prison - vol03 - cahiers 10 a 13

"La rivoluzione francese ha abbattuto molti privilegi, ha sollevato molti oppressi; ma non ha fatto che sostituire una classe ad un'altra nel dominio. Però ha lasciato un grande ammaestramento: che i privilegi e le differenze sociali, essendo prodotto della società e non della natura, possono essere sorpassate." "Nel tempo della lotta" raccoglie una selezione delle 2000 pagine di Gramsci pubblicate dal Saggiatore nel 1964. Gli articoli precedenti il 1926 - in particolare su lotta di classe, guerra, rapporti con la borghesia e ascesa del fascismo - si uniscono ad alcune delle lettere dal carcere, restituendo con intensità la figura politica, umana e intellettuale di Gramsci.

Sul Fascismo

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